background preloader

Digital

Facebook Twitter

Pour l'AFCI, la transformation numérique des entreprises est surtout une question culturelle. Dans le numéro de juin de la revue de l’association française de communication interne (AFCI), le dossier a pour titre "Digital : la culture d’abord". On y trouve un tour d’horizon complet des défis posés et des opportunités offertes par le numérique à la fonction de communication interne. Plus qu’un simple outillage, c’est toute la manière d’être qu’il convient de revoir, est-il rappelé. A commencer par l’article signé par Carole Thomas et Guillaume Aper, pour lesquels "le digital ne s’apprend pas, il se vit. " Pour les pros de la communication interne, cela comporte des conséquences quasi stratégiques sur le contenu de leur métier : "Le rôle des communicants est bien de donner du sens à la transformation digitale en ne se focalisant pas sur les outils et le déploiement d’une solution technique, mais en proposant d’abord à la direction générale de réfléchir sous l’angle des usages.

" Un grand saut dans l'inconnu Changement de perspective Pour en savoir plus, c'est ici. Chief Digital Officer : le Ninja de la transformation (digitale) Sur les quatre dernières années, près de 20% des Fortune 500 américaines et européennes se sont dotées d’un Chief Digital Officer (CDO). La France n’est pas en reste, avec des leaders tels que LVMH, L’Oréal, Total, SNCF ou encore SEB.

Cependant, le «titre» de CDO se trouve de plus en plus dévoyé et de nombreux directeurs du digital et/ ou du e-commerce portent à présent le titre de Chief Digital Officer, sans toutefois en avoir ni le rôle, ni la responsabilité, ni les ressources. L’objectif de cet article est de partager notre expérience à la fois en Europe et aux Etats Unis et de dresser un constat en sept points sur ce que devraient être le rôle et les responsabilités du CDO.

On peut cependant dores et déjà s’interroger sur le titre même de Chief Digital Officer qui est sans doute peu représentatif des réelles responsabilités dont il a la charge. 1/ Le CDO n’est PAS le directeur digital et/ou du e-commerce 2/ Le CDO est en charge de la transformation digitale de l’entreprise. A propos. Je ne peux pas, j’ai piscine. “J’aurais dû venir avec une bouée ou des brassards”. Hervé, cheveux blonds et bouclés, visage poupin, sac de voyage dans le dos, tente de plaisanter. Florent, un brun aux yeux clairs et à la silhouette frêle, enchaîne les cigarettes. Il dit qu’il est là parce que, à la fac où il étudie d’habitude, il “n’apprend rien”. Un autre, crête sur la tête, est venu avec son lit de camp portatif et son oreiller. A ses côtés, sa mère, venue le soutenir jusqu’à l’entrée. Près de la porte de Clichy, dans le Nord de Paris, il y a la foule des grands jours devant l’Ecole 42, l’école de programmation informatique fondée par Xavier Niel, le patron de Free, et des anciens d’Epitech.

Si nul diplôme n’est requis pour intégrer 42, la piscine tient lieu de sélection. “Si tu n’y passes pas 15 heures par jour, tu es dead”, lâche un élève, arrivé en skate-board et bermuda, qui, après neuf mois à l’Ecole 42, vit là comme un poisson dans l’eau. “C’est une blague ou on doit vraiment le faire?” Crédit : AA. John Hennessy (Stanford) : "Les Mooc ne fonctionnent pas comme prévu initialement"

De nombreuses entreprises de l'économie numérique sont nées à Stanford (Google, Netflix, Yahoo etc.). Comment votre université encourage-t-elle l'innovation ? Nous essayons d'attirer les meilleurs étudiants et ceux qui veulent changer le monde. Ensuite, nous veillons à ce qu'ils disposent des ressources dont ils ont besoin pour le faire. Mais il ne faut pas oublier le facteur de sérendipité. Quand Larry [Page] et Sergey [Brin] ont commencé à travailler sur ce qui deviendrait Google, ils ne travaillaient pas sur un moteur de recherche mais sur une bibliothèque numérique.

Cette volonté d'essayer de toujours innover et en mieux est un réflexe que nous essayons d'inculquer à nos élèves. L'idée qui prime à Stanford est plutôt de savoir comment on peut transférer une technologie dans le monde extérieur. En 2012, vous aviez prédit un tsunami pour l’enseignement supérieur avec l’arrivée des Mooc. Les Mooc ne fonctionnent pas comme prévu initialement. Slack, la pépite qui valait des milliards.