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SocGen Imaginons une banque simple

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Un marketing de la simplicité. Tel est mon devoir du moment. Bientôt un débat pour la Web TV de Orange Business Services, et un papier à faire avec notre ami Laurent Florès. Le marketing de la simplicité en est l'énoncé. Voici un sujet qui n'est pas simple ! Car le simple ne se saisit pas de manière aussi évidente qu'on espérait. Le simple est ce qui varie de l'idiotie à l'évidence d'une compréhension immédiate. Soyons plus nuancé, le simple est la réduction de tout effort supplémentaire au regard de ce que l'on est en mesure de faire.

Mais le simple est aussi affaire de morale. Les produits simples ne sont pas toujours ceux qui nous suffisent, mais ceux que l'on consomme pour contester à d'autres une certaine hégémonie. Le simple enfin est une esthétique. Le simple donc n'est pas si simple, moins qu'une vertu, il est une position politique. Le marketing de la simplicité n'est pas une vérité, mais un moment.

Simplicité volontaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La simplicité volontaire ou sobriété heureuse est un mode de vie consistant à réduire volontairement sa consommation, ainsi que les impacts de cette dernière, en vue de mener une vie davantage centrée sur des valeurs définies comme « essentielles ». Cet engagement personnel et/ou associatif découle de multiples motivations (voir section : Motivations) qui vont habituellement accorder la priorité aux valeurs familiales, communautaires et/ou écologiques.

Histoire[modifier | modifier le code] Les précurseurs[modifier | modifier le code] Si on peut trouver l'origine de la simplicité volontaire chez les différentes formes d'ascétisme grecques et orientales, ces dernières étaient surtout motivées par une philosophie mystique, et c'est donc plutôt chez les stoïciens, les cyniques, et surtout chez Épicure qu'on peut voir la réelle apparition du concept de simplicité volontaire.

Au XXe siècle[modifier | modifier le code] CONCEPTION ANTIQUE DU BONHEUR. « Molinia's Blog. La revue "Le Point" publie régulièrement des numéros hors-série. Une revue a comme thème : "Le bonheur. Les textes fondamentaux". Les auteurs choisis sont ceux qui parlent du bonheur, non ceux qui le nient. Au total, trente-six textes allant de l’Antiquité à nos jours en passant par les religions du Livre et les sagesses d’Orient. Comme dans toute la collection, le lecteur trouve un texte original à droite et sa clé de lecture à gauche. Le premier article, écrit par Pascal Bruckner, est titré : "La tyrannie du bonheur". Je me suis intéressée à la première partie : Sagesses antiques.

Ainsi, contrairement à ce que beaucoup affirment, la recherche du bonheur était déjà très présente dans l’Antiquité. La revue reprend des textes de Platon, Diogène, Aristote, Epicure, Cicéron, Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle, Cicéron. Diogène est probablement le plus connu des philosophes, pour ses provocations et sa vie dépouillée. Je ne résiste pas à rappeler une anecdote très connue. Like this: La simplicité créée de la valeur pour l'entreprise | Consultrade | Luxembourg. Voici quelques temps, un équipementier automobile me contacte pour que j’anime une formation de base à la résolution de problèmes pour un ensemble de Responsables de Production. Je lui dis mon étonnement : des outils années 70 pour l’automobile ? Ce secteur est pourtant très en avance en matière de méthodes de travail ! Insistance de mon interlocuteur : c’est vraiment ce qu’il veut ! Les participants arrivent tous très tendus et s’assoient en posant leur téléphone portable bien en vue devant eux.

A la moindre sonnerie, ils bondissent dessus pour répondre. Les échanges sont nombreux et la séance est vraiment vivante mais peu disciplinée et avec de nombreuses conversations parasites. Un éclat de rire général ! Quand je leur fait la remarque que faire une seule chose à la fois serait plus efficace, c’est un éclat de rire quasi général ! C’est le mode de travail « normal » : ils passent le plus clair de leur temps en réunion et n’ont plus de temps entre 2 réunions. Repartir des bases. La simplicité dans la conception des services (1/2) - techtoc.tv, web-tv communautaire rich media. La problématique, le contexte : Notre société voit chaque jour émerger de nouveaux produits, de nouvelles solutions, à fort contenu technologique. Dans un environnement où les prises de décisions s’accélèrent, où les cycles de vie des produits se réduisent, où la concurrence est vive… garantir une appropriation rapide des innovations est un enjeu commercial et organisationnel majeur.

