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MOOC

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Les MOOCS : plus qu’une mode, un jackpot économique au moins jusqu’en 2020. L'Agence nationale des Usages des TICE - Les MOOC : intentions pédagogiques et motivations des apprenants. Par Isabelle Quentin * Depuis 2012, les MOOC (Massive Open Online Courses) suscitent un engouement important, notamment dans l’enseignement supérieur français.

L'Agence nationale des Usages des TICE - Les MOOC : intentions pédagogiques et motivations des apprenants

Présenter et décrire ce qui se cache derrière cet acronyme n’est pas chose aisée. Un Mooc pour intégrer les TICE dans sa classe. 9 nouveaux MOOC pour se former au Web et au numérique. MOOC : Google au lancement d'un Youtube des cours en ligne. Anant Argawal, pré­sident de la plateforme d'apprentissage edX, versant dans les MOOC (Massive Open Online Courses, ou cours en ligne ouverts), a annoncé le lan­ce­ment à venir d'un « Youtube des cours en ligne » avec Google pour partenaire.

MOOC : Google au lancement d'un Youtube des cours en ligne

Tandis que 2014 pourrait bien être l'année du boum pour cette pratique d'enseignement, le mouvement devrait permettre à chacun de diffuser ses propres cours. Pour le meilleur comme le pire ? Anant Argawal est également pro­fes­seur d'électronique au MIT en plus d'être pré­sident pour edX. Il explique que le nouveau site web, mooc.org, s'adresse à tout « indi­vidu, orga­ni­sa­tion, entre­prise, asso­cia­tion », pour lui permettre de « pos­ter en ligne son MOOC », contrai­re­ment à edX, qui « res­tera limité aux contri­bu­tions issues des uni­ver­si­tés ».

Actus

Les guides. Les plateformes. Les MOOCs : finalement ni "massif" ni si "open" ? Les MOOCs, Massive Open Online Courses sont les prémices d’une révolution dans l’enseignement et l’acquisition de savoirs mais sans qu’on sache encore trop ce qu’il faut prendre ou laisser, quelle partie des promesses est valide ou pas.

Les MOOCs : finalement ni "massif" ni si "open" ?

Ce n’est donc que l’expérimentation qui permettra de recadrer, affiner, progresser. Et justement, les expérimentations se multiplient avec leur réussites et leurs échecs. La dernière en date dont je voulais parler vient de l’université d’Etat de San Jose (San Jose State University – SJSU) aux Etats-Unis. L’Université avait annoncé en février qu’elle allait démarrer un MOOC sur la plateforme Udacity, une intiative qui avait d’autant plus attiré l’attention qu’il s’agissait de cours permettant l’obtention de crédits. Cartographie des MOOC français.

MOOC. Le MOOC (Massive Open Online Course) ou CLOM (Cours en Ligne, Ouvert et Massif) propose une nouvelle modalité d’apprentissage.

MOOC

Si l’idée de mettre en ligne un cours est une pratique comprise, utilisée par de nombreux enseignants, soit parce qu’ils interviennent en ligne, soit parce qu’ils complètent un cours en présentiel par des ressources en ligne. La nouveauté des MOOC, est d’ouvrir non pas l’accès aux ressources, mais bien l’accès au groupe des personnes qui se réunissent à une séquence de cours, et donner ainsi l’accès aux échanges dans et autour du cours. Si l’idée d’ouvrir l’accès à son cours est facile à comprendre, les implications de cette ouverture intriguent plus d’un praticien. Le terme massif est clairement un faux ami, et peut être une source d’incompréhension. Pour certains M pour Massif rime avec foule. Certains enseignants qui découvrent les MOOC s’inquiètent de la perte d’une relation privilégiée possible avec chacun de ses étudiants. Like this: J'aime chargement… Mooc : les cours universitaires sur Internet bouleversent la formation.

Crédits photo : Faustine Sayagh pour « Les Echos » MOOC.

Mooc : les cours universitaires sur Internet bouleversent la formation

L'acronyme ne vous a évidemment pas échappé. Et vous, pour parler de ces cours en ligne « ouverts et massifs » ( « massive open online courses »), dites-vous « Mouk », à l'anglaise ou « Mok » à la française ? Vous auriez quelques raisons d'opter pour la première solution. Mieux vaut être anglophone si l'on veut s'inscrire à un MOOC aujourd'hui. Tout est parti du prestigieux MIT au début des années 2000 et s'est emballé à Stanford en 2008. Mooc, ce nouveau e-learning qui va tout changer. De qui se MOOCS t'on ? MOOCS.

De qui se MOOCS t'on ?

