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Pour en finir avec l'addiction aux jeux vidéo  La revue Canard PC (N°293) a consacré récemment un numéro à la question de l'addiction aux jeux vidéo.

Pour en finir avec l'addiction aux jeux vidéo 

Mais qu'est-ce qui a bien pu justifier le lancement d'un tel sujet à un moment où pratiquement l'ensemble de la communauté internationale est en train de renoncer à définir les pathologies liées à l'usage excessif des jeux vidéo en termes d'addiction, notamment chez l'enfant et l'adolescent? Est-ce parce que l'utilisation du mot est devenu un argument marketing pour des campagnes qui prétendent vendre des jeux en mettant en avant leur caractère "addictogène"? En tous cas, à ce jour, aucune classification internationale ne retient l'existence d'une "addiction" aux jeux vidéo: ni le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) de l'American Psychiatric Association (APA), ni la classification internationale des maladies mentales de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Lire aussi: Le jeu vidéo a-t-il sa place au musée? Les addictions sans substances. J'étais accro aux jeux vidéo. J'étais un accro aux jeux vidéo.

J'étais accro aux jeux vidéo

Je m'en suis sorti. Il m'est arrivé de passer de 14h de l'après-midi à 7h00 du matin devant mon ordinateur à jouer. Qu'ai-je gagné ? Du plaisir, des "amis", une identité. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Depuis, j'ai arrêté les jeux vidéo. La force, la volonté nécessaire pour vivre dans la réalité. Il y trop de choses à faire dans la réalité pour se rabattre sur le virtuel. Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo.

L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies a étudié le comportement de 2 000 élèves de 12 à 16 ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo. C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*. Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette.

Les trois quarts des lycéens (60 % des collégiens) ont un ordinateur dans leur chambre. « Négliger d’autres activités pour jouer » Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 5 % des jeunes de 17 ans joueraient entre cinq et dix heures par jour. Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages. Le jeu est présent dans toutes les sociétés humaines.

Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages

Constitutif de l’homme, il forme le jeune aux défis qu’il devra relever adulte. Selon diverses sources, 90% des adolescents passent plus de deux heures par jours sur leurs écrans. Consoles, smartphones, tablettes, ordinateurs, autant de supports à leur disposition pour surfer sur Internet, se faire des amis virtuels sur les réseaux sociaux, jouer à Assassin Creed, World of Warcraft ou Call of duty…, activités parfaitement banales et licites. Dès lors, les inquiétudes que suscite l’usage intensif d’Internet et des jeux vidéo sont-elles justifiées ? Le marché du logiciel interactif européen pèse aujourd’hui 30 milliards d’euros par an, présente un taux de croissance de 15 % et des innovations permanentes. Dans notre pays, il existe encore peu de données quantitatives sur les pratiques de jeux vidéo/Internet chez les adolescents (voir « Pour en savoir plus »).

Les méfaits - GameAddict - Addiction au jeu vidéo - Cyberaddiction. Je suis accro... enfin complètement addict quoi !

Les méfaits - GameAddict - Addiction au jeu vidéo - Cyberaddiction

Accro à une série, addict à la musique... quelle différence ? Y en a t il seulement une ? Avant de tenter une approche qui aura pour but de sensibiliser à la question de l'addiction au jeu (jeu dit pathologique) il est intéressant d'observer la confusion qui règne dans nos propres propos. En écoutant les jeunes et les moins jeunes on réalise qu'ils sont incapables de les distinguer...et pour cause étant donné leur équivalence.Le terme "accro" renvoie à quelqu'un qui est "dépendant d'une drogue" au sens premier du terme et à quelqu'un qui est "passionné" au sens familier. Cette simple constatation, sans nous plonger dans un cours d'étymologie improvisé nous permet de constater que le sens familier "d'accro" n'est pas pour autant contradictoire ou moindre quant au sens premier, au contraire il renvoie à la notion de passion qui, petit rappel, est " une émotion très forte" et peut parfois avoir tendance à aller "à l'encontre de la raison"