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Géographie du genre, géographie et homosexualité

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VILLE GENRE. Géographie et sexualités. Café de Flore172 bvd Saint Germain - ParisDetails Map DataMap data ©2014 Cybercity, Google Map Data Map data ©2014 Cybercity, Google Date / Heure Date(s) - 27/05/201419:30 - 21:30 Emplacement Café de Flore Catégories.

Géographie et sexualités

Genre et urbanisme : "La ville est un espace de loisir pour les hommes" L’urbanisme cherche depuis des siècles à améliorer la vie quotidienne des habitants des villes, en construisant des espaces publics, en changeant la taille des rues, etc.

Genre et urbanisme : "La ville est un espace de loisir pour les hommes"

Pour autant, sommes-nous tous égaux face à la ville ? Chercheur en géographie au CNRS de Bordeaux, Yves Raibaud travaille depuis plusieurs années sur la répartition de l'espace urbain en fonction du genre. Dans un article publié sur le site du CNRS, il fait un constat accablant : la ville est construite pour les garçons. Interview. Jalons pour une géographie des homosexualités. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Association de Jeunes Chercheuses et Chercheurs en Études Féministes, Genre et Sexualités. Les géographies des sexualités et la géographie française peuvent-elles faire bon ménage ? L'histoire contemporaine des sexualités en France. Notes Ce texte est une version remaniée d’un précédent article paru dans Cahiers d’histoire.

L'histoire contemporaine des sexualités en France

Revue d’histoire critique, 84, 2001, p. 5-22. Les revues d’histoire ne sont cependant pas les plus nombreuses. Citons parmi d’autres « Sur la sexualité », Actes de la recherche en sciences sociales, 128, juin 1999 ; L’Histoire, numéro spécial, 5, juillet-août 1999 ; Laurent Bazin, Rommel Mendès-Leite et Catherine Quiminal (dir.), « Anthropologie des sexualités », Journal des anthropologues, 82-83, 2000 ; Marie-Françoise Quignard (dir.), « Érotisme et pornographie », Revue de la Bibliothèque nationale de France, 7, janvier 2001 ; Terrains et travaux, « Sexualités déviantes/Sexualités militantes », Cahiers du département de sciences sociales de l’ENS Cachan, 2, 2001 ; Sylvie Chaperon (dir.), « Sexualité et dominations », Cahiers d’histoire. Queer country: Rural lesbian and gay lives. Article Department of Geography, University of Sheffield, Winter Street, Sheffield S10 2TN, U.K.

Queer country: Rural lesbian and gay lives

Available online 10 November 1999 Choose an option to locate/access this article: Check if you have access through your login credentials or your institution Check access Get rights and content. Environment and Planning D abstract. Some theoretical implications of gay involvement in an urban land market. Lawrence Knopp Department of Geography, University of Minnesota, Duluth, Duluth, MN 55812, USA Available online 13 July 2002 Choose an option to locate/access this article: Check if you have access through your login credentials or your institution Check access Get rights and content This paper examines the theoretical significance of gay involvement in the gentrification of a New Orleans neighborhood.

Some theoretical implications of gay involvement in an urban land market

‘Lesbian migrants in the gentrified valley’ and ‘other’ geographies of rural gentrification. Les gays, acteurs de la gentrification urbaine à Paris et Montréal. Le Village, Montréal (cc) SeekUp78.

Les gays, acteurs de la gentrification urbaine à Paris et Montréal

Les commerces gays et le processus de gentrification. 1La notion de gentrification est bien connue des sociologues et des géographes.

Les commerces gays et le processus de gentrification

Elle vise à décrire un processus affectant les anciens quartiers populaires des métropoles occidentales selon quatre transformations principales : la réhabilitation d’un bâti généralement vétuste et dégradé, l’inversion complète de la sociologie des habitants du quartier, sous l’effet d’une éviction des catégories populaires par des ménages plus favorisés de « retour en ville », la transformation des activités et des commerces du quartier, et enfin le changement de l’image du quartier, devenant un lieu attractif, voire « branché » (Authier, 1998 ; Bidou-Zachariasen, 2003). Ce processus s’est largement diffusé dans les grandes villes européennes et nord-américaines et l’usage du concept de gentrification s’est de ce fait généralisé dans nos disciplines. 4L’enquête (2005-2008) 5L’enquête empirique a débuté au printemps 2005 et s’est terminée à l’été 2008. 7Des données qualitatives ont également été produites.