Cette appropriation passe en partie par l’appréhension rapide et la plus complète possible de la solution. Tout projet d’innovation aujourd’hui est donc pensé au prisme de cette sacro sainte simplicité érigée en valeur ou en promesse par nombre d’entreprises télécoms et informatique. Si cette notion apparaît évidente et séduisante sur le plan intellectuel, reste que son applicabilité, sa définition s’avèrent moins aisées. Les interrogations : Comment créer de la simplicité dans un univers qui intègre de plus en plus de complexité technologique et même organisationnelle? Voir la deuxième partie de ce Webcast.

Mon banquier c'est moi

BankSimple | Online Banking Alternative. Replace your bank with the best way to save and spend. Les silos ou la complexité des grandes banques - ARKOYA. Le mouvement de balancier suivant est bien connu : parfois Big is beautiful et à d’autres moments Small is better. On se souviendra de l’industrie des Télécommunications aux Etats-Unis. A l’origine ATT qui était l’opérateur unique national fut divisé en 7 « Baby Bells » le 1 janvier 1984. Puis au début des années 2000 la plupart fusionnent entre eux à leur tour : AT&T a refusionné avec 4 d’entre eux dont SBC un des plus importants.

Hors AT&T nouvelle version, il n’en reste que trois : Bell Atlantic+Nynex devenu Verizon et US West. A l'heure de la crise des suprimes qui dégénère en crise financière internationale, il est légitime de poser la question : les banques sont-elles devenues trop grosses ? Le Glass-Steagall Act* Coté banque c’est un peu la même chose. L’objet de celui-ci a permis : - d’instaurer une incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d'investissement; - de créer le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires; Des monstres à plusieurs têtes.

Human after all

L'innovation dans le milieu bancaire. La carte bancaire fait sa jolie. Le petit rectangle de plastique se pare aujourd'hui d'imprimés à coller soi-même. Des autocollants pourtant pas vraiment légaux. On croyait les stickers définitivement associés à la collection Panini de notre enfance. Pourtant les stickers reviennent tout feu tout flamme. Depuis quelques temps, les consommateurs blasés par leurs cartes bancaires uniformes, réussissent ainsi à les transformer en objets singuliers. Légal, illégal ? Après le choix du sticker, il reste encore à sélectionner celui dont la forme est adaptée à sa carte bancaire. Peut-être parce que le procédé n'est pas complètement légal. » DOSSIER SPECIAL - La carte bancaire fait peau neuve » LIEN COMMERCIAL - Découvrez la carte qui épargne. Pub TV Kwixo - Petit cadeau entre amis. Le bon sens a de l'avenir - CREDIT AGRICOLE. Le bon sens a de l'avenir - Crédit Agricole - Petite fille.

Le bon sens a de l'avenir - Crédit Agricole - Agriculteur. Besoin d’une baby-sitter ? Appelez votre banquier - nowideas. 17 mai 2011 - tendance détectée par Rochette demain vous vivrez ça... Demain, c’est probablement votre banquier qui accomplira vos démarches administratives et se chargera de vous trouver un plombier. Être citoyen est déjà un full-time job : déclarer vos impôts, changer de forfait téléphone, trouver une babysitter, renouveler une garantie.

