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Nationalisme

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Paul Rose et la question qui tue | Patrick Lagacé | Patrick Lagacé. À l'affiche ces jours-ci, le documentaire The Gatekeepers présente un point de vue unique sur le conflit entre Israéliens et Palestiniens. Il donne la parole à six des anciens chefs du Shin Beth, le service de sécurité intérieure: ces six hommes ont ordonné, de façon routinière, l'assassinat de Palestiniens soupçonnés de tremper dans des attaques anti-Israël. De ces six hommes-là, on s'attendrait à une vision manichéenne du bras de fer israélo-palestinien. Une vision du genre «Nous: les bons, qui ont raison»; «Eux: des sous-hommes, qu'il faut exterminer.» Et pourtant, non. Ces six hommes ont des réflexions très nuancées sur la mécanique de l'affrontement entre Israël et la Palestine.

En pensant à la mort de Paul Rose, hier, une phrase-choc du documentaire The Gatekeepers m'est revenue à l'esprit. Ce qui nous ramène la question qui tue. Paul Rose, terroriste ou combattant de la liberté? Jusqu'ici, je n'ai pas écrit les mots «le terroriste Paul Rose». Le mot "terroriste" n'est jamais utilisé. Décès de Paul Rose | 24 heures en 60 minutes. L'Aut'Journal - Journal libre et indépendant. « Y’ont ben faite! » me murmure mon père sur le ton de la confidence, alors que nous sommes assis sous le majestueux érable de la cour arrière de la maison par un bel après-midi d’octobre 1970. J’en suis tombé en bas de ma chaise.

Mon père qui commentait ainsi positivement la mort de Pierre Laporte! Mon père, le pacifiste, le soumis, qui appuyait le geste des felquistes! Mon père que nous n’avions presque jamais entendu regimber contre quoi que ce soit. Même pas contre la Reckitt & Coleman où il travaillait depuis 32 ans comme « chauffeur de bowler ». La Reckitt, cette compagnie britannique où les contremaîtres, tous anglophones, s’adressaient tout naturellement dans leur langue maternelle aux ouvrières et aux ouvriers, tous francophones. La Reckitt où, après trente ans de « loyaux services », mon père gagnait moins que ce que je touchais lors de mon premier véritable emploi d’été à dix-huit ans à la compagnie de Papier Rolland de St-Jérôme.

Dompté par la crise C’était bien dit ! Paul Rose 1943-2013 - En désespoir de Rose. Connexion Jean-François Nadeau 15 mars 2013 Société / Actualités en sociétéPaul Rose 1943-2013 - En désespoir de Rose Acteur central de la crise d’Octobre en 1970, militant socialiste et ancien président du Nouveau parti démocratique au Québec, Paul Rose est décédé jeudi des suites d’une attaque cérébrale. En 1969, Paul Rose n’est pas encore Paul Rose. À la belle saison, il anime avec d’autres la Maison du Pêcheur à Percé, un vivier de contestataires et de jeunes en quête d’un monde nouveau dont la simple expression des rêves suscite déjà la colère des autorités. Imaginez alors le moment où ce groupe s’empare de la station de radio de New Carlisle pour dénoncer sur les ondes la misère dont souffrent les Gaspésiens ! Né dans le quartier Saint-Henri en 1943, c’est-à-dire exactement au milieu du monde du Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy, Paul Rose a huit ans lorsque sa famille déménage à ville Jacques-Cartier, un quasi-bidonville aujourd’hui avalé par Longueuil.

Crise d’Octobre Site complet. L’anarchie serait-elle possible? (en hommage à Paul Rose) Libre opinion - Paul Rose enfin libre. Connexion Christian Gagnon - Militant indépendantiste 15 mars 2013 Politique / QuébecLibre opinion - Paul Rose enfin libre Le 28 décembre 1970 prenait fin la Crise d’octobre, alors que les trois membres en cavale de la cellule Chénier du FLQ étaient arrêtés dans un tunnel qu’ils avaient creusé sous une maison de Saint-Luc-sur-Richelieu. C’est Paul Rose, leader du groupe, qui écopera le plus, avec deux peines d’emprisonnement à vie pour l’enlèvement et le meurtre de Pierre Laporte. C’est aussi lui qui sortira de prison le dernier, en décembre 1982.

Pourtant, en 1971, à l’enquête de coroner et au procès de Francis Simard, il avait été mis en preuve que Paul Rose n’était pas présent à Saint-Hubert au moment de la mort du ministre Laporte. L’absence de Paul Rose les 16 et 17 octobre 1970 lors de la prétendue « exécution » de Laporte sera aussi démontrée lors des audiences de la commission Duchaîne, en 1980. . « Un accident ? Site complet. CONTROVERSE : Amir #Khadir souhaite honorer la mémoire de Paul #Rose - Info NRJ :: Info NRJ - Vos nouvelles locales. Sur Paul Rose (1943-2013) « Le blogue de Joseph Facal.