Les gays, acteurs de la gentrification urbaine à Paris et Montréal. Dès les années 1980, des travaux nord-américains ont mis en avant le rôle spécifique des populations homosexuelles, essentiellement masculines, dans la réhabilitation et la revalorisation des quartiers centraux de certaines métropoles nord-américaines (Castells et Murphy 1982 ; Knopp et Lauria 1985).

Les gays, acteurs de la gentrification urbaine à Paris et Montréal

Colin Giraud, Quartiers gays. 1 Voyez le compte rendu d’Arnaud Alessandrin : 1Alors que la visibilité et l’acceptation de l’homosexualité se font grandissantes tant à l’échelle de la société dans son ensemble que dans les espaces publics urbains, nombreux sont les chercheurs à estimer que les quartiers gays leur ont donné une visibilité et un refuge où une communauté, à l’orientation sexuelle commune, a pu se constituer, à la fois branchée et urbaine.

Colin Giraud, Quartiers gays

Les espaces gays dans l’espace urbain. La gaytrification a aussi des ramifications dans les espaces privés du logement qui interrogent le rôle des gays dans la gentrification résidentielle d’un quartier.

Nos deux terrains diffèrent beaucoup à ce sujet car la gentrification y apparaît inégale et inégalement diffusée. Dans le Marais, le processus est bien établi et les phases successives traditionnelles sont assez bien identifiables (Djirkian, 2004). Dans le Village, le processus plus limité et moins brutal aboutit à un profil de quartier mixte et intermédiaire où cohabitent gentrifieurs de type marginaux et culturels et ménages populaires (Van Criekingen, 2001). Dans ses aspects résidentiels, le processus de gaytrification ouvre la voie à deux hypothèses principales déjà évoquées. La première suppose que la présence des gays et le statut de quartier gay attirent l’ensemble des gentrifieurs, favorisant par la suite des transformations résidentielles. L'espace et le territoire sont-ils hétéros ? - Globe. En bas de billet, lancez le diaporama "Clichés volés : extrait d'une chronique du désir entre hommes", de Laurent Gaissad. Image vignette : Laurent Gaissad.

Alexandre DJIRIKIAN : geographie sociale et urbanisme. La gentrification du Marais à Paris : 40 ans d'évolution de la population et des logements. 8,0 Mo à télécharger, 265 pages Mémoire de Master 1 (2004) sous la direction de Martine Berger et Yvan Chauviré (CNRS/Ladyss) Univeristé Paris I Panthéon-Sorbonne Résumé / Summary Le Marais est un des quartiers de Paris qui s’est le plus embourgeoisé. Depuis les années 60, la population et les logements de ce quartier ancien et central ont changé de manière radicale, si bien que l’on peut parler de processus de gentrification. The Marais is one of the districts of Paris that became gentrified the most. Sommaire CHAPITRE 1. 1. A. un terme anglo-saxon qui cache différentes approches b. les manifestations spatiales et temporelles de la gentrification c. la gentrification et sa dynamique sociale 2. A. le retard de Paris sur les grandes villes anglo-saxonnes. Le Paris gay. Éléments pour une géographie de l'homosexualité.

Le questionnement du lien entre l’homosexualité et la ville nous paraît d’autant plus pertinent et fécond en géographie urbaine que celui-ci est très ancien. Les relations homosexuelles sont courantes et acceptées dans les cités de la Grèce antique (Halperin, 1990) comme elles sont répandues (mais déjà moins tolérées) dans les villes italiennes de la Renaissanc (Rocke, 1996) ou la plupart des grandes agglomérations européennes à partir du XVIIe siècle (Higgs, 1999). Aujourd’hui encore, même s’il est difficile de quantifier l’importance de cette population dans les villes, notamment les plus grandes, le nombre et la densité des établissements spécialisés, des associations, etc. ou le succès des manifestations de rues par exemple, tendent à indiquer que gays et lesbiennes sont majoritairement des citadins, en tout cas dans les pays anciennement urbanisés. Ces migrations peuvent être pendulaires. Le Marais va-t-il rester le quartier gay francilien ? – RER F.

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