background preloader

À trier ...

Facebook Twitter

FD001403. GERMAIN. Official Journal - 2007 - C 306. Journal officiel de l'Union européenne 50 e année 17 décembre 2007 Édition de langue française Communications et informations Numéro d'information Sommaire Page Traité de Lisbonne modifiant le traité sur l'Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne, signé à Lisbonne le 13 décembre 2007 Article 1 er Article 2 Article 3 Article 4 Article 5 Article 6 Article 7 A.

. — Protocole sur le rôle des parlements nationaux dans l'Union européenne — Protocole sur l'application des principes de subsidiarité et de proportionnalité — Protocole sur l'Eurogroupe — Protocole sur la coopération structurée permanente établie par l'article 28 A du traité sur l'Union européenne — Protocole relatif à l'article 6, paragraphe 2, du traité sur l'Union européenne sur l'adhésion de l'Union à la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés fondamentales — Protocole sur le marché intérieur et la concurrence — Protocole sur l'exercice des compétences partagées B. Traité de Lisbonne, article 123 : le coup d'état de la finance. Comme chacun sait, est actuellement en première ligne des pays attaqués par la finance sur son point faible : la dette souveraine.

Cette situation est cependant valable pour la plupart des pays occidentaux endettés, y compris , la seule différence étant que les plus vulnérables subissent en premiers les coups de boutoir de ladite finance. Les suivants sur la liste commencent d’ailleurs également à être touchés (Portugal, Espagne) à travers les agences de notation. Cet article va évoquer une question fondamentale que personne ou presque ne se pose, à savoir pourquoi les états en sont arrivés à se financer sur le marché privé. Cette question en apparence anodine est en fait lourde de conséquences sur les finances publiques et surtout pour les contribuables que nous sommes tous.

C’est bien la finance qui coule : démonstration La dette d’un état Comme tous les pays en déficit, doit lever régulièrement sur le marché mondial des fonds pour financer son déficit. Toute dette comprend 2 parties : Étienne Chouard - 10 raisons de sortir de l'Union Européenne. Courbe de Phillips. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La courbe de Phillips aux États-Unis dans les années 1960 Mise en évidence en 1958, la courbe de Phillips est une courbe illustrant une relation empirique négative (relation décroissante) entre le taux de chômage et l'inflation ou taux de croissance des salaires nominaux. Cette relation s'explique par le fait qu'au-delà d'un certain niveau de chômage, les salariés ne sont plus en position de force pour exiger une hausse de salaire ; le partage des gains de productivité s'effectue alors en faveur de l'entreprise. Il y a deux interprétations : Une interprétation keynésienne selon laquelle il y a un très fort lien entre la croissance des salaires nominaux et l'inflation ; Taux d'inflation = Taux de croissance des salaires nominaux - Taux de croissance de la productivité Une interprétation monétariste selon laquelle, à long terme, le taux de chômage ne dépend plus du taux d'inflation.

Historique[modifier | modifier le code] où Portail de l’économie. Stiglitz : les premiers qui quitteront l'euro s'en sortiront le mieux. Sortir de l'euro ? Impossible pour les journalistes, mais pas pour les prix Nobel d'économie! (Mammal - Flickr - cc) C’est aujourd’hui la dernière ligne de défense des partisans de l’euro : la fin de la tour de Babel monétaire édifiée à Maastricht provoquerait un cataclysme économique. Pourtant, d’innombrables économistes, dont des prix Nobel, affirment le contraire, comme Jonathan Tepper dans une étude passionnante. La peur, dernier rempart de défense de l’euro Du même auteur Il est proprement incroyable d’écouter les éditorialistes ou les politiques évoquer une sortie de la monnaie unique.

Au Grand Journal, Nicolas Dupont-Aignan a eu droit à une mise en scène scandaleuse où l’image passait en noir et blanc, histoire de bien signifier que cela serait « passéiste ». Pourtant, une étude sérieuse démontre que cela est faux. Les unions monétaires finissent bien Comme d’autres, j’ai déjà fait un dossier assez fouillé sur la fin de l’euro avec les exemples de l’Argentine ou de la Tchécoslovaquie.

De la banalité de la sortie d’une union monétaire.