Paul Rose vient donc de mourir, entouré des siens, dans une relative sérénité, dit-on. Cette mort doit être accueillie avec respect, quiétude, discernement et une remise en perspective des faits. On souligne ici et là son long engagement dans les milieux de la gauche québécoise. Fort bien. Pour le bénéfice des jeunes d’aujourd’hui, qui passent au travers d’un système d’éducation dont on sait ce qu’il fait de notre histoire, Paul Rose marqua surtout cette dernière pour avoir été le principal dirigeant d’un groupuscule du FLQ qui, en 1970, kidnappa et assassina le ministre Pierre Laporte.

Pour ce crime qu’il a toujours assumé, Rose passa 12 années en prison avant de bénéficier d’une libération conditionnelle en 1982. Après, il mena une existence sans reproches. Il a bien raison. Le FLQ fit aussi le lit d’un Pierre Trudeau qui en profita pour faire tomber sa lourde main sur une partie des forces qui s’opposaient à lui de manière parfaitement légitime et démocratique au Québec. Pierre Duchesne: les libéraux se déchaînent | Philippe Teisceira-Lessard | Politique québécoise.

La Presse a révélé ce matin que l'ancien journaliste de Radio-Canada à Québec serait candidat du Parti québécois dans Borduas. La circonscription est actuellement détenue par Pierre Curzi, un mutin du PQ. «Pierre Duchesne, Bernard Drainville et Raymond Archambault ont en commun d'avoir exercé la même pratique: le délit d'initié médiatique», a affirmé sur Twitter Michel Rochette, directeur des communications du Parti libéral du Québec.

M. Rochette et ses collègues libéraux attaquent particulièrement Pierre Duchesne pour avoir présumément discuté d'un atterrissage politique alors qu'il analysait toujours l'actualité politique sur les ondes de la télévision publique. Selon les informations de La Presse, la direction du PQ a prévenu il y a trois mois l'ex-députée bloquiste Carole Lavallée, pressentie dans Borduas, que la circonscription était réservée «à un candidat-vedette de Radio-Canada». «Quitter le journalisme pour la politique, aucun problème. Gilles Vigneault - Tu peux ravaler ta romance. La Révolution tranquille n’a pas eu lieu, par Benoît Bréville. Les quatre cents ans de la ville de Québec, en 2008, ont été célébrés dans une évocation triomphale de l’unité nationale canadienne. Grâce aux 150 millions de dollars débloqués par les différents gouvernements, une flottille de voiliers quitta La Rochelle afin de reconstituer la traversée de l’Atlantique, des concerts gratuits furent organisés (Céline Dion, Paul McCartney...), un film retraçant l’histoire du Québec fut projeté chaque soir sur un écran monumental, etc.

Un autre anniversaire, en revanche, est passé inaperçu : le cinquantenaire de la « révolution tranquille », début de l’essor d’un souverainisme progressiste qui parvint à doter le Québec d’un système social avancé. Depuis, pourtant, l’abandon par le nationalisme québécois de ses visées progressistes a causé sa perte. L’histoire aurait-elle pu suivre une autre voie ?

Le keynésianisme mâtiné de nationalisme économique des architectes de la « révolution tranquille » accouche d’un Etat-providence d’inspiration… britannique. Référendum sur la Souveraineté du Québec de 1995 - Point de Rupture (1de2) Référendum sur la Souveraineté du Québec de 1995 - Point de Rupture (2de2) Fondation du Parti québécois - 1/3. Fondation du Parti québécois - 2/3. Fondation du Parti québécois - 3/3. Le PQ enclanche le processus référendaire : 7 septembre 1995. Référendum Québec 1980 - Discours de René Lévesque. 60 - Le référendum de 1980 | Denis Gratton | 100 ?v?nements historiques. Dans son édition du mercredi 21 mai 1980, LeDroit consacrait huit pages à ce moment historique. À la une, le titre disait tout: «Un 'non' décisif», pouvait-on lire. Et voici ce qu'écrivait le journaliste Gilles Laframboise: «Six Québécois sur dix ont refusé hier d'accorder à leur gouvernement le mandat de négocier la souveraineté-association.

Il s'agit là d'une victoire éclatante pour le camp du Non dirigé par le chef du Parti libéral du Québec, M.Claude Ryan. «La plus grande surprise de cette fin de campagne référendaire à certainement été la forte avance que se sont méritée les forces fédéralistes. Chez les électeurs francophones, 57% ont répondu «non» à la question référendaire. Le taux de participation total a été de 84 pour cent. Au Centre Paul-Sauvé, à Montréal, c'est à 21h30 que le président du Regroupement national du Oui et premier ministre du Québec, René Lévesque, livre ses premiers commentaires, en cette soirée du 20 mai 1980. En Outaouais. Hommage à Jacques Parizeau.

Full Pundit: The new face of Quebec nationalism. Pierre Bourgault. Pierre Falardeau.