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Alcool

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Revue - Le libérateur. Alcool et grossesse. Alcool et grossesse. Que faire contre la dépendance à l'alcool ? L'abstinence totale et définitive est la condition à un possible rétablissement de la personne dépendante de l'alcool, mais elle ne suffit pas si elle ne s'intègre pas dans un nouveau mode de vie acceptable.

Que faire contre la dépendance à l'alcool ?

Le fait que les addictions et en particulier l'alcoolo-dépendance ont des causes multifactorielles conduit à penser qu'il est vain de traiter cette maladie sans l'appréhender dans sa globalité. En particulier, les re­cherches de ces dernières années ont montré une association complexe entre alcool et troubles psychiatriques. En effet, chez les personnes alcoo­lo-dépendantes, une comor­bi­dité psychiatrique est observée dans 30 à 50 % des cas. À l'inverse, une proportion identique des patients admis en psychiatrie en Europe présente un trouble mental associé à un abus de substance (alcool, sédatifs, cannabis).

Les deux troubles sont liés L'association d'une alcoolo-dé­pendance et d'un trouble psy­chia­trique pénalise le malade à plusieurs titres. » Les effets de l'alcool. L'ivresse du silence. Questionnaire dépendance à l'alcool. Alcoolodépendance Accompagnement - Recommandations (Version courte).pdf. Alcoolinfoservice - INPES. Dépliants - Prévention alcoologie. Sevrage alcool - Recommandations. Syndrome d'alcoolisation fœtale. De nombreuses données expérimentales (expérimentations sur les rongeurs, ovins, primates et cultures cellulaires) confirment le rôle direct de l’alcool dans la genèse des anomalies morphologiques et neuro-comportementales [12-17].

Syndrome d'alcoolisation fœtale

Les lésions cérébrales observées expérimentalement comportent des troubles de la gyration, des anomalies du corps calleux et de l’hippocampe, des hétérotopies et des troubles de la myélinisation, de la prolifération et de la différenciation neuronales. Toutes ces lésions sont clairement dose-dépendantes et en particulier l’inhibition de la croissance cérébrale responsable de la microcéphalie. Différents mécanismes ont été décrits: toxicité directe de l’acétaldéhyde, diminution de l’expression de la myelin basic protein [16], libération des stocks intracellulaires de calcium et augmentation de l’expression des protéines MYC inhibant la différenciation neuronale, ... [13]. La consommation d’alcool [9-11] est le plus souvent exprimée en «verres»: J.

P. S.J. Modalités de l'accompagnement du sujet alcoolodépendant après sevrage. Alcool et santé : bilan et perspectives. Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Mickaël Naassila, directeur de l’équipe Inserm ERI 24, "Groupe de recherche sur l'alcool & les pharmacodépendances" (GRAP) et Bertrand Nalpas, directeur de recherche à l’Inserm et chargé de la mission "Addiction" – mars 2016 © Fotolia La consommation d’alcool diminue régulièrement en France depuis une quarantaine d’années : elle a été divisée par deux entre 1960 et 2009.

Alcool et santé : bilan et perspectives

Les données du Baromètre santé 2014 indiquent qu’environ 13,6% des adultes ne boivent jamais et 9,7% boivent tous les jours (14,6 % des hommes et 4,9% des femmes). Le vin reste de loin la boisson la plus consommée. La consommation débute le plus souvent à l’adolescence, période durant laquelle la bière et les prémix (boissons alcoolisées, sucrées et aromatisées) sont les boissons les plus populaires. Une toxicité importante pour l’organisme La consommation d'alcool expose à de multiples risques pour la santé en fonction des quantités absorbées.

Alcool et cerveau © Inserm, P. Bibliographies et synthèses.