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DISTRIBUTION

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Marges arrières: Carrefour condamné à 19 millions d'euros. Carrefour va devoir rendre à des fournisseurs 17 millions d'euros perçus indûment au titre des "marges arrières" et régler en sus une amende de 2 millions, en vertu d'un arrêt de la Cour d'appel de Paris qui constitue l'une des plus lourdes condamnations dans ce type de procédures. Tous les ans, les distributeurs et leurs fournisseurs signent des contrats qui régissent leurs relations (tarifs, modalités de livraison, pénalités, mise en valeur des produits en magasin...).

A plusieurs reprises, l'Etat a poursuivi des distributeurs en justice pour des clauses qu'il estimait abusives dans certains de ces contrats. Il se substitue ainsi aux fournisseurs, estimant qu'ils pâtissent d'un rapport de force défavorable, car ils risqueraient en agissant eux-mêmes d'être "déréférencés", autrement dit retirés des rayons. Considérant que le groupe avait bénéficié de "rémunérations manifestement disproportionnées", le ministère de l'Economie avait saisi la justice en 2008. Ré-enchantement des points de vente : comment passer d’une intention à un business durable ? Dans le cadre de nos missions, nous suivons avec une attention particulière l’éclosion des « points de vente 2.0 » tant en France qu’à l’étranger.

Ré-enchantement des points de vente : comment passer d’une intention à un business durable ?

Cette nouvelle forme de magasin a en effet pour vocation de devenir un driver de business majeur des entreprises omnicanales. Développer le CA et la rentabilité des activités de commerce connecté consiste bien à étudier la performance du digital d’une part, du cross canal et du point de vente d’autre part. Le ré-enchantement du point de vente » passe-t-il par la multiplication des écrans interactifs ? Il nécessite en tous cas une forte présence de l'humain et une réflexion de fond sur la stratégie Ainsi, nous avons vu depuis quelques années se multiplier les initiatives. QDG 5 La grande distribution est-elle incontournable ? Le marketing sensoriel.

L’ambiance apaisante d’une boutique, une odeur agréable, une musique qui nous séduit, des couleurs attrayantes… même si l’on ne s’en rend pas forcément compte, le marketing sensoriel peut expliquer la plupart de nos comportements d’achat.

Le marketing sensoriel

Le marketing sensoriel peut être défini comme : « l’ensemble de variables d’actions contrôlées par le producteur et/ou le distributeur pour créer autour du produit ou du service une atmosphère multisensorielle spécifique, soit à travers les caractéristiques du produit lui-même, soit à travers la communication en sa faveur, soit à travers l’environnement du produit au point de vente ». Qu’appelle-t-on le marketing sensoriel ? Par rapport au marketing traditionnel, le marketing sensoriel s’attache davantage aux cinq sens, et en particulier à l’odorat et au son, largement délaissés dans une approche marketing plus traditionnelle.

Marketing olfactif. Des bruits de nature pour réduire le stress Côté marques, il s'agit plutôt de donner une cohérence globale au produit.

marketing olfactif

Marketing sensoriel du point de vente et marchandisage sensoriel. Face à une offre produits/services qui se banalise, les commerçants doivent trouver d’autres moyens pour attirer le consommateur.

Marketing sensoriel du point de vente et marchandisage sensoriel

Les clients quant à eux recherchent le bien être et le confort d’achat. C’est dans ce contexte que les distributeurs ont cherché à proposer à leurs clients autre chose qu’un simple assortiment, mais une expérience de visite originale faisant appel aux sens et aux émotions. Le marketing sensoriel permet d’améliorer sensiblement l’atmosphère et l’ambiance dans un point de vente. Quelle est la place de chaque sens dans la perception et le comportement du consommateur ? Comment combiner les facteurs d’ambiance (musique, senteurs, saveurs, couleurs, lumières, trafic, matières...) pour créer un merchandising sensoriel original ? Les circuits courts ont la cote. Ikea, Conforama, Leroy Merlin… leurs méthodes pour nous vendre plus. Pour contrer la crise et attirer le client, les grandes enseignes d’ameublement ont dû bouleverser leur stratégie et leurs techniques de vente.

Ikea, Conforama, Leroy Merlin… leurs méthodes pour nous vendre plus

Lorsqu’on demande aux Français vers quelle enseigne ils se tourneraient s’ils devaient acheter un meuble de salon, ils placent Ikea en tête. Et pour un canapé ? Conforama. Et pour une cuisine ? Ikea. Avec la morosité économique ambiante, cette hiérarchie ne devrait pas changer de sitôt. Alors, pour dissuader les familles d’aller acheter leur table de salle à manger d’occasion sur Leboncoin.fr, les spécialistes doivent redoubler d’efforts. Lire aussi : Conforama donne le tournis avec ses promos à gogo Désormais, 25% de son offre provient de la centrale d’achats de son actionnaire, le sud-africain Steinhoff, numéro 2 mondial du secteur.

Cette agressivité commerciale des acteurs historiques s’avère payante. Lire aussi : Ikea cache bien son extrême standardisation Lire aussi : Leroy Merlin dope ses marges avec des produits malins. Ré-enchantement des points de vente : comment passer d’une intention à un business durable ? Jeu pour les fabricants, set pour les distributeurs, Match en faveur des consommateurs ? Troisième pilier du marketing, la distribution et ses circuits ont subi de profondes mutations depuis un demi-siècle en France.

Jeu pour les fabricants, set pour les distributeurs, Match en faveur des consommateurs ?

Les canaux suivis par un bien de consommation, destiné à un consommateur final, permettent à ce produit de passer de l’état de production à l’état de consommation. Ils font alors intervenir différents acteurs et forment le circuit de distribution de ce bien. Inédit : un Leclerc drive ouvert aux chariots à Quimper ! / Les visites guidées / LES MAGASINS. Multiplicité des interactions entre le commerce 'on' et 'off line'