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La presse féminine 18-25 ans

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Veille artistique. Ligne éditorial de STYLIST. Etudes. La marque de presse dépasse ses frontières pour fédérer ses publics en fonction de ses valeurs.

Etudes

Le premier étage de la complémentarité avec le magazine est constitué par son site Internet. Les applis smartphone et tablettes, étant les étages supérieurs et le hors-média tenant lieu de cours et jardins. Comment les régies vendent-elles cette complémentarité ? Matthieu Aubusson, associé Price Waterhouse Coopers, l’a rappelé lors des ateliers La Presse du Futur: la révolution digitale est en marche dans les groupes de presse et devrait « apporter 65% de la croissance dans les cinq ans à venir ».

Il table ainsi sur le fait qu’à l’horizon 2014, « le numérique représentera 10% des revenus publicitaires, soit 4% des revenus totaux des groupes de presse ». La presse écrite s'engage pour le recyclage des papiers. Les éditeurs de presse ne sont pas assujettis à l’éco-contribution liée à la Responsabilité élargie du producteur (REP) et pourtant, ils se sont engagés collectivement, auprès des ministères et d’Ecofolio, à promouvoir gracieusement une campagne d’incitation au tri du papier sur chacun de leurs titres.

La presse écrite s'engage pour le recyclage des papiers

Les enjeux Atteindre 60 % de recyclage des vieux papiers d’ici cinq ans, c'est un objectif collectif. La presse écrite a décidé de contribuer à l'atteinte de cet objectif en signant une convention en faveur de la sensibilisation au tri, à la collecte et au recyclage des papiers de presse pour une durée de trois ans. Les journaux et magazines mettent ainsi à disposition des espaces publicitaires afin de sensibiliser les lecteurs et affichent neuf messages originaux incitant à recycler les papiers : « Non au recyclage des idées, oui au recyclage du papier », « Comme dans une série américaine, le papier peut revenir pendant plusieurs saisons », « Un amant, on le remplace. Le cas des papiers. Pourquoi le papier ne va pas disparaître. Ceux qui prédisent la disparition imminente du papier se trompent.

Pourquoi le papier ne va pas disparaître

Or, ils sont nombreux. Avec une régularité de métronome, chaque année depuis au moins quatre ans, de savantes études nous l’assurent : cette fois c’est sûr, le papier est obsolète et bientôt, vous ne l’aurez plus en mains ; ni pour lire comme de vieux schnocks, ni pour écrire ou gribouiller, espèce d’assassins d’arbres sans scrupules. Pourtant, il n’en est rien. La réalité, cette vieille carne obtuse, a la grossièreté de résister aux doctes analystes. Rien ne presse. Rappelez-vous : en janvier 2010, Steve Jobs dévoile l’iPad. Cinq ans après, environ un tiers des foyers français sont équipés d’une tablette, mais le paradis des éditeurs de presse n’est pas au rendez-vous. E-dition, piège à… Dans le monde du Livre aussi, les prévisions sur la croissance du numérique sont systématiquement extraordinaires, et systématiquement trompeuses.

Presse - Vers un monde sans papier - Extrait - ARTE. 60′s - 70′s : la presse féminine en France. Sante_chap7.pdf. Liberté de la presse et censure. Consommation - La crise n’a pas de prise sur les 18-25 ans. Adulescent. Veille économique. Juridique. Ligne éditorial de Causette. Ligne éditorial de ELLE. Définition et histoire de la presse féminine. JFBB_Qualeia_Etudes24octobre_basse.pdf. Capture d’écran 2015 03 10 à 11 17 12.

Lectorat Jalouse. Capture d’écran 2015 03 10 à 12 01 14. ÔFémininPointConne. Analyse de la presse féminine. Les 18-25 ans, la tribu de l'éphémère. À peine sortis de l'adolescence, les 18-25 ans sont en quête de sensations et d'expériences.

Les 18-25 ans, la tribu de l'éphémère

Ils veulent accéder très vite aux plaisirs de la consommation, mais restent connectés à la réalité. Difficiles à capter, ces nomades n'en sont pas moins des leaders d'opinion. Ils peuvent déjà gagner leur vie ou être encore à la fac, vivre chez eux ou habiter chez papa-maman, être célibataires ou en couple... À première vue, cerner les jeunes de 18 à 25 ans ne semble pas être une mince affaire, tant cette population est hétérogène. Pour Jean-Pierre Loisel, directeur du département consommation du Credoc, « faire entrer ces personnes dans des cases s'avère très difficile. Au-delà des disparités, ces jeunes ont pourtant des traits communs.