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Risques au Japon

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‪ALERT - Fukushima Daiichi Strange Smokes and Light - 20 July 2011‬‏ ALERT-FUKUSHIMA-DAIICHI-EXTREM-BLOW-OUT. Fukushima : l'échec du fitrage relance la crise. - « (..) l’échec du fitrage relance la crise » Bah, si tant est qu’elle avait jamais été maîtrisée, cher Aldous.. Filtrage ou pas.. J’en faisais un petit topo sur AVox il y a peu, tiens, en réponse à joletaxi qui s’illustrait dans son registre habituel. . - Jo : à marrant, marrant et demi finalement ! « Accueillir les vacanciers cet été » . . « Des informations tout à fait crédibles, au jour le jour » ? Et puis, sans vouloir être en reste, vous raillez encore les « scientifiques », visant Gundersen, sans aucun doute. SVP, Joletaxi, à l’appui des vôtres, d’affirmations (ci-dessus), nous attendons des sources, et des liens ! Ha, un détail quand même, que vous ne devriez pas ignorer, mais sur lequel votre petite description finale s’est curieusement arrêtée : la totalité du combustible des réacteurs est en fusion, il s’agit à présent de coriums.

Bon, nous en reparlerons. La France a-t-elle joué la transparence sur le nuage de Fukushima ? Les autorités françaises ont-elles mis de côté des données attestant de la présence du nuage radioactif de Fukushima en France au moins deux jours avant la date annoncée ? La Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) semble le penser, qui a écrit deux lettres au Premier ministre et au président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour leur demander une enquête.

Selon l'association indépendante, le panache a été détecté pour la première fois en France le 22 mars, et non le 24 comme l'affirme l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Et contrairement aux données communiquées par cet organisme public chargé de la surveillance de la radioactivité, l'iode 131, un radioélément responsable de cancers de la thyroïde, aurait été mesuré dès le 22 sur les trois quarts du territoire, en quantité 20 fois supérieure à celle révélée par l'IRSN le 24 mars, pour le seul Puy-de-Dôme... Des questions La Criirad en doute.

Live Japon : la mesure du risque à portée de main. Seismic Monitor. SCIENCE pour vous et moi. Tsunamie et risque nucléaire au Japon - mars 2011. Séisme et tsunami au Japon (Maj : 20/03/2013) : Le 11 mars 2011, le nord-est du Japon est frappé par un séisme historique de magnitude 9, qui provoque un tsunami avec des vagues de 10 mètres de haut, mettant en péril la centrale nucléaire de Fukushima. 4 réacteurs sur 6 sont concernés par des fuites radioactives. La communauté internationale se mobilise pour éviter une catastrophe évaluée à un niveau 6 sur l'échelle INES qui en compte 7 (pour mémoire la catastrophe de Tchernobyl a été évaluée à 7).

Outre le bilan des morts et des disparus qui s'alourdit de jour en jour, plus de 200 000 personnes ont été évacuées. S’informer de l’évolution de l’événement au jour le jour : L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), créée en 2006, assure au nom de l'État, le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France pour protéger les travailleurs, les patients, le public et l'environnement des risques liés à l'utilisation du nucléaire. Elle contribue à l’information des citoyens. Le Japon nous donne une leçon de résilience. En 1923, le tremblement de terre de Tokyo fit cent mille morts et la capitale disparut dans les flammes. En 1995, on déplora six mille victimes à Kobe.

Et un millier sans doute, à Sendai le 11 mars dernier, pour la plupart noyés par le tsunami qui a balayé la côte à la suite du séisme. Le drame humain est donc considérable mais l’évolution du nombre des victimes au cours du siècle, démontre les progrès accomplis dans la société japonaise pour contenir les pires désastres de la Nature. Depuis le séisme de Kobe en particulier, les codes et techniques de construction au Japon ont considérablement évolué : la plupart des bâtiments de Sendai ont résisté à la secousse la plus grave jamais enregistrée dans l’histoire du Japon. Aux normes techniques s’ajoute la préparation psychologique : dés leur plus jeune âge, les enfants japonais apprennent à se comporter convenablement en cas de catastrophe, à la fois au plan humain et de manière opérationnelle.

Au Japon, les constructions sont résistantes aux séismes, pas aux tsunamis. Temps de lecture: 4 min Retrouvez tous nos articles de la rubrique L'explication ici Si le tsunami sur les côtes du Japon a fait de nombreuses victimes et destructions, le séisme qui l’a causé a provoqué beaucoup moins de dégâts. Il a pourtant atteint 8,9 de magnitude, ce qui en fait le tremblement de terre le plus violent depuis 140 ans dans le pays. La capitale japonaise, à 390 kilomètres du foyer du séisme, compte relativement peu de bâtiments effondrés. «Les Japonais sont à l’avant-garde de la technologie sismique, explique Eduardo Kausel, professeur de génie civil au MIT, dans le Washington Post. Le Japon, secoué par 300 séismes par an en moyenne, a su perfectionner ses constructions résistantes aux séismes, notamment depuis le tremblement de terre de Kobé, en 1995.

De plus en plus de bâtiments reposent sur des bases qui les isolent des mouvements horizontaux du sol. Les constructions japonaises parasismiques respectent encore d’autres principes de base: Nina Montané Nina Montané.

Risque nucléaire

TPE parasismique - TPE entier. Introduction Les séismes, comme les autres catastrophes naturelles, peuvent avoir des conséquences graves et dévastatrices sur les bâtiments et la population. Cependant, les séismes, contrairement aux autres catastrophes naturelles, tuent surtout par l’effondrement de bâtiments et d’autres chutes d’objets. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’étudier la manière dont se comportent les bâtiments pour établir des ouvrages résistants aux séismes et ainsi protéger la population de cet évènement incontrôlable.

En effet, évaluer le risque des phénomènes sismiques est très difficile du aux faits de leur prévision incertaine et de leur apparition aléatoire. Nous ne connaissons ni le moment ni le lieu où cela se produira et ne pouvons les déterminer avec précision. I- Les séismes A. 1. La croûte terrestre est constituée de plusieurs grandes plaques qui évoluent les unes par rapport aux autres en s'écartant, en convergeant, ou encore en coulissant. 2. Schéma de l’origine d’un séisme 3. B. 1. A. 2005/03/01 > Japon > La prévention des risques naturels au Japon. La prévention des risques naturels au Japon Publié le 1/03/2005 - 38 pages - pdf 2,3 Mo Auteurs : GEORGEL Olivier Une situation géographique difficile (territoire montagneux, pluviométrie importante, zone de subduction de plaques tectoniques) couplée à une forte densité de population font du Japon un pays très exposé aux risques naturels, principalement les séismes, les tsunamis, les volcans, les typhons, les crues et les glissements de terrain.

Le Japon est certainement l'un des pays les mieux préparés en cas de catastrophes naturelles et la gestion des risques est directement assurée par le cabinet du Premier Ministre. Au sommaire de ce document : 1. 2. 3. 4. 5. ConclusionSources d'information (en anglais) et glossaire des sigles. Croquis risques naturels au Japon.