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Racisme

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Le racisme culturel, un divertissement parfaitement normal(ien) "Les philosophes vous proposent de retrouver votre moi le plus profond, le plus farouche : celui des origines. Pour ce retour authentique à l’Etat de Nature, l’inspiration est libre et vaste, allant du fin fond de l’Amazonie, jusqu’à la jungle africaine, en passant par les étendues australiennes, par les paysages caribéens ou par les forêts malgaches. Que les arts primitifs amérindiens, africains ou océaniens puissent animer votre pulsion créatrice et vous aider à révéler votre côté sauvage !

Ces mots signifient, que tu finiras ta nuit, sans aucun souci, philosophie : La Kâlomatata. " C’est par ces mots qu’est présentée la soirée "La Kâlomatata", nom faisant semble-t-il référence au Roi Lion, sur le site de l’Association des élèves de l’Ecole Normale Supérieure. Sur Facebook, avant que des modifications ne soient faites, on retrouvait ce même délicieux paragraphe pour présenter cette soirée qui aura lieu le 27 mars, ainsi que la photo de couverture suivante : Like this: J'aime chargement… Basseintensite.internetdown.org/IMG/pdf/privilegeblancmasculin.pdf. This... is White Privilege. Réfléxion 2: “Les noirs sont toujours des dominés” | Mrs. Roots. “L’histoire des Noirs n’a pas commencé avec l’esclavage” Si hier soir, tu étais devant le reportage de Capital sur l’Ethiopie et les rythmes de production de certaines entreprises managées par des Chinois, si devant cette émission, tu t’es retrouvé à penser “Les noirs ont toujours été des dominés”.

Ou si simplement, tu as déjà et/ou penses toujours de cette manière: Félicitations, tu as intégré le racisme ambiant ! L’autre fois, je te parlais déjà de cette nouvelle tendance du “raciste mais pas trop”. Mais c’était sans compter le racisme que tu portes en toi. Oui, tu sais, cette petite part qui te fait sortir des phrases toutes faites telles que : “Les noirs sont toujours des dominés”. D’où ça vient ? C’est cette masse, ce bloc massif qui fait d’un reportage sur une usine en Ethiopie, accoucher d’un généralisant et rabaissant “Les noirs sont toujours des dominés“. C’est la faute aux autres, à la société aussi. Ne pas savoir est une chose. C’est qu’un tweet. Like this: Like Loading... Au sujet de l’antisémitisme moderne | Feu de prairie. Vous êtes en soirée, au taff, à la fac ou en famille, et on vous somme encore une fois de choisir votre camp: "…Et toi, t’es pour Valls ou pour Dieudonné? " Alors, t’es pour le PS ou pour les quenelles?

T’es conspi ou franc-maçon? Tu préfères dire que les roms sont des sous-hommes ou que les juifs contrôlent les médias? Plutôt Pepsi ou Cola? Cette scène, on l’a tous vécu, et elle nous saoule. Alors, on doit assumer le combat et voir les choses en face. Voilà donc l’antisémitisme qui revient à ses fondamentaux, jamais vraiment abandonnés: dans cet imaginaire "le" juif (puisqu’il représente une "communauté organisée") est à l’image de l’argent, du capitalisme "déréglé" (pas le "bon capitalisme productif" des patrons français donc), de la spéculation, il est intouchable, incompréhensible et omnipotent. Une seule solution, l’organisation de l’action antifasciste et l’autodéfense populaire ! Feu de Prairie Like this: J'aime chargement…

People of Color in European Art History. MsDreydful : Pour ceux qui n'auraient toujours... L'égalitarisme, c'est pas ce que vous croyez. Regards Croisés. Dix ans avant le prix du meilleur album pour NonNonBâ, Pascal Lardellier signait dans les pages du Monde Diplo[] un portrait effrayant du péril jaune, encourageant à prendre les armes pour défendre la patrie en danger, avant de conclure : «Il n’est pas de combat culturel mineur qui mérite l’indifférence ou la résignation. Les mangas devraient faire reprendre conscience de cela. Sauf à hypothéquer, encore une fois, sous couvert de logique économique, un pan supplémentaire du patrimoine culturel européen.» Aujourd’hui, on ne s’inquiète plus tant de la corruption de la jeunesse que de la pérennité de l’industrie de «notre» bande dessinée face à ce raz-de-marée commercial.

Le vocabulaire martial («poético-guerrier», dirait Pascal Lardellier) n’a pas changé, mais le temps passant, on a fini par reconnaître quelque qualité aux productions nipponnes. On s’en doute, si du9 s’intéresse à cette question épineuse, c’est avec l’espoir de lui tordre le cou une bonne fois pour toute.