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Semantic Web. The Semantic Web (Web 3.0) Web sémantique. Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5].

Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : I have a dream for the Web [in which computers] become capable of analyzing all the data on the Web — the content, links, and transactions between people and computers. . — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13] Semantic Case Study. Zhaohui Wu Zhejiang University and Huajun Chen, Zhejiang University, Meng Cui China Academy of Chinese Medicine Sciences (CACMS) and Ainin Yin, China Academy of Chinese Medicine Sciences (CACMS), China May 2007 General Description Introduction The long standing curation effort in the Chinese medicine community has been accumulating huge amounts of data, which are typically stored in relational data management systems such as Oracle, and published as HTML pages for public presentation. Figure 1: This figure shows the architecture of the Semantic Web layer and its role in unifying and linking heterogeneous relational data.

We have applied Semantic Web technologies to relational data to make it more sharable and machine-processable. Mapping from relational data to semantic web ontologies The informal approach taken for the selection of names and values within relational databases makes the data only understandable by specific applications.

Key Benefits of Using Semantic Web Technology. Web 3.0 The Semantic Web. Intro To The Semantic Web. Semantic Web Stack. Semantic Web Stack The Semantic Web Stack, also known as Semantic Web Cake or Semantic Web Layer Cake, illustrates the architecture of the Semantic Web. Overview[edit] The Semantic Web Stack is an illustration of the hierarchy of languages, where each layer exploits and uses capabilities of the layers below. It shows how technologies that are standardized for Semantic Web are organized to make the Semantic Web possible. The illustration was created by Tim Berners-Lee.[1] The stack is still evolving as the layers are concretized.[2][3] Semantic Web technologies[edit] As shown in the Semantic Web Stack, the following languages or technologies are used to create Semantic Web.

Hypertext Web technologies[edit] The bottom layers contain technologies that are well known from hypertext web and that without change provide basis for the semantic web. Internationalized Resource Identifier (IRI), generalization of URI, provides means for uniquely identifying semantic web resources. Notes[edit] The Friend of a Friend (FOAF) project | FOAF project. FOAF Vocabulary Specification. Classes Class: foaf:Agent Agent - An agent (eg. person, group, software or physical artifact). The Agent class is the class of agents; things that do stuff.

A well known sub-class is Person, representing people. Other kinds of agents include Organization and Group. The Agent class is useful in a few places in FOAF where Person would have been overly specific. [#] [back to top] Class: foaf:Document Document - A document. The Document class represents those things which are, broadly conceived, 'documents'.

The Image class is a sub-class of Document, since all images are documents. We do not (currently) distinguish precisely between physical and electronic documents, or between copies of a work and the abstraction those copies embody. [#] [back to top] Class: foaf:Group Group - A class of Agents. The Group class represents a collection of individual agents (and may itself play the role of a Agent, ie. something that can perform actions). Here is an example. <! [#] [back to top] Class: foaf:Image. Friend of a friend (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo FOAF FOAF (de l'anglais Friend of a friend, littéralement « l’ami d’un ami ») est un vocabulaire RDF permettant de décrire des personnes et les relations qu’elles entretiennent entre elles. Elle est une application du web sémantique, qui est considérée comme très prometteuse.

[Par qui ?] Le protocole WebID, anciennement FOAF+SSL[1]., est un protocole d'authentification décentralisé utilisant des documents FOAF comme conteneur d'informations de profil et le protocole TLS pour l'authentification. <rdf:RDF xmlns:rdf=" xmlns:foaf=" xmlns:rdfs=" Wales</foaf:name><foaf:title>Mr. (en) Portail du projet(en) FOAF Schema 0.1 : spécification du vocabulaire FOAF. (en) FOAF Corp est une extension de FOAF au domaine des entreprises.On pourra aussi visualiser en Flash l’application expérimentale (en) They rule. Microformat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un microformat (parfois abrégé sous μF ou uF) est une approche de formatage de données dans des pages WEB[1] qui cherche à rationaliser et standardiser le contenu existant, comme les métadonnées, en utilisant des classes[2] et attributs de balises[3] XHTML et HTML.