Demain, ce sera pire : encore plus d’info à gérer, encore plus de formalités à assurer. Demain, votre banquier dirigera certainement vos économies vers des micro-entreprises locales. Demain, votre banquier pourrait bien être un super-manager responsable pour vous aider au quotidien. D'autres façons d'externaliser la gestion de votre vie Un futur détecté par... Rochette Journaliste depuis 1999, Emmanuel travaille aussi bien pour la presse écrite que pour la presse en ligne. Projet banque de détails. La premiumisation, vous connaissez ? —MaBulle ™ La Premiumisation peut être définie comme «le positionnement ou le repositionnement d'une marque ou une entreprise existante dans le haut de gamme ou le sur un marché mature ". En clair, tirer une marque vers le haut de gamme. La Premiumisation a été développée à travers toutes les catégories de produits, depuis les années 1980 et dans certains cas, a mûri à un point tel qu’on parle de «Super premium».

Evidemment, par sa nature, le «premium» est subjectif : des prix élevés, des produits qui se doivent d'être relativement rares, généralement pour des adultes. Encore que DIOR fait un tabac avec ses brassières chic brodées d'or... En théorie, une stratégie de premiumisation fournit un potentiel de marges plus élevées et offre des avantages de distanciation par rapport à la fabrication. Post recession ? Ne cherchez pas : c'est du marketing ! I\ Stratégies commerciales - Les stratégies commerciales & territoriales de Mcdonald's. A. La publicité En octobre 1963, la première annonce de la chaîne de restauration rapide McDonald’s à la télévision faisait son apparition sur une chaîne régionale de Washington, WRC-TV. Personnifié par Willard Scott, Ronald McDonald avait été créé à l’initiative de deux associés qui contrôlaient une masse critique de franchises McDonald’s dans la région de Washington.

Puisqu’à l’époque, c’était les franchisés McDonald’s qui devaient eux-mêmes s’occuper de faire la promotion de leurs restaurants, les deux associés étaient les seuls au sein des franchisés de la chaîne qui aient assez de restaurants dans la même région et de ressources financières pour investir en publicité télévisuelle. Au début des années 1960, ils commanditaient une émission populaire pour enfants, Bozo the Clown, dont le comédien n’était nul autre que Willard Scott, qui incitait ses jeunes téléspectateurs à fréquenter McDonald’s.

Macdonald's consacre un budget de millirads d'euros par an pour sa publicité. B. C. D. Le désamour des Français vis-à-vis de leur banque s'accroît. L’épreuve de l’argent. Une sociologie de la banque et de ses clients, de Jeanne Lazarus. Les relations entre banquiers et clients, parfois violentes, souvent méfiantes, sont fondées sur des contradictions profondes venant de deux définitions de ce qu’est la banque : une institution sociale assurant un service public ou un espace marchand poursuivant des buts uniquement monétaires. Les banques françaises ont entamé dans les années 1960 un tournant commercial qui a transformé leurs modes de recrutement, leur management et les services proposés aux clients.

Dans les années 1960 et 1970, le client bancaire « type » était un salarié disposant d’un revenu permanent, qui lui permettait de projeter épargne et crédits. Alors que la situation de l’emploi a changé, que les carrières sont moins sûres, et que l’insertion professionnelle des jeunes générations s’est compliquée, les banques continuent à exiger une stabilité professionnelle, mais aussi personnelle et familiale. Les clients eux-mêmes font en sorte de ressembler au modèle exigé. (note de l'éditeur) Banques : comment regagner la confiance de vos clients - Journal du Net Economie. Daniel Pion, associé conseil chez Deloitte, analyse la dernière étude du cabinet d'audit sur le regard que les Français portent sur leur établissement bancaire après la crise financière. Deloitte publie les résultats de son étude menée fin 2010/début 2011 auprès de près de 3 200 clients (en collaboration avec l'institut de sondage Harris Interactive) et qui a pour objet d'apprécier le niveau de confiance des clients français à l'égard du système bancaire en général et de leur banque principale.

Les principaux enseignements tirés de cette étude sont éclairants à plus d'un titre : La confiance dans le système bancaire en général a été entamée : 4 clients sur 10 seulement déclarent encore avoir confiance dans celui-ci Une fois recentrés sur leur banque principale, les clients se positionnent plus positivement en termes de confiance, mais cela ne se traduit pas pour autant par un réel enthousiasme.