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Revenu citoyen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu de base est un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans conditions de ressources ni obligation de travail, selon la définition du Basic Income Earth Network (BIEN)[1]. Il reconnaît la participation de l'individu pour la société, indépendamment de la mesure de l'emploi. Cette proposition est aussi appelée : « revenu universel »[2], « revenu inconditionnel »[2], « revenu inconditionnel suffisant »[3], « revenu d'existence »[4], « revenu minimum d'existence »[5] « revenu social »[6], « revenu social garanti »[4], « allocation universelle »[4], « revenu de vie »[7], « revenu de citoyenneté »[8], « revenu citoyen »[9],[10], « dotation inconditionnelle d'autonomie »[11] ou « dividende universel »[4]. Le revenu de base a été expérimenté notamment au Canada, en Inde ou en Namibie.

Montant[modifier | modifier le code] Financement[modifier | modifier le code] Thomas Paine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Paine. Thomas Paine, né le à Thetford en Grande-Bretagne et mort le à New York, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire devenu américain après avoir émigré à l’âge de 37 ans. Il est connu pour son engagement durant la Révolution américaine en faveur de l'indépendance des treize colonies britanniques en Amérique du Nord. Il a exposé ses positions dans un célèbre pamphlet intitulé Le Sens commun, publié quelques mois avant la signature de la Déclaration d’indépendance américaine en 1776. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé »[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts en Angleterre[modifier | modifier le code] Maison de Thomas Paine à Lewes.

Statue de Thomas Paine à Thetford (Norfolk). En Amérique[modifier | modifier le code] Voltaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Compléments François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le à Paris, ville où il est mort le (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale.

Son œuvre littéraire est variée : son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle mais elle comprend également des contes et romans, les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une importante correspondance, plus de 21 000 lettres retrouvées. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. Biographie Débuts (1694-1733) Études chez les Jésuites (1704-1711) Notes. Victor Hugo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Victor Hugo par Nadar. Œuvres principales Victor Hugo Écouter, né le à Besançon et mort le à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française.

Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété[3],[4]. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre. Biographie Enfance et jeunesse Maison natale de Victor Hugo à Besançon. Victor, Marie Hugo[9] est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773‑1828), créé comte, selon la tradition familiale, par Joseph Bonaparte, roi d'Espagne et en garnison dans le Doubs au moment de la naissance de son fils, et de Sophie Trébuchet (1772‑1821), jeune femme issue de la bourgeoisie nantaise (voir maison natale de Victor Hugo).

Jeune écrivain François–Victor naît en octobre 1828. Crédit social. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le crédit social est une idéologie économique et un mouvement social qui est apparu au début des années 1920. À l'origine, c'était une théorie économique développée par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas. Chaque citoyen reçoit chaque année un total de monnaie créée proportionnel à la croissance des biens et services, et inversement proportionnel au nombre de citoyens de la zone monétaire.

Le nom « crédit social » dérive de son désir de faire que le but du système monétaire (« crédit ») soit l'amélioration de la société (« social »). Le crédit social est aussi appelé dividende universel, dividende social ou, de façon sans doute plus adaptée, dividende monétaire. Théorie[modifier | modifier le code] C. Le théorème A+B[modifier | modifier le code] Pour qu'un tel système soit soutenable, Douglas affirmait qu'une ou plusieurs des situations suivantes devait se produire : La solution du crédit social[modifier | modifier le code] Soient : Clifford Hugh Douglas. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Douglas. Clifford Hugh Douglas est né à Stockport en Écosse en 1879 et est mort en 1952. C'est un ingénieur et un auteur britannique connu pour avoir créé le concept de Crédit social. Biographie[modifier | modifier le code] Il étudia à Cambridge, travailla pour Westinghouse, la Royal Air Force pour des compagnies de chemin de fer à Buenos Aires et à Londres. Alors qu'il travaillait pour la RAF, il remarqua que la somme des coûts dépassait la somme des salaires et des dividendes payés. Douglas rassembla des données pour plus de cent entreprises britanniques et il découvrit que dans les entreprises allant vers la faillite, la somme des salaires et des dividendes était toujours plus faible que la somme des coûts hebdomadaires. Douglas publia ses résultats dans l'English Review, où il suggéra que le système des intérêts devait être corrigé pour assurer la justice sociale. Voir aussi[modifier | modifier le code] Maurice Allais.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Allais. Maurice Félix Charles Allais Maurice Félix Charles Allais en 2001 Maurice Félix Charles Allais est un économiste français, né à Paris le et mort le à Saint-Cloud[1]. Après Gérard Debreu en 1983[2], il est le second français à recevoir le prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel en 1988. C'est un économiste libéral et protectionniste[3]. Ses travaux lui valent de nombreuses récompenses qui culminent avec l'attribution du « prix Nobel » d'économie en 1988. Il dénonce les changes flottants, la dérèglementation financière, et la suppression des protections douanières[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Paris le dans une famille modeste, il est rapidement orphelin : son père meurt en captivité en 1915. Il fait son service militaire dans une batterie d’artillerie à Fontainebleau.

