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Littérature. Des guerrières: Les amazones. Dans la mythologie grecque, les Amazones (en grec ancien ????????

Des guerrières: Les amazones

/ Amazónes ou ?????????? / Amazonides ; une étymologie populaire fait dériver le nom de ????? / mazos, « sein » en ionien : « celles qui n'ont pas de sein ») étaient un peuple de femmes guerrières résidant sur les rives de la mer Noire. Origine: Francisco de Orellana. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Francisco de Orellana

Pour les articles homonymes, voir Orellana. Francisco de Orellana Statue de Francisco de Orellana Biographie[modifier | modifier le code] Il sert très jeune au Nicaragua (dès 1527), puis participe à la conquête du Pérou avec Francisco Pizarro à partir de 1535. Amazone orellana. Utilisateurs d'un lecteur d'écran : cliquez ici pour accéder à la version HTML brut Nouveauté !

amazone orellana

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Les Amazones sont-elles les Hittites ?

Cappadoce. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cappadoce

La Cappadoce (au sens moderne) et ses sites remarquables. Histoire[modifier | modifier le code] Protohistoire[modifier | modifier le code] Fleuve Thermodon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fleuve Thermodon

Amazone Samsun Selon la légende, les Amazones vivaient sur les rives du Thermodon. Il est mentionné notamment par Strabon : « dans le voisinage des bouches du Thermodon et de l'Iris, tout le territoire de Thémiscyre, autrement dit la plaine des Amazones » Les Scythes et les Amazones. Scythes et sarmates. Ville d'Amasya. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ville d'Amasya

Pour les articles homonymes, voir Amasia. Amasya est la ville natale du grand historien et géographe grec Strabon (né en 58 avant J. -C.), de l'artiste Léon Tutundjian (1905-1968), et de saint Théodore. Sous le nom d'Amasée ou Amasia elle était la capitale de la province de Diospontus ou Hélénopont créée par Dioclétien, rattachée au diocèse du Pont Monuments[modifier | modifier le code] MosquéesBibliothèque de Bayezid II Notes et références[modifier | modifier le code]

Amazone de boheme Libuše. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Amazone de boheme Libuše

Přemysl et Libuše, sculpture de Josef Václav Myslbek (1881), à Vyšehrad Libuše dans les Promptuarii Iconum Insigniorum Libuše en tchèque (prononcer "Libouchè"), Libussa ou Libuscha en allemand, est l'ancêtre mythique de la dynastie des Přemyslides et du peuple tchèque en général. Selon la légende, elle fonda Prague au VIIIe siècle. Légendes[modifier | modifier le code] Libuše serait la fille du chef tchèque Krok et la plus jeune sœur de la guérisseuse Kazi et de la magicienne Teta. Libuše était la plus sage des trois sœurs et prophétisa la fondation de Prague depuis son château de Libušín (d'après des légendes tardives, à Vyšehrad). Selon une autre légende, elle mourut peu après son mariage. L'histoire de Libuše et Přemysl est racontée en détail par Cosmas de Prague dans sa Chronica Boëmorum (XIIe siècle). Vlasta. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vlasta

Vlasta fut, selon la légende, une amazone de Bohême. Amazones du Dahomey. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Amazones du Dahomey

Pour les articles homonymes, voir Amazone. Pour les articles homonymes, voir Mino. Origines[modifier | modifier le code] Le roi Houegbadja (qui gouverne de 1645 à 1685), troisième roi du Dahomey, est censé être à l'origine de la création du groupe qui devient ensuite les Amazones, un corps de chasseurs d'éléphant appelé gbeto[1]. Durant le XVIIIe siècle, le roi entraîne certaines des ses femmes à devenir gardes du corps. Le fils d'Houegbadja, Agadja (roi de 1708 à 1732), développe le groupe de femmes gardes du corps en une milice et les utilise avec succès pour vaincre le royaume de Savi en 1727.

Le groupe de femmes guerrières est appelé Mino, ce qui signifie « nos mères » en langue fon, par l'armée masculine du Dahomey[1]. Amazones grèques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Amazone. Dans la mythologie grecque, les Amazones (en grec ancien Ἀμαζόνες / Amazónes ou Ἀμαζονίδες / Amazonídes) sont un peuple de femmes guerrières résidant sur les rives de la mer Noire, alors que d'autres historiographes les placent en Asie mineure ou en Libye[1]. Les Amazones posséderaient une origine historique : elles correspondraient aux femmes guerrières des peuples scythes et sarmates. L'étymologie populaire admise pendant l'Antiquité décompose le mot en un ἀ- / a-, « privatif », et μαζός / mazós, « sein » en ionien : « celles qui n'ont pas de sein ».

La légende dit qu'elles avaient coutume de se couper le sein droit afin de pouvoir tirer à l'arc à flèche[2]. Hippolyte. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle est surtout célèbre pour la « ceinture d'Hippolyte », qui est l'objet du neuvième des douze travaux d'Hercule (ou Héraclès) Il s'agissait pour Héraclès (ou Hercule) de s'emparer de la ceinture d'Hippolyte qui lui fut donnée par son père, et que convoitait la fille d'Eurysthée. Antiope. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Antiope. Antiope fut l'épouse de Thésée et ainsi la seule Amazone connue pour s'être mariée. De leur union naquit un fils nommé Hippolyte, du même nom que la sœur d'Antiope. Il existe plusieurs versions expliquant sa relation avec Thésée. Penthésilée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dans la mythologie grecque, Penthésilée (en grec ancien Πενθεσίλεια / Penthesíleia) est une reine des Amazones. Les traditions ne s'accordent pas sur le motif pour lequel elle vient, après la mort d'Hector, aider les Troyens. Selon Hellanicos (fr. 19 Jacoby) et Lysias cités par Jean Tzétzès (Posthomerica, 14-19), elle est poussée par son amour du combat. Selon Diodore de Sicile et Apollodore, elle vient se faire purifier par Priam, après le meurtre accidentel d'Hippolyte au cours d'une partie de chasse. Cette dernière version peut surprendre, puisque le roi troyen avait combattu contre les Amazones aux côtés des Phrygiens (Iliade, III, 188-189). Penthésilée arrive à Troie avec douze autres Amazones, dont Quintus donne la liste (I, 42–47). Penthésilée se distingue par ses nombreux exploits devant la ville assiégée puis succombe devant Achille. La mythologie attribue au moins un fils à Penthésilée, nommé Caÿstros, et un petit-fils Éphésos.

Femmes guerrieres.