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Mimesis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mimèsis (ou mêmée) est un terme grec signifiant l'imitation, dont le sens a évolué au cours des siècles. Le terme s'applique tout d'abord dans un contexte religieux à la danse, au mime et à la musique. Il ne s'agit pas de reproduire l'apparence du réel mais d'en exprimer la réalité cachée[1]. Plus tard, il désigne au contraire l'imitation du réel, ainsi pour Démocrite l'imitation de la nature par la technique (le tissage qui imite celui de l'araignée). La mimèsis littéraire[modifier | modifier le code] La conception d'Aristote[modifier | modifier le code] L'analyse de Paul Ricœur[modifier | modifier le code] Paul Ricœur, philosophe français, a fait une critique du structuralisme qu'il voyait comme une structure basique alors que pour lui, le récit est en perpétuelle évolution.

Ces Mimèsis sont cycliques, elles forment des boucles mimétiques. La mimèsis dans les sciences de l'Homme[modifier | modifier le code] Diégèse.

La Fureur de vivre

Liberté et Patrie - Jean-Luc Godard (2002) Arthur Rimbaud, l'homme aux semelles de vent. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Homme aux semelles de vent[1] est une télésuite franco-canadienne réalisée par Marc Rivière et diffusée en 1995. Synopsis[modifier | modifier le code] Après avoir abandonné sa plume de poète, de 1880 jusqu’à sa mort en 1891, Arthur Rimbaud va se consumer sous les soleils d’Arabie et d’Afrique, entre Yémen et Abyssinie, exerçant différentes activités dont certaines très exotiques : boutiquier, négociant en café et peaux, explorateur, trafiquant d’armes. Comme s’il avait eu une prescience, il va vivre ses visions poétiques de 1873 : « J’aimai le désert, les vergers brûlés, les boutiques fanées, les boissons tiédies. Thème et contexte[modifier | modifier le code] On reconnaît en Laurent Malet, visage émacié et brûlant d’un feu intérieur, le Rimbaud africain tel qu’il se révèle au fil de son abondante correspondance avec les siens.

Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Jacques Ranciere. Godard / Sollers : L’entretien (version imprimable) > SUR DES OEUVRES DE TIERS Godard / Sollers : L’entretien réalisé par Jean Paul Fargier, le 21 novembre 1984 article du 6-11-06 complété et remanié le 25-07-11 1981 : Jean Paul Fargier, ancien rédacteur de la revue Cinéthique (il y avait défendu "Méditerranée", le film de Pollet et Sollers, dix ans auparavant) devenu vidéaste, collabore une première fois avec Philippe Sollers. C’est l’expérience de Paradis vidéo. Sollers y lit pendant une heure des extraits de son roman entouré d’écrans vidéo. En 1984, Jean Luc Godard réalise Je vous salue Marie [1]. Godard a été impressionné par la lecture de Femmes (il sera, un temps, question d’en faire un film [2]) et a vu Le trou de la Vierge — qui, dit-il, l’a accompagné dans l’élaboration de son propre film.

L’équipe d’art press, notamment Guy Scarpetta, cherche un lieu. Nous sommes le 21 novembre 1984 (le jour a été choisi par Sollers). Art press en retranscrit des extraits dans son numéro 88 de décembre 1984. Présentation Jean-Paul Fargier P.S. Philosophie.