Cette approche est conçue pour permettre à l'information destinée aux utilisateurs finaux, telle que le carnet d'adresses, les coordonnées géographiques, les événements et autres données ayant une structure constante, d'être traitée automatiquement par les logiciels. Même si le contenu des pages web était déjà capable techniquement d'être « traité automatiquement » depuis la conception du web, il existait certaines limites. Les balises traditionnelles de marquage étaient en effet utilisées pour afficher l'information sur le Web et non pas pour décrire ce que voulait dire l'information[4]. Historique[modifier | modifier le code] Aperçu technique[modifier | modifier le code] Notation3. Notation3, or N3 as it is more commonly known, is a shorthand non-XML serialization of Resource Description Framework models, designed with human-readability in mind: N3 is much more compact and readable than XML RDF notation.

The format is being developed by Tim Berners-Lee and others from the Semantic Web community. A formalization of the logic underlying N3 was published by Berners-Lee and others in 2008.[1] Examples[edit] This RDF model in standard XML notation <rdf:RDF xmlns:rdf=" xmlns:dc=" rdf:about=" Benn</dc:title><dc:publisher>Wikipedia</dc:publisher></rdf:Description></rdf:RDF> may be written in Notation 3 like this: @PREFIX dc: < External links[edit] References[edit] Jump up ^ Berners-Lee, T.

Resource Description Framework. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir RDF. En annotant des documents non structurés et en servant d'interface pour des applications et des documents structurés (par exemple bases de données, GED, etc.) RDF permet une certaine interopérabilité entre des applications échangeant de l'information non formalisée et non structurée sur le Web. Principes fondamentaux[modifier | modifier le code] Un document structuré en RDF est un ensemble de triplets. Un triplet RDF est une association : (sujet, prédicat, objet) Le sujet, et l'objet dans le cas où c'est une ressource, peuvent être identifiés par une URI ou être des nœuds anonymes. Les documents RDF peuvent être écrits en différentes syntaxes, y compris en XML.

Un document RDF ainsi formé correspond à un multigraphe orienté étiqueté. {sujet, objet, prédicat} ⇔ prédicat(objet, sujet) ce qui est équivalent à : ∃ objet, ∃ sujet tq prédicat(objet, sujet) Vocabulaires RDF[modifier | modifier le code] L'objet est : RDF, OWL & SKOS. Gleaning Resource Descriptions from Dialects of Languages. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. GRDDL ou Gleaning Resource Descriptions from Dialects of Languages signifiant littéralement Récolte de descriptions de ressources à partir des dialectes de langages est un langage de marquage permettant d'extraire des données RDF à partir de documents XML ou XHTML en utilisant des algorithmes de transformation explicitement liés, typiquement représenté en XSLT.

Voir aussi[modifier | modifier le code] microformats, une approche simplifiée permettant d'annoter des données dans une page web.RDFa, une proposition du W3C permettant d'annoter des sites web avec des données RDFWeb sémantique, ensemble de technologie visant à rendre les pages web "interprétables" par un agent logiciel.

Lien externe[modifier | modifier le code] (en) Spécification GRDDL du W3C. Editing Semantic Wiki. Théorie des graphes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des graphes est une théorie informatique et mathématique. Les algorithmes élaborés pour résoudre des problèmes concernant les objets de cette théorie ont de nombreuses applications dans tous les domaines liés à la notion de réseau (réseau social, réseau informatique, télécommunications, etc.) et dans bien d'autres domaines (par exemple génétique) tant le concept de graphe, à peu près équivalent à celui de relation binaire (à ne pas confondre donc avec graphe d'une fonction), est général.

De grands théorèmes difficiles, comme le théorème des quatre couleurs, le théorème des graphes parfaits, ou encore le théorème de Robertson-Seymour, ont contribué à asseoir cette matière auprès des mathématiciens, et les questions qu'elle laisse ouvertes, comme la conjecture d'Hadwiger, en font une branche vivace des mathématiques discrètes. Définition de graphe et vocabulaire[modifier | modifier le code] et relie soit vers , soit , tandis que , où . . GATE. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Architecture générale pour le traitement de texte ou GATE (pour General Architecture for Text Engineering) est une boîte à outils logicielle écrite en Java à l'université de Sheffield (GB) à partir de 1995 et utilisée très largement à travers le monde par de nombreuses communautés (scientifiques, entreprises, enseignants, étudiants) pour le traitement du langage naturel dans différentes langues. La communauté de développeurs et de chercheurs autour de GATE est impliquée dans plusieurs projets de recherche européens comme TAO (Transitioning Applications to Ontologies Transitioning Applications to Ontologies (en)) et SEKT (Semantically Enabled Knowledge Technology SEKT (en)).