Carrière[8][modifier | modifier le code] Pourtant, on voit que. Krisis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Krisis est un groupe de militants allemands issus du marxisme, qui en rompant avec l'anticapitalisme tronqué du marxisme traditionnel, participe à la transformation de la critique de l'économie politique dans le sens d'une critique de l'ensemble des formes sociales et catégories capitalistes, la valeur, le travail, la marchandise, la masculinité, la féminité et l'État. Ce groupe fait partie de la mouvance de la « wertkritik » (critique de la valeur). Histoire[modifier | modifier le code] Krisis est un groupe de militants allemands et autrichiens créé en mars 1986 à Nuremberg autour de Robert Kurz, Roswitha Scholz, Ernst Lohoff, Franz Schandl, Norbert Trenkle et Claus-Peter Ortlieb.

Entre 1986 et 1989, le groupe publie la revue Marxistische Kritik [Critique marxiste] qui prend en 1989 le nom de Krisis. Contributions à la critique de la société marchande. Les réflexions du groupe Krisis doivent aussi être posées dans un contexte plus général. Impôt négatif sur le revenu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Taux équivalent d'un impôt négatif sur le revenu associant une allocation de 10 000 et un taux de prélèvement de 25 % L'impôt négatif sur le revenu est un système d'impôt unique appliqué principalement depuis les années 1990 et 2000 qui consiste en l’allocation à tout individu d’un montant fixe par l’État, un « impôt négatif », couplé à « impôt positif normal, progressif » à partir d’un certain niveau de revenu[1]. Juliet Rhys-Williams théorisa le concept dans les années 1940, puis il fut repris par l'économiste et « Prix Nobel » d'économie Milton Friedman en 1962 dans Capitalisme et liberté[2].

L'impôt négatif a été défendu par ce dernier afin de simplifier et démocratiser le versement des allocations en pénalisant moins l'activité économique. En France, l’impôt négatif fut introduit par Lionel Stoléru en 1974 dans le but de remplacer les dispositifs redistributifs existants. Présentation[modifier | modifier le code] Système d’impôt négatif[1] Capitalisme et liberté. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitalisme et liberté (titre original : Capitalism and Freedom) est un livre de Milton Friedman, publié en 1962. Sa thèse principale est que la liberté économique est une condition nécessaire à toute liberté politique. S'adressant à un large public et non aux seuls économistes, Friedman fait l'apologie du libéralisme, terme qu'il utilise dans son acception classique et non dans son sens moderne en américain[1].

Friedman développe aussi dans cet ouvrage des travaux de ses collègues[2] de l'Université de Chicago[3], notamment Frank Knight, Friedrich Hayek et George Stigler. Contexte[modifier | modifier le code] Capitalisme et liberté a été écrit en 1962, d'un point de vue américain, par un économiste. Il a été écrit quinze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, à une époque où la Grande Dépression était encore dans tous les esprits. Contenu[modifier | modifier le code] Introduction 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. Revenu permanent. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La théorie du revenu permanent ou l'hypothèse du revenu permanent est une théorie de Milton Friedman, élaborée en 1957, période où la doctrine keynésienne est dominante. Dans sa forme la plus simple, la théorie stipule que les choix effectués par les consommateurs sont dictés non pas par leur revenu effectif actuel, mais par leur estimation de revenu à long terme. Par la même occasion, Friedman introduit en économie la notion de revenu et consommation permanente. Du reste, cette théorie est construite pour remettre en cause la fonction de consommation keynésienne. Revenu permanent et revenu courant[modifier | modifier le code] Friedman, dans ses observations, arrive à la conclusion selon laquelle le revenu réel n'est jamais régulier, la consommation des ménages est plus stable dans le temps que ce dernier.

