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TPE La peine de Mort

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Victor Hugo, contre la peine de mort. Regardsurlapeinedemort amesty internationale. Ensemble contre la peine de mort. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ensemble contre la peine de mort

Ensemble contre la peine de mort Ensemble contre la peine de mort (ECPM) est l'une des principales associations francophones en matière de lutte pour l'abolition universelle de la peine capitale. Son siège est à Paris. Créée en octobre 2000 par Michel Taube, Jean-François Daniel et Olivier Déchaud, elle est présidée par Olivier Déchaud et son directeur est Raphaël Chenuil-Hazan. Les objectifs[modifier | modifier le code] ECPM milite, fédère, mobilise et rassemble les forces abolitionnistes internationales pour l’abolition universelle de la peine capitale. Cette association a pour objet d’organiser et de soutenir toute action qui permette de lutter contre la peine de mort dans le monde et de promouvoir son abolition universelle. Pour arriver à l’abolition universelle, ECPM renforce les capacités de ses partenaires locaux et agit avec eux.

Les valeurs[modifier | modifier le code] Les actions[modifier | modifier le code] À la rencontre du public. La peine de mort dans le monde - L'abolition de la peine de mort en France. En 2012, 137 pays ont aboli la peine de mort en droit ou en pratique.

La peine de mort dans le monde - L'abolition de la peine de mort en France

Le dernier en date est la Mongolie qui, le 13 mars 2012, a adhéré au Deuxième protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, visant à abolir la peine de mort. Parmi les 137 pays abolitionnistes, 97 l'ont aboli pour tous crimes, 7 prévoient dans leur législation la peine de mort uniquement pour les crimes exceptionnels tels que ceux prévus par le Code de justice militaire ou ceux commis dans des circonstances exceptionnelles, en temps de guerre par exemple et 33 sont abolitionnistes en pratique, c'est-à-dire qu'ils n'ont procédé à aucune exécution au cours des dernières années. 66 pays continuent d'appliquer la peine de mort. 34 Etats prévoient la peine capitale dans leur législation : Carte des pays abolitionnistes et non abolitionnistes dans le monde Agrandir l'image Pays abolitionnistes et non-abolitionnistes en 2012.

LA PEINE DE MORT EN 2012. Si la tendance mondiale en faveur de l’abolition de la peine de mort s’est confirmée en 2012, la reprise des exécutions dans certains pays, notamment la Gambie, l’Inde, le Japon et le Pakistan, a apporté une ombre au tableau.

LA PEINE DE MORT EN 2012

La Gambie a mis fin à une interruption de près de 30 ans en août 2102, en exécutant neuf personnes le même jour. Le 21 novembre, l’Inde a procédé à sa première exécution depuis 2004 et exécuté par pendaison Ajmal Kasab, le seul survivant parmi les auteurs d’attentats perpétrés à Mumbai. Le Japon a également renoué avec les exécutions, après un gel de 20 mois. Cependant, dans l’ensemble, le recours à la sentence capitale demeurait l’apanage d’un groupe de pays isolés. Le nombre total d’exécutions confirmées – 682 – restait pratiquement inchangé par rapport à 2011. Seuls 21 États dans le monde ont procédé à des exécutions en 2012, alors qu’ils étaient 28 il y a 10 ans. Des avancées positives On a également observé des avancées positives en 2012.

Lire le rapport. Badinter et l’abolition de la peine de mort : « Au Sénat, en 1981, rien n’était joué » Publicité Ministre de la Justice, en 1981, Robert Badinter fut le grand artisan de l’abolition de la peine de mort.

Badinter et l’abolition de la peine de mort : « Au Sénat, en 1981, rien n’était joué »

Trente ans plus tard, il raconte la bataille homérique du Sénat, où rien n’était joué d’avance. Entretien. Texte. L’abolition de la peine de mort  <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.

L’abolition de la peine de mort 

</p> La peine de mort a historiquement constitué l’un des attributs de la souveraineté étatique : symbole du monopole de la violence physique légitime maniée par le pouvoir, elle était placée au sommet de la hiérarchie des sanctions que la justice pénale pouvait prononcer contre les criminels les plus dangereux. D’un usage fréquent dans le droit pénal pré-révolutionnaire, la peine de mort fait néanmoins l’objet d’un débat à partir du siècle des Lumières, et son importance décroît au cours du XIXe siècle. Il faudra cependant attendre la loi du 9 octobre 1981 pour qu’elle soit définitivement abrogée. Les prémices de l’abolition Le XIXe siècle confirme l’existence d’un courant abolitionniste, constitué d’intellectuels, de juristes et d’hommes politiques.

La loi du 9 octobre 1981. Abolition de la peine de mort. Texte. Peine de mort. Le 18 septembre 1981, par 363 voix contre 117, l'Assemblée nationale adopte, après deux jours de débats, le projet de loi portant abolition de la peine de mort présenté, au nom du Gouvernement, par Robert Badinter, garde des Sceaux, ministre de la justice.

Peine de mort

Douze jours plus tard, le texte est voté dans les mêmes termes par le Sénat, par 160 voix contre 126. C'est l'aboutissement du long combat mené depuis deux siècles par la cohorte de ceux qui, dans les enceintes parlementaires, dans les prétoires ou dans leurs écrits, ont défendu la cause de l'abolition devant une opinion réticente, voire résolument hostile.

Recherche peine de mort. Que ressent une personne exécutée. Texte. Texte.