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Défense et soutiens à Séralini

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Answers to critics. Le manque de rigueur de dossiers d’homologation d’OGM. Séralini répond à ses détracteurs. Author defends Monsanto GM study as EU orders review. BRUSSELS Thu Sep 20, 2012 4:56pm BST BRUSSELS (Reuters) - The French author of a study linking a type of genetically modified corn to higher health risks in rats dismissed criticism of his research methods on Thursday, describing the work as the most detailed study to date on the subject. Gilles-Eric Seralini of the University of Caen and colleagues said on Wednesday that rats fed on Monsanto's genetically modified corn or exposed to its top-selling weed killer suffered tumors and multiple organ damage and premature death. But experts not involved with the study were skeptical, describing the French team's statistical methods as unconventional and accusing them of going "on a statistical fishing trip". Speaking at a news conference in Brussels on Thursday, Seralini defended the peer-reviewed study, which was published in the journal Food and Chemical Toxicology.

"We hope that by the end of the year we will have an EFSA opinion on this piece of scientific research. " Séralini, l’auteur de l’étude contestée, se défend | Rue89 Planète. Séralini indique que les « bonnes pratiques de laboratoire » ont été respectées, mais reconnaît qu’idéalement, il faudrait mener son expérience sur plus de rats. Entretien. « Insuffisante » l’étude sur les OGM menée par l’équipe de Gilles-Eric Séralini ? L’Autorité européenne de sécurité des aliments, l’Efsa, estime en tout cas qu’elle n’a pas à réévaluer l’autorisation du maïs transgénique NK603, malgré les conclusions alarmantes de ce travail. Le site Reporterre a demandé au chercheur mis en cause de s’expliquer.

Le professeur Gilles-Eric Séralini et son équipe scientifique ont publié le 19 septembre dans la revue Food and Chemical Toxicogology une étude concluant à la dangerosité d’un régime alimentaire comprenant un maïs transgénique résistant au pesticide Roundup. Critiques et contre-feux tous azimuts Très rapidement se sont déclenchés des contre-feux vigoureux : les critiques se sont multipliées, contestant la valeur scientifique de l’étude. Les réponses de Gilles-Eric Séralini. Séralini : «Notre étude sur les OGM porte sur deux ans...» | Libération. Le 19 septembre, le professeur Gilles-Eric Séralini a lancé un pavé dans la mare des OGM en publiant une étude dans une revue de toxicologie Food & Chemical Toxicology. Durant vingt-quatre mois, l'équipe du chercheur a nourri des rats à partir de maïs OGM NK-603.

D’après leurs conclusions, les rats nourris au maïs transgénique ont développé cinq fois plus de tumeurs que les rats témoins. Depuis la publication, les critiques fusent : la méthodologie de l'équipe de l’université de Caen serait mauvaise et les intentions clairement militantes. L’Autorité européenne de sécurité sanitaire a retoqué l'étude, la jugeant insuffisante.

Le Haut Conseil des biotechnologies et l’Anses ont été saisis par les ministres de l'Ecologie et de l’Agriculture. Quarante chercheurs ont publié une tribune dans l’hebdomadaire Marianne, tandis que Séralini était auditionné cette semaine à l’Assemblée nationale. Depuis sa parution, votre étude est très controversée, notamment sur sa méthodologie. Absolument. Deheuvels: pourquoi la méthodologie de Séralini est statistiquement bonne | le Plus. Maïs et OGM (CLOSON DENIS/ISOPIX/SIPA) L'objet de cette tribune est d'apporter mon soutien le plus ferme à G.E Séralini, professeur à l'Université de Caen. J’ai pris connaissance du fait que le professeur Séralini avait réalisé des études comparatives ayant eu, récemment, un considérable retentissement. À ma connaissance, ces enquêtes ont été conçues et analysées en conformité aux meilleures normes professionnelles en vigueur, et devraient être appréciées comme telles.

La durée de l'expérience : un gage de fiabilité L'un des points les plus intéressants et innovants de ces études est qu’elles ont été menées sur des durées inhabituellement longues. Le cas particulier du développement de tumeurs relève de cette catégorie, et il n'est donc pas surprenant que les études existantes, ayant été développées sur des durées plus courtes que celle des travaux de G.E. Des reproches statistiques infondés : explications concrètes On reproche, par exemple, à G.E. Cette critique est infondée. 1. 2. Deheuvels: L'étude de Séralini sur les OGM, pomme de discorde à l'Académie des sciences | le Plus.

