background preloader

Listes des sources

Facebook Twitter

On a rajouter ici les informations qu'on a trouvé en plus.

Interaction biologique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Diagramme simplifié des six principales interactions biologiques. Une interaction biologique, appelée aussi interaction biotique ou interaction écologique, désigne un processus impliquant des échanges ou relations réciproques entre plusieurs individus ou espèces dans un écosystème (relations interspécifiques), ou entre deux ou plusieurs individus d'une même population (relations intraspécifiques). Ces interactions, bénéfiques, neutres ou néfastes, instantanées ou durables, obligatoires (strictes), facultatives, opportunistes ou accidentelles selon leur niveau de spécificité, peuvent engendrer des coévolutions, induites directement (par exemple dans une relation prédateur-proie) ou indirectement (par exemple l'accès à une ressource commune) par ces échanges.

On parlera alors d’interactions directes ou indirectes. Contexte scientifique, philosophique et politique[modifier | modifier le code] Principales interactions[modifier | modifier le code] Les mitochondries, des aliens dans nos cellules. Les mitochondries qui sont présentes dans chacune de nos cellules sont un maillon essentiel de notre métabolisme. Mais on sait aujourd’hui qu’à l’origine elles étaient des organismes unicellulaires distincts et autonomes. Jusqu’à ce qu’un jour une cellule décide d’avaler une mitochondrie, et se mette à vivre en symbiose avec elle. Un scénario que n’aurait pas renié Ridley Scott. La centrale énergétique des cellules Les mitochondries sont des petites structures présentes dans les cellules de tous les organismes eucaryotes, c’est-à-dire les organismes dont les cellules possèdent également un noyau.

Les mitochondries remplissent plusieurs rôles dans le fonctionnement cellulaire, dont le plus connu est la production d’ATP (adénosine triphosphate), le combustible énergétique de nos cellules. Une cellule dans la cellule Mais le fait le plus troublant, c’est que les mitochondries possèdent leur propre ADN, distinct de celui qui est abrité par le noyau de la cellule. La théorie de l’endosymbiose.

Rescan des pages du manuel

Trucbac. Kartable.fr. b19. Lichen. Les lichens génèrent un appareil végétatif composé à 90 % par le champignon, le thalle, qui se développe lentement à la surface de supports variés, y compris dans des milieux souvent hostiles (exposition à la sécheresse, à de fortes températures, etc.). Depuis 2011, de nombreuses découvertes mettent en évidence que la symbiose lichénique implique de multiples partenaires (levures, bactéries, protistes, virus).

La symbiose multipartenariale résulte d'une association, appelée lichénification ou lichénisation. L'inverse, c'est-à-dire une algue macroscopique hébergeant un champignon microscopique, est une mycophycobiose. L'étude des lichens est appelée « lichénologie ». Étymologie[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, la systématique moderne classe les lichens dans le phylum des Fungi car seul le mycobionte assure la reproduction sexuée. Symbioses[modifier | modifier le code] « Les lichens sont des champignons qui ont découvert l'agriculture. » Si quelqu'un a le courage et les connaissance pour lire ces 200pages. Symbiose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine[modifier | modifier le code] En ce sens, la symbiose n'est pas une association à bénéfices réciproques (« gagnant et gagnant ») comme habituellement énoncé[6].

Elle l'est dans le sens où « survivre c'est transformer les inconvénients en avantages et éviter que les avantages deviennent des inconvénients »[7], pour éventuellement se survivre[8]. Dans le monde scientifique anglo-saxon, la symbiose est une association à caractère obligatoire ou non et à avantages et/ou inconvénients réciproques et partagés, entre partenaires (« locaux ») avec des bénéfices (« globaux ») pour la nouvelle entité émergente[9]. La symbiose peut être de deux types : l'ectosymbiose : le symbiote vit à la surface de l'hôte (ce qui inclut la paroi intestinale et les conduits des glandes exocrines)l'endosymbiose : le symbiote est situé dans l'espace intercellulaire, intracellulaire (intravacuolaire ou libre dans le cytoplasme) Les preuves[modifier | modifier le code] Écologie. Une définition généralement admise, particulièrement utilisée en écologie humaine, admet l'écologie comme étant « le rapport triangulaire entre les individus d'une espèce, l'activité organisée de cette espèce et l'environnement de cette activité » ; l'environnement est « à la fois le produit et la condition de cette activité, et donc de la survie de l'espèce »[1].

Le terme écologiste peut désigner un scientifique spécialisé dans l'étude de l'écologie[2],[3], un adepte de l’écologisme, ou partisan de l’écologie politique. Le terme écologue désigne plus spécifiquement un spécialiste de l'écologie, qu'il soit chercheur, biologiste ou ingénieur, et aurait été inventé, dans les années 1980, pour distinguer les scientifiques des militants[4]. Définition[modifier | modifier le code] Le terme écologie est construit sur le grec οἶκος / oîkos, « maison, habitat » et λόγος / lógos, « discours ») : c'est la science de l'habitat.

Il fut inventé en 1866 par Ernst Haeckel, biologiste darwiniste.