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Santé

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Hôpital : attention à la grogne qui monte. Écrit par Frédéric Valletoux | 29 Juin 2011 « La réforme de l'hôpital ne doit pas tuer la qualité du service public hospitalier. Réunie en congrès le 28 juin, la Fédération hospitalière d'Ile-de-France tire la sonnette d'alarme sur la situation des hôpitaux franciliens.

La rigueur budgétaire imposée en 2011 à ces hôpitaux est d'une dureté jamais atteinte auparavant, avec notamment une baisse des dotations pour mission d'intérêt général de 110 millions d'euros, une chute des tarifs de près de 1% ou encore la réduction du financement de la permanence des soins au profit du privé. La mission imposée aux hôpitaux franciliens est tout simplement impossible. Je déplore que s'élargisse de plus en plus le fossé entre un hôpital virtuel - normé, bardé de réglementations sécuritaires, d'assurance qualité, de conseils d'experts et d'inspecteurs en tous genres - et un hôpital réel, qui fait ce qu'il peut avec des ressources humaines et financières de plus en plus rares, et qui cherche son chemin.

La chasse aux fonctionnaires réputés inutiles fait des morts - CREON sur LePost.fr (08:36)

Dépendance

Déserts médicaux et liberté d'installation au coeur d'un texte complétant la loi Bachelot. Santé : Journée nationale d’action du 2 avril. L'arbre de vie qui fera reculer le désert sanitaire De quoi s’agit-il ? Une journée d’action pour la santé, l’hôpital, la sécurité sociale, l’accès aux soins. Quand ? Le samedi 2 avril 2011 Où ? Dans toutes les régions de France, en direction des Agences régionales de santé (ARS).

Voir les rendez-vous par région Pourquoi ? Pour défendre, promouvoir et construire démocratiquement un système de santé public, solidaire, pour toutes et tous, partout sur le territoire. Contre les mesures de la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST), ou « loi Bachelot », promulguée le 21 juillet 2009. A l’appel de qui ? 92 Organisations associatives, syndicales et politiques nationales représentant usagers, personnels et élus.Sur plus de 100 localités, départements, régions : Syndicats, Sections, Comités et Collectifs…Et diverses personnalités de mouvements et organisations non encore signataires.

Ce mouvement a le soutien de la CPH-Confédération des Praticiens des Hôpitaux. En savoir plus : A noter :

Psychiatrie

Infirmiers et sage-femmes. Privatisation de la santé publique - Loi Bachelot. Remboursements. Pétitions Santé. Ne laissez pas faire ! L’hôpital public est votre hôpital Défendez-le avec nous. - Défendez-le parce qu’il assure des soins de qualité pour tous quels que soient les moyens de chacun. Défendez-le parce que c’est là que se font les grandes recherches d’aujourd’hui qui permettront les progrès de demain. Défendez-le parce que c’est lui qui assure 80% des urgences, c’est lui qui a fait face hier à l’épidémie de SIDA et à la canicule et qui pourra faire face à une pandémie grippale. Défendez-le parce que c’est lui qui prend en charge les cas les plus graves ou les plus complexes à tous les âges de la vie. Défendez-le parce que les autres pays nous l’envient. La loi HPST dite loi Bachelot a supprimé l’appellation de « Service Public Hospitalier ». Pour être rentable l’hôpital devra sélectionner les pathologies et les patients, et diminuer le nombre de personnels : moins d’infirmières, moins d’aides soignantes, moins de médecins, moins de secrétaires, moins d’assistantes sociales.Il est prévu de supprimer 20 000 emplois dans l’ensemble des hôpitaux.

Vive le service public ! Notre système de santé est-il performant ? Observatoire des inégalités. 21 décembre 2010 - Comment expliquer qu’un cadre à 35 ans ait une espérance de vie de 46 ans, alors qu’un ouvrier du même âge ne dispose que de 39 années à vivre en moyenne ? Le tour de la question des inégalités sociales de santé, par Pierre Volovitch de l’Observatoire des inégalités. Comment expliquer qu’un cadre à 35 ans ait, en moyenne, une espérance de vie de 46 ans, alors qu’un ouvrier du même âge ne dispose que de 39 années à vivre en moyenne ? Que chez les enfants d’ouvriers, le risque d’obésité soit de près de quatre fois plus élevé que pour les enfants de cadres ? Les obstacles les plus évidents sont économiques : rien de tel que d’être riche pour être aussi bien portant.

Mais ils ne sont pas les seuls. Les obstacles les plus évidents sont d’ordre économique Les revenus comptent 15 % de la population française déclarent avoir renoncé à des soins pour des raisons financières en dépit du système de protection sociale. L’impact des conditions de vie Les facteurs culturels. La FHF s'inquiète du refus des départements de financer les mesures de protection des majeurs. Faire de l'exercice libéral en zone défavorisée une mission de service public. FSU Santé.