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Veille technologique

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Article sur ind. Yuchen Chen, Arnauld Séjourné (CREN, Nantes) 1. Introduction Dans les pratiques actuelles, de quelle manière le concepteur prend-il en compte la dimension « individu-apprenant » dans la conception du scénario pédagogique ? Nous nous référerons d’abord, à des travaux sur l’individualisation pour caractériser ce qu’implique la prise en compte de l’individu-apprenant dans le contexte spécifique de la FOAD. 2. « Individu-apprenant » dans les FOAD 2.1.

. - une formation qui reconnaît et prend en compte la singularité du sujet : ses besoins, son parcours, son expérience, ses acquis, ses contraintes, ses ressources, ses capacités d’autodirection, ses stratégies ; - une formation qui prend en compte la dimension sociale des apprentissages dans une perspective autonomisante et de construction identitaire ; - une formation co-construite, négociée entre les parties prenantes, qui concrétise l’interaction entre un projet de formation institué et des projets de formation individuels. 2.2. 3. 3.1. 3.2. 4. _n1.pdf. Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas. Dans le cadre d’une série sur le « pari éducatif high-tech » (dans laquelle notamment plusieurs experts américains tentent d’apporter leur vision sur ce à quoi ressemblera l’école dans 10 ans), Matt Richtel, pour le New York Times s’est rendu dans le district scolaire pilote de Kyrene en Arizona : un secteur où tous les élèves utilisent des tableaux blancs interactifs et des ordinateurs à l’école.

Depuis 2005, le district a investi 33 millions de dollars pour moderniser ses écoles. Ici, c’est la nature même de la classe, du rapport à l’enseignant qui a été transformé : l’enseignant circule entre les élèves qui apprennent à leurs rythmes sur leurs ordinateurs. Au profit de qui se fait la surenchère technologique à l’école ? Image : Le graphique de l’évolution des dépenses et des résultats du district de Kyrene dans l’Arizona réalisé par le New York Times. La poussée des dépenses technologiques intervient alors que les écoles doivent faire de durs choix financiers. Les métriques en question. À l'école, numérique rime-t-il avec pensée magique? C'est le projet du présent qui annonce un avenir éducatif meilleur. Depuis plusieurs mois, tableaux interactifs, ordinateurs portables, tablettes numériques (pour ne citer que ceux-là), Twitter et les autres se pressent devant les portes des écoles un peu partout dans le monde industrialisé, afin de mettre leur modernité au service des générations montantes.

Cette mise à jour d'un monde de l'enseignement qui creuse son clivage technologique avec le reste de la société est bien sûr plus que nécessaire, surtout pour des enfants qui, dès l'âge de trois ans, avant même d'intégrer la maternelle, sont capables de se promener sur YouTube avec un iPad. Or ce processus de rajeunissement, qui n'épargne pas le Québec où le pari de l'école en format numérisé vient d'être formulé par le gouvernement, s'accompagne de grands espoirs, de perspectives plus que positives, dont plusieurs semblent toutefois reposer sur cette pensée magique qui trouve son carburant dans le tout technologique.

Comment? Apports pédagogiques du TBI : pourquoi utiliser le TBI en classe ? L’interactivité L’intérêt majeur du TBI est de favoriser l’interactivité entre professeur et élèves. Cet outil suscite la curiosité et l’intérêt des enfants, et rend les enseignements plus ludiques et stimulants. Aucune étude n’a prouvé qu’il pouvait avoir un impact sur les résultats scolaires, mais le bénéfice est certain sur l’attention et la concentration des élèves. De plus la plupart des enseignants qui l’utilisent ressentent eux-mêmes un regain de motivation, une envie de s’investir encore davantage dans leur travail. L’interactivité est vraiment ce qui fait tout l’apport du TBI et il est essentiel d’exploiter au maximum cette dimension. Utilisé comme un simple support de présentation, le TBI perd tout son intérêt et mieux vaut alors se contenter d’un vidéoprojecteur relié à l’ordinateur. TBI : Un outil d’éducation quotidienne aux TICE Le TBI peut être comparé à une sorte d’écran d’ordinateur géant, et permet donc d’intégrer naturellement les TICE au sein de la séance d’apprentissage.

Ordi / écriture et fautes d'orthographe. Par le passé, les ordinateurs étaient exclusivement réservés aux gros traitements. Hormis la machine à écrire, l’outil par excellence utilisé pour écrire était le crayon. Que s’est-il produit avec l’avènement de l’ordinateur personnel ? Plus besoin de gomme ou de correcteur, finies les pages dactylographiées, maculées de morceaux de bandelettes blanches parsemées ça et là tels de petits bouts de pansements. Tous ces cache-misère étaient censés masquer l’horrible faute qui s’était sournoisement glissée, après une bonne vingtaine de lignes sans la moindre bavure.

Afin d’obtenir un travail impeccable, il fallait redoubler d’attention : éviter les fautes de frappe, mais aussi faire preuve d’une parfaite maîtrise de l’orthographe et de la grammaire. Le développement des ordinateurs et l’usage des traitements de texte ont été une véritable révolution pour ceux dont l’écriture, ou plutôt la retranscription de textes était le métier. Le revers de la médaille ne s’est pas fait attendre. J'aime :