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Recensement d'accidents

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Terrible accident du travail au Havre : la jambe broyée sous la roue d’un engin de manutention. Pyrénées : un salarié de Superbagères se tue sur un engin de chantier. Vendredi, en fin d’après-midi, vers 17h, les collègues de Jérôme Ballarin, un des salariés permanent de la station de ski de Superbagnères, au-dessus de Luchon (Haute-Garonne), inquiet de ne pas le voir revenir, ont alerté les secours. Ce quadragénaire était parti, dans l’après-midi, sur son engin de chantier, sur le secteur du Céciré, le domaine le plus élevé de la station, rapporte le site de "La Dépêche".

Dès l’alerte donnée, les membres de la CRS 29, appuyés par les gendarmes du PGHM de Luchon se sont rendus sur les lieux à la recherche du disparu, alors qu’un hélicoptère avec un médecin du Samu à bord décollait de Tarbes. Les pisteurs de Superbagnères ont retrouvé le corps inanimé du quadragénaire. Malgré les tentatives de réanimation, le médecin du Samu n’a pu que constater le décès. Selon les premières constatations, l’engin de chantier sur lequel travaillait Jérôme Ballarin serait sorti de la piste, avant de chuter d’une soixantaine de mètres.

Base de données Épicéa. Acces rapides : Recherche rapide | Plan | Navigation principale | Aller au contenu | Pied de page Fin des accès rapides. Santé et sécurité au travail Accueil(/accueil/) > Produits et services(/accueil/produits.html) > Bases de données(/accueil/produits/bdd.html) > Épicéa Base de données Épicéa More Sharing ServicesPartager( Navigation transversale secondaire Presse Emploi Appels d'offres Plan du site Glossaire Contact Accessibilité Mentions légales Page extraite du site www.inrs.fr Copyright © INRS. Www.travail-et-securite.fr/archivests/archivests.nsf/(allDocParRef)/TS636page38_1/$File/TS636page38.pdf?OpenElement. Charazac Avocat Nice - Accident du travail - La faute inexcusable de l'employeur. La loi de 1898 sur les accidents du travail, aujourd'hui toujours en vigueur, est un texte "compromis", faisant bénéficier les salariés d'une réparation automatique, mais forfaitaire en contre partie de l'immunité de l'employeur.

Cette solution fut étendue aux maladies professionnelles en 1919. Les modalités des indemnisation des accidents du travail sont prévues aujourd'hui par l'article 4 du Code la sécurité Sociale. La réparation forfaitaire des accidents du travail présente l'inconvénient d'indemniser les salariés victimes, dans des conditions moins favorables que celles du droit commun, puisqu'elle consiste essentiellement aux remboursements des frais de soins et de pertes de salaires, en l'allocation d'une rente, sans réparation des préjudices personnels. La reconnaissance donc d'une faute inexcusable à la charge de l'employeur est le seul moyen de permettre au salarié de bénéficier d'une réparation complémentaire dans des conditions proches du droit commun. I. II. III. IV. Tué sous sa pelle mécanique. Décès d'un opérateur de pelle mécanique dans une carrière - Ellé vivante. Décès d’un opérateur dans une carrière La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) rend publiques aujourd’hui les conclusions de son enquête sur l’accident du travail qui a entraîné le décès de M.

Roger Mercier, un opérateur de pelle mécanique des Carrières Castonguay de Rock Forest. L’accident est survenu le 12 juillet 2005 dans une carrière exploitée par Construction DJL, à Val-des-Monts. Alors que le travailleur s’affaire à récupérer de la roche à l’aide d’une pelle mécanique au pied d’une paroi de la carrière, une section de la carrière s’affaisse et écrase mortellement le travailleur. L’accès par le travailleur à la zone dangereuse et une inspection superficielle et incomplète figurent notamment parmi les causes qui expliquent cet accident.

Rappel des évènements Les carrières Castonguay se spécialisent dans la fracturation du roc par explosifs, principalement sur des sites à ciel ouvert. Constatations de la CSST Suite de l’article... Accident du travail : travail : écrasé par un chariot élévateur. En septembre 2008, un chauffeur livreur, employé par les sociétés Dijon Céréales et Dijon Céréales Logistic, était victime d’un grave accident alors qu’il déchargeait son camion chez un agriculteur à proximité de Saint-Germain-des-Champs.

En effet, suivant les témoignages, le chauffeur aurait eu une mauvaise appréciation du terrain, dans un virage et en pente, et c’est en manœuvrant son chariot élévateur, de type chariot embarqué, destiné à décharger les palettes de marchandises que l’engin se serait retourné sur lui. Un accident terrible, aux conséquences irréversibles puisque l’homme est aujourd’hui tétraplégique. « Le manquement à l’obligation de sécurité […] constitue une faute inexcusable de l’employeur […]» Une jurisprudence décortiquée, dans ce dossier, et quels que soient les arguments avancés par le directeur à la barre, et par son avocat, elle montre sans détour que c’est bien à l’employeur qu’incombe la responsabilité des formations assurant la sécurité des employés.

Ariège : un homme de 27 ans tué dans un accident du travail. La pelle bascule dans l’eau : l’ouvrier meurt noyé. Dramatique accident du travail, hier après-midi, sur le chantier de construction de la LGV Est européenne, non loin du village de Hérange, près de Phalsbourg. Un ouvrier originaire de l’île de la Réunion est mort dans d’horribles circonstances. Conducteur d’une pelleteuse, l’homme était occupé à creuser sous l’ouvrage n° 160, un pont enjambant la future voie, sur le lot n° 42. À cet endroit, suite aux récentes chutes de pluie, mais également à la proximité de la nappe phréatique, le terrain était complètement détrempé, couvert d’une boue grasse et surtout de flaques, larges et profondes. Selon des témoins, l’ouvrier aurait reçu l’ordre d’aller travailler un peu plus loin et aurait alors amorcé un demi-tour avec son engin.

C’est lors de cette manœuvre que la pelleteuse a été accidentellement déséquilibrée à cause du dénivelé masqué par l’eau boueuse. L’engin s’est brusquement couché sur le côté, plongeant presque totalement dans la mare profonde d’au moins trois mètres. Emotion et silence.