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Humour

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"Free Sex" de Rémi Gaillard : le malaise (avec tweets) · aPaulineR. Le racisme culturel, un divertissement parfaitement normal(ien) "Les philosophes vous proposent de retrouver votre moi le plus profond, le plus farouche : celui des origines.

Le racisme culturel, un divertissement parfaitement normal(ien)

Conférence-débat avec Philippe GELUCK / "Peut on rire de tout" Dissent Unheard Of, by Ashe Dryden. I'm moderately well-known for the disagreements I get into on the internet.

Dissent Unheard Of, by Ashe Dryden

I’m working on one of the hardest problems I’ve ever tried to solve as a programmer: the lack of diversity in tech. This means I read a lot of research, sociology, philosophy, and the history of sociopolitical movements. I write often, speak all over the world, and critique current events affecting the inequalities in the industry. I’m one of few visible experts advocating for diversity in our field. I tell you this so you can understand the contrast between the interactions I have now, and the interactions I had before I focused on diversity work, when I worked full-time as a programmer. Tweet by ashedryden As someone whose job is to speak up with unpopular opinions in an industry that almost prides itself on its Borg-like monoculture, I have a lot of time to think about these things.

What is it, fundamentally, that they're pushing back against? Tweet by ashedryden. Sarcasme n’est pas humour. Spinoza considérait le rire comme une contribution à l’épanouissement de l’être.

Sarcasme n’est pas humour

«Le rire, comme la plaisanterie, est pure joie, et par conséquent, pourvu qu’il ne soit pas excessif, il est bon par lui-même. Et ce n’est certes qu’une sauvage et triste superstition qui interdit de prendre du plaisir.En revanche, ajoutait-il, la raillerie qui participe de la haine est condamnable.» Dans notre époque, on a tendance à confondre toutes les formes de rire et manières de plaisanterie sous le seul dénominateur de l’humour. Cette perte de nuance rend illisible et neutralise les distinctions nécessaires quant aux variétés de rire. Ainsi, le sarcasme comme la raillerie ne relèvent-ils pas de l’humour d’autoparodie, de la comédie plaisante, ou de la satire piquante. Les philosophes de l’Ecole de Francfort, Horkheimer et Adorno, dans la Dialectique de la raison, avaient tôt identifié les facettes mauvaises du rire en masse. Apologie de l'humour. Desproges et Coluche : stop à l’instrumentalisation de l’humour noir et du second degré.

Source INA J’aimais beaucoup Coluche et Desproges.

Desproges et Coluche : stop à l’instrumentalisation de l’humour noir et du second degré

Ces humoristes étaient des individus intelligents, créatifs, mordants, sensibles et talentueux, à bien des niveaux. Comme beaucoup de monde, j’ai tous les textes de Desproges sous la main. How to Live Without Irony. Leif Parsons The Stone is a forum for contemporary philosophers and other thinkers on issues both timely and timeless.

How to Live Without Irony

If irony is the ethos of our age — and it is — then the hipster is our archetype of ironic living. L'impolitesse du désespoir. Je n'ai pas d'humour.

L'impolitesse du désespoir

Voilà, comme ça, c'est dit. J'ai préféré préciser ce point d'entrée de jeu pour que les choses soient claires... Parce qu'on va me le reprocher, et parce que c'est aussi de ça dont je voudrais parler : de toutes ces situations où l'on reproche à l'autre de ne pas comprendre ou de ne pas vouloir comprendre que c'est de l'humour. De ces petites phrases simples que l'on lâche facilement : "c'est bon, c'est de l'humour", "c'est pas sérieux", "faut pas le prendre au premier degré", "mais personne n'y croit vraiment ! ", et toutes ces sortes de choses.

Les blagues sexistes favorisent les mécanismes mentaux qui justifient la violence envers les femmes. Les blagues sexistes (et ce genre d’humour dans tous ses versants) favorisent les mécanismes mentaux qui incitent à la violence et aux mauvais traitements envers les femmes de la part de sujets qui présentent des attitudes machistes.

Les blagues sexistes favorisent les mécanismes mentaux qui justifient la violence envers les femmes

C’est ce qui découle d’une recherche menée à bien à l’Université de Grenade, et qui sera présentée le 2 juillet, dans le contexte du symposium international le plus prestigieux du monde sur les applications scientifiques du sens de l’humour (International Summer School and Symposium on Humour and Laughter’ : Theory, Research and Applications), qui se célèbre à Grenade. Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont appliqué plusieurs questionnaires à un groupe composé de 109 hommes universitaires entre 18 et 26 ans. [Chiennes de garde] Le second degré.

Oh, ça va… C’est pour rire! Je connais à peu près le Code de la Bonne Féministe lorsqu’il s’agit d’attaques frontales ou de sexisme primaire.

Oh, ça va… C’est pour rire!

Mais je suis presque toujours désemparée lorsqu’il s’agit… d’humour. Je ne sais jamais comment réagir face aux blagues dont le fond de commerce est la bêtise féminine, le fait que les femmes sont dépensières, qu’elles ne s’intéressent qu’à l’apparence, etc. Je ne veux pas ici renforcer le stéréotype de la féministe qui n’a aucun humour. Que les choses soient claires : j’aime rire.