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Juin 2011

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Karachi: la cour d'appel rejette la constitution de partie civile d'Anticor - Monde. Attentat de Karachi : nouvelle perquisition. Europe 1Europe1.fr avec AFP Une perquisition a été menée il y a plus d'un mois dans les locaux de la société française d'exportation de matériel de défense Odas, à Saint-Cloud dans les Hauts-de-Seine, dans le cadre de l'enquête sur le volet financier de l'attentat de Karachi.

Dans cette même enquête, deux autres perquisitions ont été menées à Paris le 10 juin dans les locaux du groupe de défense Thales et le 16 juin dans ceux du groupe de construction navale militaire DCNS. L'opération menée à l'Odas a été supervisée par les juges Renaud van Ruymbeke et Roger Le Loire qui enquêtent sur d'éventuelles malversations financières en marge de la vente de sous-marins au Pakistan et de frégates à l'Arabie saoudite en 1994.

Certains des documents saisis étant classifiés "secret défense", les deux magistrats ont demandé la déclassification des documents au ministre concerné, a-t-on ajouté de même source. Lutte contre la corruption : la France épinglée. Ce document de 43 pages, rédigé par cinq spécialistes, dénonce - chiffres à l'appui - un "manque criant de moyens". Selon les auteurs, la police et la justice sont sous-équipées, leurs effectifs insuffisants et trop souvent inexpérimentés. "La lutte contre la grande corruption ne figure plus parmi les priorités", regrettent les enquêteurs, parmi lesquels l'ex-magistrate Catherine Pierce, qui eut à juger Alain Juppé à Nanterre à propos des emplois fictifs du RPR. TI France reproche au pouvoir politique d'exercer des "pressions accrues" sur certains dossiers et d'avoir abusé du "secret défense" dans des affaires telles que les frégates de Taïwan ou l'attentat de Karachi.

L'organisation regrette aussi que la Cour de justice de la République, appelée à juger les ministres, se soit "très rarement illustrée par sa sévérité". Parmi ses propositions, citons la nomination, à la tête du parquet, d'une personnalité indépendante du pouvoir exécutif: le procureur général de la nation. Bien sûr. [revue de presse] - [100] - [Ni fleurs, ni discours: la vérité] KARACHI :LONGUET REFUSE DE RENCONTRER LES VICTIMES A CHERBOURGArret sur images "Après une visite à la base navale de Cherbourg, le ministre de la défense a déposé une gerbe de fleurs au pied la plaque rendant hommage aux victimes de l'attentat du 8 mai 2002 à Karachi (14 morts dont 11 Français). Mais il n'a pas souhaité avoir un entretien avec les familles des victimes, qui, du coup, n'ont pas participé à la cérémonie.

"Les familles n'ont pas supporté qu'on leur propose d'assister à cette cérémonie sans que ne soit prévu d'entretien privé avec le ministre. " "Une heure après le dépôt de gerbe du ministre, l'une des veuves, Gisèle Leclerc, a déposé une banderole au-dessus de la gerbe au nom de trois veuves (Leclerc, Lecarpentier, Laurent). On pouvait y lire: "ni fleurs, ni discours, la vérité" signale l'AFP "Le gouvernement nous dit on pense à vous.

Lien direct : Attentat de Karachi : les familles refusent l'invitation de Longuet - Société. Les familles des victimes de l'attentat de Karachi ont refusé de participer vendredi 17 juin à une cérémonie à leur mémoire aux côtés de Gérard Longuet, déposant ensuite une banderole en leur nom où était écrit "ni fleurs, ni discours, la vérité". A l'issue de sa visite à Cherbourg (Manche), le ministre de la Défense Gérard Longuet a déposé une gerbe de fleurs devant une plaque commémorative en l'honneur des victimes de l'attentat de Karachi, une cérémonie à laquelle les familles ont refusé de participer, à l'exception d'un ancien blessé.

Les familles réclament de la transparence Les familles n'ont pas supporté qu'on leur propose d'assister à cette cérémonie sans que ne soit prévu d'entretien privé avec le ministre. Une heure après le dépôt de gerbe du ministre, l'une des veuves, Gisèle Leclerc, a déposé une banderole au-dessus de la gerbe au nom de trois veuves (Leclerc, Lecarpentier, Laurent).

On pouvait y lire: "ni fleurs, ni discours, la vérité". Le Nouvel Observateur - AFP. Attentat de Karachi: Longuet à Cherbourg, les familles des victimes absentes. A l'issue de sa visite à Cherbourg, le ministre de la Défense Gérard Longuet a déposé une gerbe de fleurs devant une plaque commémorative en l'honneur des victimes de l'attentat de Karachi, une cérémonie à laquelle les familles ont refusé de participer, à l'exception d'un ancien blessé. Les familles n'ont pas supporté qu'on leur propose d'assister à cette cérémonie sans que ne soit prévu d'entretien privé avec le ministre. Une heure après le dépôt de gerbe du ministre, l'une des veuves, Gisèle Leclerc, a déposé une banderole au-dessus de la gerbe au nom de trois veuves (Leclerc, Lecarpentier, Laurent). On pouvait y lire: "ni fleurs, ni discours, la vérité". "Le gouvernement nous dit +on pense à vous+. Mais par derrière, rien ne suit. Auparavant, le ministre s'était exprimé devant la presse sur l'affaire de Karachi.

