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Séance 1

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Séminaire du 11 novembre 2010 – Séance 1. Dialectique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme.

La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code] Psychopathologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Martin Charcot est le précurseur de la psychopathologie. Concept[modifier | modifier le code] La psychopathologie est l'objet d'étude de la psychologie clinique et de la psychiatrie, elle est enseignée dans les universités ou en clinique. À propos de la différence entre une sémiologie étroite, c'est-à-dire simplement rivée aux symptômes et une réflexion approfondie qui fonde la psychopathologie, Eugène Minkovski écrivait : « Certes, quand il s'agit de rédiger un certificat d'internement ou d'enseigner les éléments de la psychiatrie au médecin praticien, les hallucinations, les idées délirantes, les impulsions, les réactions anti-sociales, l'agitation, la dépression, suffisent amplement.

Il n'en est plus de même quand, en psychologues, nous essayons de comprendre le fond qui conditionne tous les troubles dont je viens de parler et sont déjà forts complexes de par leur nature. Analyses[modifier | modifier le code] Georges Canguilhem. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georges Canguilhem Philosophe français XXe siècle Georges Canguilhem est un philosophe et médecin français, né le à Castelnaudary et mort le à Marly-le-Roi. Spécialiste d'épistémologie et d'histoire des sciences, il publia des ouvrages très importants sur la constitution de la biologie comme science, sur la médecine, la psychologie, les « idéologies scientifiques » (il réinterprète un concept majeur de Karl Marx dans L'Idéologie allemande) et l'éthique, notamment Le normal et le pathologique et La connaissance de la vie.

Disciple de Gaston Bachelard, il s'inscrit dans la tradition de l'épistémologie historique française, et eut une influence notable sur Michel Foucault dont il fut le directeur de thèse. Sa thèse principale est que le vivant ne saurait être déduit des lois physico-chimiques ; il faut partir du vivant lui-même pour comprendre la vie. Biographie[modifier | modifier le code] Une philosophie de la science[modifier | modifier le code] France Culture 1997 - 5 émissions.