Cycle de vie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Choix intertemporel. Milton Friedman. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Friedman. Photographie représentant Milton Friedman. Milton Friedman a inauguré une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme.

En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien-fondé des politiques de relance qui, pour lui, ne peuvent que provoquer de l'inflation contre laquelle il faut lutter. Ses idées se diffusèrent progressivement et furent prises en compte par les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateurs et libertariens américains.

Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Le campus de l'université de Chicago Travail au niveau fédéral[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Une taxe Robin des Bois pour lutter contre la pauvreté. Arc à la main, béret sur la tête et tunique verte de style médiéval, ils veulent prendre aux riches pour distribuer aux pauvres. Si ces militants d’Attac, d’Oxfam France et d’Aides se sentent obligés de jouer ce numéro clownesque pour leur campagne de communication, c’est parce que leur cause - l’instauration d’une taxe sur les transactions financières mondiales - a encore du mal à séduire les dirigeants mondiaux et l'opinion publique.

"La taxe Robin des Bois", comme ils l’ont baptisée, serait en effet destinée à prélever un très faible pourcentage (0,05%) sur chaque transaction financière (sur les marchés boursiers ou les marchés de gré à gré) afin de financer l’aide au développement, la lutte contre le sida ou encore les énergies vertes. Vingt milliards d'euros pourraient être collectés chaque année en France, 220 milliards en Europe, et autant aux Etats-Unis, estiment les organisateurs de la campagne. > Plus d'infos sur le site de la campagne. Taxe Tobin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Tobin. La taxe Tobin, suggérée en 1972 par le lauréat du « prix Nobel d'économie » James Tobin, consiste en une taxation des transactions monétaires internationales afin de limiter la volatilité du taux de change[1]. Par extension, le terme désigne aujourd'hui une taxe sur les transactions financières.

Elle est aussi appelée par certains taxe Robin des bois[2]. Historique[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] L'idée d'une taxe sur les transactions financières est ancienne. Keynes soutient alors qu'une spéculation excessive des opérateurs financiers augmente la volatilité des taux de change. Contexte[modifier | modifier le code] La taxe Tobin est proposée pour la première fois en 1972 par Tobin au cours de ses Janeways lectures données à l'université de Princeton et publiées en 1974 dans l'ouvrage The New Economics a Decade Older[1],[5],[6].

Tobin voit deux solutions à ce problème. James Tobin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Tobin. James Tobin (5 mars 1918 - 11 mars 2002) est un économiste américain, pro-keynésien, qui a contribué à la science économique en particulier, dans les domaines de l'investissement, des marchés financiers et des politique budgétaire et monétaire. Il est en particulier célèbre pour avoir donné son nom à la taxe dont il a proposé la création. Le prix de la Banque de Suède d'Économie en Mémoire d'Alfred Nobel (dit prix Nobel d'économie) lui fut attribué en 1981. Il est également à l'origine du modèle Tobit utilisé en économétrie et de la notion du ratio « Q de Tobin ».

En 1956, il a participé au développement du modèle Baumol-Tobin qui décrit la demande de monnaie d'un ménage. Biographie[modifier | modifier le code] James Tobin fit ses études à l'université Harvard. James Tobin accéda à la notoriété en proposant une taxation sur certains mouvements de capitaux (transactions de change). Portail de l’économie. Allocation universelle. Thomas More. Utopia (livre) Thomas More - L'Utopie (Ou : Traité de la meilleure forme de gouvernement. Bertrand Russell. Robert Solow. John Locke. John Stuart Mill. Jean Louis Vivès. Joseph Charlier. James Meade. Martin Luther King. Paul Samuelson. Robert Nozick. John Kenneth Galbraith. Charles Fourier. Nicolas de Condorcet. Thomas Spence. Poor Laws.