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Sigmund Freud, “Psychologie collective et analyse du moi”. (1921) Descartes, Méditation 1 - comentaire. Descartes, Méditation 1. Qu’est-ce que les Lumières ? Les lumières[1] sont ce qui fait sortir l’homme de la mino­rité[2] qu’il doit s’imputer à lui-même.

Qu’est-ce que les Lumières ?

La minorité consiste dans l’incapacité où il est de se servir de son intelligence sans être dirigé par autrui. Il doit s’imputer à lui-même cette mino­rité, quand elle n’a pas pour cause le manque d’intelligence, mais l’absence de la résolution et du courage nécessaires pour user de son esprit sans être guidé par un autre. Sapere aude, aie le courage de te servir de ta propre intelligence ! Voilà donc la devise des lumières. La paresse et la lâcheté sont les causes qui font qu’une si grande partie des hommes, après avoir été depuis longtemps affranchis par la nature de toute direction étrangère (naturaliter majorennes), restent volontiers mineurs toute leur vie, et qu’il est si facile aux autres de s’ériger en tuteurs.

Il est donc difficile pour chaque individu en particulier de travailler à sortir de la minorité qui lui est presque devenue une seconde nature. Qu'est-ce que les Lumières ? Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Qu'est-ce que les Lumières ?

Qu'est-ce que les Lumières ? Est une œuvre du philosophe allemand Emmanuel Kant datant de 1784. Son titre complet est Réponse à la question : qu'est ce que les Lumières ? (Beantwortung der Frage : Was ist Aufklärung?). Kant écrit ce texte en expliquant combien il est bénéfique à l'Homme de penser par lui-même, sans préjugés. Sujet et contexte de l'œuvre[modifier | modifier le code] Extrait et traduction[modifier | modifier le code] Le texte original du paragraphe commencé par Kant : Aufklärung ist der Ausgang des Menschen aus seiner selbst verschuldeten Unmündigkeit. Extrait principal[modifier | modifier le code] La paresse et la lâcheté sont les causes qui expliquent qu’un si grand nombre d’hommes, après que la nature les a affranchis depuis longtemps de toute direction étrangère, restent cependant volontiers, leur vie durant, mineurs, et qu’il soit si facile à d’autres de se poser comme leurs tuteurs.

Voir[modifier | modifier le code] Husserl, l’Origine de la géométrie: sur l’écriture. The ister extract mp4. Pindare : Néméennes. Les jeux Néméens, ainsi nommés de la forêt de Némée, dans l'Elide, se célébraient tous les trois ans, le 12 du mois Boèdromiôn dans une plaine voisine de cette forêt.

Pindare : Néméennes

On fait remonter leur origine à la guerre des sept chefs, sous la conduite de Polynice contre Étéocle, c'est-à-dire au premier siège de Thèbes. Les sept chefs, passant dans la forêt de Némée et étant pressés de la soif, s'adressèrent à Hypsipyle de Lemnos, qu'ils rencontrèrent portant un enfant dans ses bras, et la prièrent de leur indiquer une source où ils pussent se désaltérer.

Hypsipyle posa l'enfant sur l'herbe et les conduisit à une fontaine qui coulait à quelque distance. Pendant ce temps, un serpent tua l'enfant, ce qui réduisit Hypsipyle au désespoir. Pour la consoler, les sept chefs, ayant rendu les devoirs funèbres à l'enfant, instituèrent des jeux en son honneur. Cet enfant était fils de Lycurgue, roi du pays et prêtre de Jupiter ; il s'appelait Opheltès ou Achémore.

Les Argiens étaient les juges des combats.