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Société des lecteurs de Renaud Camus. Lenga d'oc : poésie occitane, littérature occitane. Cette rubrique Lenga d'oc a pour objectif de mieux faire connaître la poésie occitane contemporaine, qui reste trop souvent méconnue et ignorée du "système" littéraire français. Pourtant cette langue d'oc au prestigieux héritage, que les troubadours firent rayonner dans toute l'Europe du Moyen-Âge, bien qu'aujourd'hui minorée, est une langue vivante résolument moderne, riche et flexible, idéalement adaptée à l'expression poétique. Plusieurs auteurs occitans (Max Rouquette, Bernard Manciet, Marcelle Delpastre entre autres...) ont marqué le XXe siècle avec des œuvres majeures à la portée universelle, dont certaines ont été traduites en de nombreuses langues. Aujourd'hui, une nouvelle génération d'écrivains continue à témoigner du dynamisme et de la modernité de cette littérature qui n'a cessé de se renouveler depuis bientôt mille ans.

Poezibao. Le Matricule des Anges, magazine littéraire. Max Rouquette - Poète, écrivain et homme de théâtre.

Critiques

Luca Antara. Arnaud maïsetti | carnets. La revue des ressources. Dernier baiser 12 février, par Xavier Zimbardo Il y a des gens comme ça, qu’on connaît ou qu’on croise… Des visages tellement noyés d’un long chagrin qu’ils sont devenus le masque même de l’amertume. Des traits anéantis, où tout est effondré, exténué, dévasté, (...) Sarajevo : Notre résistance 2 février, par Robin Hunzinger Ce film est l’histoire d’une aventure collective, et le portrait d’un homme qui n’existe que par le rapport aux autres, l’inscription dans ce qui le dépasse.

Cet homme, on ne le verra pas, on verra ce qu’il a (...) Chérie fais de beaux rêves ! [ pour un homme - 7 ] 22 janvier, par Aliette G. Certhoux à Edwige Belmore VIII. Michel Chaillou : Présentation de l'écrivain français. W. G. Sebald « Norwich. W. G. Sebald, Austerlitz, p.15 Nos conversations d’Anvers, comme il les a parfois appelées ultérieurement, eurent trait, au premier chef, à l’histoire de l’architecture. Jean Clair, Le voyageur égoïste, p.222 J’aimais la gare d’Anvers plus que toute autre. Une rencontre rêvée : celle du narrateur d’Austerlitz (ou Jacques Austerlitz lui-même) avec Jean Clair, autre historien d’art, qui pour des motifs plus voluptueux On sait combien les gares ont depuis toujours partie liée avec certains plaisirs. avait pris l’habitude de se rendre à Anvers au cours des années soixante et avait été lui aussi frappé par les dimensions et l’allure peu communes de la Centraal Station, dont il perçoit très vite des reflets dans ma mémoire, le souvenir de la gare est inséparable d’un autre bâtiment dans d’autres lieux proches, un peu comme la gare, dans le récit de Sebald, vient se confondre dans l’esprit du narrateur avec le Nocturama du zoo voisin, et ses animaux reclus Comme dans Austerlitz, et détails de l’édifice.

Face Terres... Le bloc-note du desordre. Jeudi Les éditeurs ne comprenaient pas. A propos d’Au pays du p’tit de Nicolas Fargues La littérature de gare existe vraiment je l’ai rencontrée. A la bibliothèque du Comité d’Entreprise de la Très Grande Entreprise qui m’emploie. Au rayonnage Nouveautés où je pioche de temps en temps des livres dont je ne sais rien a priori, ni le titre, ni le nom de l’auteur ne me disent quelque chose. Et puis des fois j’ai moins de chance, cela me tombe des mains assez lamentablement, Siri Hustvedt, Un monde flamboyant, détestation immédiate, là où finalement je suis le moins prompt au pardon, prendre un chouette sujet et le massacrer à force de balourderies de première de la classe qui récite bien sa leçon.

La semaine dernière. Ca part très bien. Partout où le personnage de l’universitaire passe, il a l’occasion de donner des marques de son admirable assise intellectuelle, en boîte de nuit à Saint-Petersboug — endroit tellement propice à la réfelxion de fond, et tellement classe ! Dimanche Pour eux. Le tiers livre, littérature.