Un peu plus tôt, M. Par. Karachi : Longuet refuse de rencontrer les familles à Cherbourg. Vite Dit Les "vite dit" sont tous les contenus des médias français et étrangers qui nous semblent dignes d’être signalés. Si nécessaire, ils feront l'objet d'un traitement approfondi dans nos articles payants. La page des "vite dit" a pour fonction de donner aux non-abonnés une impression des centres d’intérêt du site. La page des "vite dit" est très fréquemment actualisée au cours de la journée. 19h00suiviKarachi : Longuet refuse de rencontrer les familles à CherbourgParGilles Kleinle 18/06/2011 Après une visite à la base navale de Cherbourg, le ministre de la défense a déposé une gerbe de fleurs au pied la plaque rendant hommage aux victimes de l'attentat du 8 mai 2002 à Karachi (14 morts dont 11 Français).

Abonnez-vous ! “NI FLEURS NI DISCOURS QUE LA VÉRITÉ” Hier Gérard Longuet était en visite à Cherbourg… Le ministre de la Défense Gérard Longuet a déposé une gerbe de fleurs devant une plaque commémorative en l’honneur des victimes de l’attentat de Karachi. Mais les familles des victimes ont refusé de participer à cette cérémonie (sauf un blessé). Les familles n’ont pas supporté que ne soit pas prévu d’entretien privé avec le ministre de la Défense. Une heure après le dépôt de gerbe du ministre, l’une des veuves, Gisèle Leclerc, a déposé une banderole au-dessus de la gerbe ministérielle.

Je vous rappelle que parquet de Paris a ouvert (jeudi) une enquête préliminaire après la plainte pour faux témoignage déposée par les familles des victimes contre l’ex-juge Jean-Louis Bruguière, chargé de l’enquête de 2002 à 2007. Disclaimer : je suis l’éditeur du livre On nous appelle les Karachi. Kit2kqj Shared by guybirenbaum. Le réquisitoire français contre les services secrets pakistanais. Karachi: des parties civiles demandent audience au ministre de la justice. Le juge Bruguière rattrapé par l’attentat de Karachi. L’affaire Karachi opère un renversement étonnant.

Premier magistrat à avoir instruit le dossier, l’ancien juge Jean-Louis Bruguière se voit désormais accusé par les familles des victimes, représentées par Me Olivier Morice, de faux témoignage et d’entrave à l’exercice de la justice. Pourquoi un vieux rapport d’autopsie ? Jean-Louis Bruguière est mis en cause pour avoir caché un rapport d’autopsie datant de mai 2002, soit quelques jours après l’attentat de Karachi qui a causé la mort de onze Français.

Rédigé par deux experts français, Dominique Lecomte et Walter Vorhauer, ce rapport remettait en cause la thèse de l’attentat kamikaze, alors privilégiée par les autorités pakistanaises, puis par Bruguière. L’autopsie du suspect de l’attentat kamikaze à la voiture piégée établissait que «le sujet était en position debout». Une situation incompatible avec la conduite d’un véhicule. Bruguière a-t-il eu accès à ce rapport ? Que risque Bruguière ? Nicolas CORI. L'ex-juge Bruguière visé par une plainte pour "faux témoignage" Affaire Karachi: la plainte des familles contre l'ex-juge Bruguière. Attentat de Karachi: plainte contre l'ancien juge Bruguière - Société. Attentat de Karachi : n'oublions pas ! Karachi : plainte contre l'ex-juge Bruguière. [revue de presse] - [99] - [15 juin 2011] ATTENTAT DE KARACHI : PLAINTE CONTRE LE JUGE BRUGUIERENouvelobs.com / vidéo : BFM TV "Des familles de victimes de l'attentat de Karachi ont déposé plainte vendredi contre l'ancien juge d'instruction Jean-Louis Bruguière après avoir constaté qu'un rapport médical affaiblissant la piste islamiste ne figurait pas au dossier, a-t-on appris auprès de leur avocat, Me Olivier Morice.

