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E-Democracy vs. Open Democracy. La cathédrale et le Bazar1… encore !

E-Democracy vs. Open Democracy

(Partie I) Par Laurence Allard et Olivier Blondeau2 Dans une contribution à un recueil dirigé par Pascal Perrineau, Le Désenchantement démocratique, Thierry Vedel dessine un panorama large sur le plan historique de la démocratie électronique, de ses origines, des différentes visions dont elle est porteuse et des questionnements qu’elle implique3. Son analyse se structure autour de trois axes qui eux-mêmes sont destinés à corriger les principaux défauts de la démocratie représentative4 : l’information du citoyen, censée pallier le manque de transparence du jeu politique qui renvoie, selon l’auteur, à l’idéal du citoyen éclairé cher aux philosophes libéraux tels que Thomas Jefferson ;le débat et la discussion comblant l’étroitesse voire la fermeture de l’espace public.

La démocratie du plugin : de l’idéal au standard Déboguer la démocratie électronique ? Une minorité fait l'opinion sur le Web - INTERNET. Mi-incubateur, mi-fonds d'investissement, Petit Poucet prend sous son aile chaque année quatre start-up triées sur le volet.

Une minorité fait l'opinion sur le Web - INTERNET

Trois ans plus tard, la moitié dépasse le million d'euros de chiffre d'affaires. "J'ai passé la nuit à regarder l'ultime saison de Mafiosa" Canal+ a mis à disposition de ses abonnés l'intégralité de la saison 5 de « Mafiosa ». Un dispositif exceptionnel qui fera des heureux parmi les fans de la série. Mais cela vaut-il le coup de regarder toute la saison en une seule fois ? Les DSI ont besoin de doubles compétences Du fait de la maturité des directions des systèmes d'information (DSI), les besoins RH se sont complexifiés et les profils les plus recherchés sont ceux qui bénéficient à la fois d'une expertise technique et d'une force opérationnelle. Le Cac 40 rebondit, Veolia en vedette La Bourse de Paris regagne une partie du terrain cédé la veille.

Devenir influent. Peu d'entre nous s'avoueraient "influençables" (sauf pour de nobles raisons : j'ai été très influencé par la pensée de tel maître, par ma foi religieuse, par l'expérience tragique que j'ai vécue, par les valeurs du sport que j'ai pratiqué).

Devenir influent

Le code pénal punit le "trafic d'influence" et l'homme de la rue se méfie d'un "individu sous influence". Et pourtant qui ne chercherait à acquérir ce moyen miraculeux d'obtenir ce qu'il veut ? Ou pour le moins, de peser sur les événements, sans recourir à la force ou à l'autorité et sans verser de contrepartie, pour un effet invisible sur l'esprit d'autrui... L'influence (du moins si elle est délibérée) confère un pouvoir. Il se mesure à la probabilité que l'influencé pense ou agisse comme le souhaite l'influent. Les théories ne manquent pas pour expliquer ce phénomène à l’échelon individuel, social, politique, économique, médiatique, géopolitique… Elles inspirent autant de méthodes.

Les auteurs des Netocrates sur France 24. Nouveaux médias : une nouvelle classe de dominants. Maintenant le pouvoir au peuple ?

Nouveaux médias : une nouvelle classe de dominants

Internet et les nouveaux médias ne facilitent pas le partage du pouvoir. Ces nouvelles technologies comme beaucoup avant elles, permettent surtout l’avènement d’une nouvelle classe dirigeante. Avec les nouvelles technologies de l’information se répand l’idéologie du peuple au pouvoir : simplification des techniques, baisse des coûts d’entrée… Les nouveaux produits démocratisent la culture et permettent à tous de s’élever socialement, de “reprendre la main”.

C’est un peu l’idée inhérente à l’UGC (User Generated Content). Nous serions passés de l’ère du consommateur passif à celui de l’internaute actif et créateur. D’autres plate-formes libèrent la création du plus grand nombre grâce au financement mutualisé de type My major company… De même le consommateur, désormais acteur (“consom’acteurs” disent les marketeux jamais en mal de néologismes fumeux), prend sa revanche sur les marques. Nouveaux médias : le nouvel eldorado Une nouvelle classe dominante.