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Le loup allégorie de l'homme

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Le loup dans les arts

La Chanson de Roland - livre à feuilleter. Homère.L'Illiade.Chant22. La mort du loup - Alfred de VIGNY. Alfred de VIGNY (1797-1863) J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudreA poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuveNe l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;Mais son devoir était de les sauver, afinDe pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,A ne jamais entrer dans le pacte des villesQue l'homme a fait avec les animaux servilesQui chassent devant lui, pour avoir le coucher,Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

La mort du loup - Alfred de VIGNY

Hélas ! Ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisseSeul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.- Ah ! Commentaire de "la mort du loup" [Amorce] Les poètes recourent souvent à des allégories pour rendre compte de leur réflexion sur l’homme.

Commentaire de "la mort du loup"

[Présentation du texte] Ainsi le poète romantique Alfred de Vigny écrit un poème intitulé « La Mort du Loup » paru dans le recueil Les Destinées : il y évoque une chasse nocturne qui se termine par la mort du Loup suivie d’une réflexion morale sur les Hommes et sur la vie. [Problématique] Comment Vigny donne-t-il toute son efficacité à ce poème qui ressemble à un apologue ? [Annonce des axes] C’est d’abord le ton pathétique qui frappe le lecteur ; c’est aussi la figure du personnage principal, le Loup, animal sauvage transformé en véritable héros, qui donne toute sa force symbolique à la « leçon » que Vigny donne aux hommes.

Vigny, pour émouvoir le lecteur et donner plus de force à sa réflexion, rend ce récit particulièrement poignant. La mise en place du décor nocturne contribue à rendre le récit émouvant. Neuf contes de Perrault. Le Petit Chaperon rouge (Frères Grimm) - texte intégral. Il y avait une fois une bonne petite fille, aimée de tous ceux qui la voyaient, mais surtout de sa grand’mère, qui ne savait rien lui refuser.

Le Petit Chaperon rouge (Frères Grimm) - texte intégral

Celle-ci lui fit présent d’un petit chaperon de velours rouge, et, comme il lui allait très-bien, et qu’elle ne s’habillait plus autrement, on l’appela le petit Chaperon rouge. Un jour sa mère lui dit : — Viens, petit Chaperon, voici un morceau de gâteau et une bouteille de vin, porte-les à ta mère-grand ; elle est faible et malade, cela lui fera du bien. Mets-toi en route avant qu’il fasse trop chaud ; et, quand tu y seras, va bien gentiment ton chemin sans courir à droite et à gauche ; autrement tu tomberais, la bouteille se casserait et la grand’mère n’aurait plus rien.

Quand tu entreras dans sa chambre, n’oublie point de dire bonjour, et ne commence pas par aller fureter dans tous les coins. Histoires ou Contes du temps passé (1697)/Petit Chaperon rouge. Il estoit une fois une petite fille de village, la plus jolie qu’on eut sçû voir ; sa mere en estoit folle, et sa mere-grand plus folle encore.

Histoires ou Contes du temps passé (1697)/Petit Chaperon rouge

Cette bonne femme luy fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seïoit si bien que partout on l’appelloit le petit Chaperon rouge. Un jour, sa mere, ayant cui et fait des galettes, luy dit : « Va voir comme se porte ta mere-grand, car on m’a dit qu’elle estoit malade. Porte-luy une galette et ce petit pot de beurre. » Le petit Chaperon rouge partit aussi tost pour aller chez sa mere-grand, qui demeuroit dans un autre village.

. « Je vais voir ma mere-grand, et luy porter une galette avec un petit pot de beurre, que ma mere luy envoye. — Demeure-t-elle bien loin ? — Oh ouy, dit le petit Chaperon rouge : c’est par delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la premiere maison du village. — Et bien ! Le Loup ne fut pas long-temps à arriver à la maison de la mere-grand. Ovide, Lycaon et les crimes de la terre. Plutarque : Vie des Hommes illustres ; Romulus, Parallèle entre Théée et Romilus. I [1] (1) Τὸ μέγα τῆς Ῥώμης ὄνομα καὶ δόξῃ διὰ πάντων ἀνθρώπων κεχωρηκὸς ἀφ' ὅτου καὶ δι' ἣν αἰτίαν τῇ πόλει γέγονεν, οὐχ ὡμολόγηται παρὰ τοῖς συγγραφεῦσιν, ἀλλ' οἱ μὲν Πελασγούς, ἐπὶ πλεῖστα τῆς οἰκουμένης πλανηθέντας ἀνθρώπων τε πλείστων κρατήσαντας, αὐτόθι κατοικῆσαι, καὶ διὰ τὴν ἐν τοῖς ὅπλοις ῥώμην οὕτως ὀνομάσαι τὴν πόλιν, οἱ δὲ Τροίας ἁλισκομένης διαφυγόντας ἐνίους καὶ πλοίων ἐπιτυχόντας ὑπὸ πνευμάτων τῇ Τυρρηνίᾳ προσπεσεῖν φερομένους, καὶ περὶ τὸν Θύμβριν ποταμὸν ὁρμίσασθαι· (2) ταῖς δὲ γυναιξὶν αὐτῶν, ἀπορουμέναις ἤδη καὶ δυσανασχετούσαις πρὸς τὴν θάλασσαν, ὑποθέσθαι μίαν, ἣ καὶ γένει προὔχειν καὶ φρονεῖν ἐδόκει μάλιστα, Ῥώμην ὄνομα, καταπρῆσαι τὰ πλοῖα.

Plutarque : Vie des Hommes illustres ; Romulus, Parallèle entre Théée et Romilus

II. (2) Οὐ μὴν οὐδ' οἱ Ῥωμύλον τῷ δικαιοτάτῳ τῶν λόγων ἀποφαίνοντες ἐπώνυμον τῆς πόλεως ὁμολογοῦσι περὶ τοῦ γένους αὐτοῦ. III. [3] (1) Τοῦ δὲ πίστιν ἔχοντος λόγου μάλιστα καὶ πλείστους μάρτυρας τὰ μὲν κυριώτατα πρῶτος εἰς τοὺς Ἕλληνας ἐξέδωκε Διοκλῆς Πεπαρήθιος, ᾧ καὶ Φάβιος ὁ Πίκτωρ ἐν τοῖς πλείστοις ἐπηκολούθηκε. XI. I. II.