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OpenHardware

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Building my Own Laptop. We are building an open laptop, with some wacky features in it for hackers like me.

Building my Own Laptop

This is a lengthy project. Fortunately, ARM CPUs are getting fast enough, and Moore’s Law is slowing down, so that even if it took a year or so to complete, I won’t be left with a woefully useless design. Today’s state of the art ARM CPUs — quad-core with GHz+ performance levels — is good enough for most day-to-day code development, email checking, browsing etc. We started the design in June, and last week I got my first prototype motherboards, hot off the SMT line. It’s booting linux, and I’m currently grinding through the validation of all the sub-components.

Of course, a feature of a build-it-yourself laptop is that all the design documentation is open, so others of sufficient skill and resources can also build it. Above is an annotated diagram of the circuit board. Here are some of the features of the laptop motherboard: The battery board can charge batteries at rates in excess of 4A. Open Source Hardware, Vol. 1 - Digital Edition.

OLPC: Repairing an XO. Makers (1/2) : Faire société. “We are all makers” (Nous sommes tous des artisans).

Makers (1/2) : Faire société

Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau.

Image : Noisebridge. Makers (2/2) : Refabriquer la société. Le mouvement makers est en plein essor, comme le montre la multiplication des lieux qui leurs sont dédiés (voir la première partie de ce dossier).

Makers (2/2) : Refabriquer la société

L’éclosion des TechShops, des foires, des ateliers, qui sont pour beaucoup dans une logique de développement et d’essaimage du modèle y participe pleinement. A certains endroits, à San Francisco, le TechShop est au cœur de la réhabilitation d’un quartier (comme c’est le cas à South Market). Mais surtout, ces lieux s’implantent au coeur d’un écosystème qui favorise leur développement : écoles, musées, start-ups et grands acteurs de l’internet qui souhaitent redéployer leur activité en centre-ville… Faire société : des lieux et de leurs enjeux Pour Michael Shiloh, l’enjeu va bien au-delà des lieux.

On devine derrière ce mouvement makers, un véritable enjeu pour un apprentissage différent. Reprendre confiance dans sa capacité à créer Image : visite du Maker Space avec Michael Shiloh. Image : la voiture-oeuvre en forme de maison victorienne…

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