Massive Open Online Courses. Depuis déjà quelques années, mais particulièrement depuis l'année dernière au cours de laquelle le phénomène explosa littéralement (plus dans la presse que dans les usages d'ailleurs ...), c'est l'une des tendances lourdes du web pedago-numérique d'outre-atlantique. 2012 fut donc l'année des MOOCS (36), prenons en 2013 le temps d'un premier état des lieux. Peu d'analyses ou d'opinions personnelles dans le billet à suivre (bon un peu quand même vu que j'arrive pas à m'en empêcher ...), mais surtout une bonne grosse revue de liens sur le sujet, après une veille de plusieurs mois, pour permettre de faire le tour de ce que l'on sait aujourd'hui des Moocs.

Si vous n'avez que 4 minutes, que vous parlez anglais et que vous ne connaissez rien au sujet, cette vidéo (39) est faite pour vous. [3 questions à] Hélène Lejeune, CEO d’Enaco: « Notre école de commerce ouvre son premier MOOC » Présentée comme la première école de commerce à distance, Enaco doit lancer demain son premier « MOOC », les fameux Massive Open Online Courses.

[3 questions à] Hélène Lejeune, CEO d’Enaco: « Notre école de commerce ouvre son premier MOOC »

L’occasion pour Frenchweb de revenir sur cette notion et l’avenir de ce secteur, notamment appuyé par le rapport « Pour un New Deal numérique » confié à Gilles Babinet, ancien président du CNN et aujourd’hui Digital Champion auprès de la Commission Européenne. Les détails avec Hélène Lejeune, PDG du groupe Enaco. MOOC : attention, mirage ? L'incroyable productivité des cMOOCs. Si vous vous intéressez à l'actualité des MOOCs et lisez les articles réguièrement publiés sur Thot Cursus sur ce sujet, vous devez maintenant savoir qu'on distingue habituellement deux catégories de MOOCs : - Les xMOOCs, qui sont des cours académiques massivement distribués; les contenus sont préparés par l'institution distribuant le cours, et les apprenants doivent assimiler ces contenus.

L'incroyable productivité des cMOOCs

Des tests réguliers et un examen final (qui peut prendre diverses formes) permettent de vérifier le niveau de rétention et de compréhension des contenus, et d'attribuer un certificat de réussite à ceux qui ont obtenu le niveau minimal exigé. - Les cMOOCs, qui sont des espaces de co-construction des savoirs et savoir-faire par les apprenants eux-mêmes. Mooc : la standardisation ou l’innovation. Le développement des cours en ligne massifs et ouverts (Mooc pour massive online open courses) attise autant l’enthousiasme que le rejet.

Mooc : la standardisation ou l’innovation

Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, ils n’ont rien de magique et paraissent bien souvent plus une réponse économique qu’éducative. Ne confondons pas MOOC et MOC. MOOC est un terme à la mode.

Ne confondons pas MOOC et MOC

Du coup tout le monde à tendance à vouloir l’utiliser pour quelque chose en ligne qui s’approche de la formation. Du coup, il peut être nécessaire de revenir sur une définition simple. Un MOOC (Massive Open Online Course) c’est : Un cours. Un parcours d’apprentissage est proposé ;En ligne. Ce qui est nouveau dans les MOOC, c’est donc l’accès à tous, les interactions rendues possibles par une diversité du public, le fait de pouvoir tirer parti de l’abondance des ressources disponibles et des outils participatifs du web. Les MOOCs connectivistes (comme ITyPA) permettent de tirer pleinement de l’architecture distribuée du Web. Certains organismes commencent à parler de cours ouvert à un nombre important de participants, mais sans que l’accès soit ouvert à tout internaute.

Il n’empêche. MOOC ou pas MOOC, c'est toujours d'éducation qu'il s'agit... Le monde des TIC et de l’enseignement supérieur s’agite depuis quelques mois sur la question des MOOC’s, ces cours en ligne ouverts et massifs, qui sont censés être le vecteur d’une révolution numérique. On y trouve tous les ingrédients qui avaient déjà été servis pour annoncer la fin de l’université traditionnelle au début des années 2000 : les "nouveaux" étudiants qui seraient familiers du numérique, le retard des universités européennes (et françaises) par rapport aux ogres américains, le "brain drain" (pillage de cerveaux) qui se met en place au profit des grandes universités anglo-saxonnes, la source de profits incommensurable "à terme", la fin des diplômes traditionnels, etc.

Cette fois sera-t-elle la bonne ? Bien malin qui peut y répondre aujourd’hui. Modèles et dispositifs pour l'enseignement à distance (elearning, enseignement hybride) Les cours en ligne, une opportunité pour les universités du Sud ?