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L'Europe

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Chiffres clés de la zone euro. Le site web officiel de l'Union européenne. L’UE en bref, institutions et organes, pays, symboles, histoire, faits et chiffres Informations sur l’agriculture, les entreprises, la culture, la santé, etc.

Le site web officiel de l'Union européenne

Informations sur le droit de résider, de travailler, de voyager et d’étudier dans un autre pays de l’UE, ainsi que sur l’accès aux soins de santé et les droits des consommateurs Informations sur la fiscalité, les douanes, les importations et les exportations de marchandises, le soutien financier aux entreprises, etc. Peut-on concilier diversité des modèles européens et monnaie unique ? Faut-il se réjouir, ou pas, de la baisse de l’euro ? Depuis l’été 2014, la monnaie européenne a reculé de plus de 10 % face au dollar.

Faut-il se réjouir, ou pas, de la baisse de l’euro ?

L’euro faible a des effets positifs pour les économies européennes, mais cette faiblesse a aussi un revers négatif. Mercredi 14 janvier, pour la première fois depuis novembre 2005, l’euro est tombé à 1,1729 dollar, une valeur inférieure à son cour d’introduction, en janvier 1999 (1,1747 dollar). La devise européenne s’est certes ensuite un peu ressaisie.

Joseph Stiglitz : « L’Union européenne est en train de détruire son futur » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marie Charrel Pourfendeur des politiques d’austérité en Europe, le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz travaille, depuis des années, sur les causes des inégalités économiques aux Etats-Unis et leurs conséquences, à la fois politiques et sociales.

Joseph Stiglitz : « L’Union européenne est en train de détruire son futur »

Le 2 septembre, il publie un nouvel ouvrage sur le sujet, La grande fracture, aux éditions « Les Liens qui Libèrent ». Rencontre. Vous expliquez dans votre ouvrage que les inégalités sont à l’origine de la crise de 2007. Pourquoi freinent-elles aujourd’hui la reprise ? D’abord, parce qu’elles sont souvent le résultat de rentes et monopoles paralysant l’économie.

Avant la crise des subprimes, les dépenses des ménages américains étaient artificiellement – et dramatiquement – gonflées par le crédit. Lire aussi : Les inégalités de revenus nuisent à la croissance Mais la récession elle-même a accru les inégalités ! C’est une très mauvaise excuse. La stagnation séculaire a deux causes. Parlons un peu de l’Europe. "L'Europe ne peut et ne devrait pas tenir très longtemps" La brutalité obtuse de la position européenne à l’égard de la Grèce est devenue manifeste la semaine du 6 juillet, lorsque les leaders européens ont rejeté le document de reddition que la Grèce leur avait soumis, et ont exigé au lieu de cela une capitulation sans condition assortie de réparations.

"L'Europe ne peut et ne devrait pas tenir très longtemps"

Le nouveau diktat – formellement accepté par la Grèce le 15 juillet – exige la mise en place d’un fonds de privatisation censé engranger de «bons actifs» d’une valeur de 50 milliards d’euros (qui, accessoirement, n’existent pas en l’état) ; il exige aussi que soit tiré un trait sur l’ensemble de la législation en matière de finance adoptée par le parlement grec depuis janvier dernier, date à laquelle Syriza y est devenu majoritaire ; et il exige le retour de la « Troïka » (c’est-à-dire de la Commission européenne, de la Banque Centrale Européenne, et du Fonds Monétaire International) à Athènes. Ce dont les «leaders» européens se préoccupent, c’est du pouvoir. Que va-t-il advenir de l’Europe ? Le déficit public de la zone euro a baissé en 2014. À première vue, c’est une bonne nouvelle.

Le déficit public de la zone euro a baissé en 2014

D’après les chiffres publiés mardi 21 avril par Eurostat, le déficit public de l’Union européenne est passé de 3,2 % à 2,9 % du produit intérieur brut (PIB) entre 2013 et 2014, tandis que la dette publique a grimpé de 85,5 % à 86,8 % du PIB. Dans la zone euro, le déficit public est tombé à 2,4 % du PIB en 2014, contre 2,9 % en 2013.