Des rats avec tumeurs à la suite de l'expérimentation de Séralini sur l'OGM Monsanto (CRIIGEN/AFP) Je viens d'apprendre qu'un tout petit nombre de représentants des six Académies (Sciences, Médecine, Technologies,...) se sont réunis pour publier un communiqué commun concernant l'étude du professeur Séralini (éditée récemment dans la revue "Food and Chemical Toxicology"). Les Académies ne sont pas engagées dans leur ensemble Sans même avoir lu leur déclaration, je me dois d'attirer l'attention du public sur le fait que le dit communiqué ne peut engager l'une ou l'autre de ces académies dans leur ensemble. En effet, un groupe d'experts a été convoqué en urgence, on ne sait par qui, on ne sait comment, dans une absence totale de transparence concernant le choix de ses membres, et sur la base de 2 représentants par académie. Ces personnes ont cru bon de rédiger dans un espace de temps très bref un avis très critique sur cette étude.

Un mauvais procès fait à l'étude de Séralini. OGM NK630: L’étude du Pr Gilles-Éric Séralini contestée. L’étude du professeur Gilles-Éric Séralini concernant la nocivité d’un mais OGM NK630 est contestée par une partie de la communauté scientifique. Six Académie ont publié une critique très sévère de cette étude. Mais Paul Deheuvels, de l’Académie des sciences, fait remarquer que le texte mis en ligne ne reflète pas le point de vue de l’ensemble des Académiciens mais donne seulement celui d’un petit nombre de scientifiques. L’académicien des sciences s’insurge en premier lieu contre la façon dont s’est constitué le petit groupe d’experts qui convoqué dans l’urgence, sans aucune transparence, a rédigé dans des délais très bref une critique de l’étude Séralini. Les 2 représentants par Académie signataires du communiqué ne peuvent à eux-seuls incarner l’avis de l’ensemble des Académiciens, selon Paul Deheuvels. C’est habituellement dans la partie toxicologue que sont faites les analyses statistiques, et l’étude Séralini a suivi ces règles.

Google+ Commentaires. Séralini reçoit le soutien de chercheurs internationaux | Nouvel Observateur. Le site d’information "Independent Science News" a décidé de prendre part au débat sur les OGM. Le 2 octobre, il a publié une "lettre ouverte" de soutien au chercheur français Gilles-Eric Séralini, auteur d’une étude sur la toxicité du maïs OGM NK 603 sur les rats, qui a déclenché une vive polémique dans la communauté scientifique et les médias. Le texte, intitulé "Séralini et la science", rédigé par sept chercheurs internationaux, signé par une vingtaine d’autres et traduit en français, profite de l’affaire Séralini pour pointer les nombreux obstacles auxquels se heurtent les scientifiques qui souhaitent mener des études indépendantes, dès lors que d'importants intérêts économiques entrent en jeu.

"L'étude de Séralini et l'attention médiatique qui en résulte font ressortir des difficultés fondamentales qui se posent à la science dans un monde de plus en plus dominé par l'influence des grandes sociétés". Parmi les "difficultés fondamentales" pointées : African scientist discusses GM maize study | GMWatch. 1.Genetically-modified organisms in news again2.Sprague Dawley rats frequently used in long-term toxicity/carcinogenicity studies NOTE: Item 2 shows that the Sprague-Dawley (SD) rat used by Seralini far from being the "wrong rat", as Seralini's critics endlessly repeat, is actually the standard for Monsanto's 90-day tests on GMOs and for industry and independent 2-year chronic toxicity and carcinogenicity tests on chemicals.

Peer-reviewed data also show, incidentally, that the SD rat is an excellent human-equivalent model for predicting cancer in humans in long-term (2-year) studies.–-–-1.Genetically-modified organisms in news againProfessor John MooreSunday Mail (Zambia), October 9 *Two weeks ago, the Sunday Mail produced an exclusive investigative story which showed how unsafe genetically-modified organisms (GMO) maize is on rats as they developed tumours after being subjected to GMOs.

Professor G. The results are really shocking. 1. 2.