GATE offre une architecture, une interface de programmation d'applications (API) et un environnement de programmation graphique. GATE utilise également le langage JAPE (Java Annotation Patterns Engine) pour bâtir des règles d'annotation de documents. Ontologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Par analogie, le terme est repris en informatique et en science de l'information, où une ontologie est l'ensemble structuré des termes et concepts représentant le sens d'un champ d'informations, que ce soit par les métadonnées d'un espace de noms, ou les éléments d'un domaine de connaissances.

L'ontologie constitue en soi un modèle de données représentatif d'un ensemble de concepts dans un domaine, ainsi que des relations entre ces concepts. Elle est employée pour raisonner à propos des objets du domaine concerné. Plus simplement, on peut aussi dire que l' « ontologie est aux données ce que la grammaire est au langage ». L'objectif premier d'une ontologie est de modéliser un ensemble de connaissances dans un domaine donné, qui peut être réel ou imaginaire.

Les ontologies informatiques sont des outils qui permettent précisément de représenter un corpus de connaissances sous une forme utilisable par un ordinateur. Notes. Web Ontology Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir OWL. Le langage OWL est basé sur les recherches effectuées dans le domaine de la logique de description.

Il peut être vu en quelque sorte comme un standard informatique qui met en oeuvre certaines logiques de description, et permet à des outils qui comprennent OWL de travailler avec ces données, de vérifier que les données sont cohérentes, de déduire des connaissances nouvelles ou d'extraires certaines informations de cette base de données. Il permet notamment de décrire des ontologies, c'est-à-dire qu'il permet de définir des terminologies pour décrire des domaines concrets. Une terminologie se constitue de concepts et de propriétés (aussi appelés « rôles » en logiques de description). Un domaine se compose d'instance de concepts.

Une extension de RDF[modifier | modifier le code] Les trois niveaux d'OWL[modifier | modifier le code] OWL-Lite[modifier | modifier le code] . OWL-DL[modifier | modifier le code] OWL Web Ontology Language Guide. W3C Recommendation 10 February 2004 New Version Available: OWL 2 (Document Status Update, 12 November 2009) The OWL Working Group has produced a W3C Recommendation for a new version of OWL which adds features to this 2004 version, while remaining compatible.

Please see OWL 2 Document Overview for an introduction to OWL 2 and a guide to the OWL 2 document set. This version: Latest version: Previous version: Editors: Michael K. Chris Welty, IBM Research, Deborah L. Please refer to the errata for this document, which may include some normative corrections. See also translations. Copyright © 2004 W3C® (MIT, ERCIM , Keio), All Rights Reserved. Abstract The World Wide Web as it is currently constituted resembles a poorly mapped geography. This document demonstrates the use of the OWL language to Status of This Document 1.1. 1.2. OWL is a component of the Semantic Web activity. OWL Web Ontology Language Reference. W3C Recommendation 10 February 2004 New Version Available: OWL 2 (Document Status Update, 12 November 2009) The OWL Working Group has produced a W3C Recommendation for a new version of OWL which adds features to this 2004 version, while remaining compatible. Please see OWL 2 Document Overview for an introduction to OWL 2 and a guide to the OWL 2 document set.

This version: Latest version: Previous version: Editors: Mike Dean, BBN TechnologiesGuus Schreiber, Free University Amsterdam Authors: Sean Bechhofer, University of Manchester Frank van Harmelen, Free University AmsterdamJim Hendler, University of MarylandIan Horrocks, University of ManchesterDeborah L. Please refer to the errata for this document, which may include some normative corrections. See also translations. Copyright © 2004 W3C® (MIT, ERCIM, Keio), All Rights Reserved. Abstract Status of this document Contents 1. Simple Knowledge Organisation System.

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