L'ancien magistrat, figure de la lutte antiterroriste jusqu'à son départ en 2007, est visé par une plainte simple pour "faux témoignage" et "entrave à la justice". Ce rapport d'autopsie, en date du 23 mai 2002, établi par deux médecins légistes de l'Institut médico-légal de Paris, Dominique Lecomte et Walter Vorhauer, ne figurait pas au dossier alors que les deux spécialistes affirment l'avoir remis en juillet 2002. L'un des médecins a même remis un récépissé de dépôt de ce dossier au greffe du juge d'instruction Jean-Louis Bruguière. M. Autres articles : - ATTENTAT DE KARACHI :N'OUBLIONS PAS ! Une affaire d'Etat, une vraie. : Secouons-nous. Trévidic contre Bruguière, le script de la bagarre. Le 16 mai, le juge Trévidic auditionnait le juge Bruguière sur des bizarreries du dossier Karachi.

Un événement pour le petit monde judiciaire. Dont voici, en exclusivité, le verbatim complet... Le 16 mai dernier, l’ex juge Jean-Louis Bruguière était entendu comme témoin par le juge Marc Trévidic dans le cadre de l’instruction judiciaire sur l’attentat de Karachi. Un juge qui en auditionne un autre au pôle antiterroriste, un évènement à peine croyable. Jusqu’en 2007, le juge Jean-Louis Bruguière pilotait l’enquête sur l’attentat de Karachi du 8 mai 2002, en même temps qu’il présidait ce pôle spécialisé du tribunal.

L’essentiel de cette audition porte sur un rapport d’autopsie capital. Sur place, à Karachi, des sources proches de l’enquête n’ont jamais caché leurs doutes au sujet de la présence d’un kamikaze le 8 mai 2002. Crédits Photo FlickR CC by-nc-sa Frabuleuse Image de Une CC Elsa Secco Retrouvez notre dossier du jour sur Karachi : 91 pages de documents de la DGSE sur l’attentat de Karachi. OWNI publie près d'une centaine de pages de la DGSE dévoilant les enquêtes menées par les services secrets français sur l'attentat de Karachi du 8 mai 2002. 91 pages de notes, de télex et de rapports de la DGSE sur l’attentat de Karachi, publiés ici pour la première fois, permettront à chacun de se forger une opinion sur ce que les services secrets français savent de cette ténébreuse affaire.

Permettant ainsi d’explorer l’une des questions de fond du dossier : celle d’un lien entre cet attentat du 8 mai 2002 contre les ouvriers français chargés de construire des sous-marins à Karachi (où onze d’entre-eux ont péri), et le contrat d’armement à l’origine de leur présence sur place, signé près de huit ans plus tôt, le 21 septembre 1994, par le gouvernement d’Édouard Balladur. La lecture de ces 91 pages comblera les esprits soucieux de reconstitution factuelle. 1 – Du 5 mai 1994 au 24 octobre 1997: les premières tensions au Pakistan (11 pages). Crédits Photo FlickR CC by-nc-sa MichaelMKenny. Les notes de la DGSE sur les intermédiaires balladuriens. Selon des notes de la DGSE, publiées ici en intégralité, les intermédiaires libanais cités dans le scandale Karachi sont toujours dans le business avec l'industrie française de l'armement.

Les deux intermédiaires libanais du dossier Karachi continuent de bénéficier de contacts à haut niveau dans les milieux de l’armement. C’est l’une des conclusions qui se dégagent à la lecture des notes de la DGSE qui les concernent, datées d’avril 2009 et de février 2010, et que nous publions ci-dessous. Ces notes des services secrets ont été déclassifiées dans le cadre de l’instruction judiciaire sur l’attentat de Karachi. Les noms de ces deux intermédiaires d’origine libanaise, Ziad Takieddine et Abdulrahman al Assir, ont été cités à plusieurs reprises depuis que la justice a relancé ses investigations sur cette attaque terroriste perpétrée le 8 mai 2002 à Karachi.

Globalement, ces liasses de la DGSE mettent en évidence l’importance des opérations occultes qui ont pu entourer le contrat de 1994. [revue de presse] - [98] - [27 mai - 8 juin 2011] Petit retard dans le traitement des articles liés au Karachigate, pourtant nous avons connu quelques avancées ces dernières semaines... NouvelObs 27.05.2011 "La cour d'appel de Paris a donné vendredi son feu vert à la transmission à la Cour de cassation d'une Question prioritaire de Constitutionnalité (QPC) déposée par les familles des victimes de l'attentat de de 2002 à Karachi pour contester la loi sur le secret défense.

Le 27 avril, Me Olivier Morice, avocats de familles de victimes, a donc déposé une QPC auprès du juge antiterroriste Marc Trévidic, en demandant que le juge instructeur effectue des perquisitions dans des locaux soumis au secret défense sans solliciter l'autorisation du pouvoir exécutif. Le parquet général s'était prononcé contre une transmission de la QPC, estimant notamment que "les demandes formulées" sur la déclassification de documents avaient été "jusqu'à présent satisfaites". Peartree des articles de mai 2011 : TELE BRETAGNE OUEST / Mai 2011.