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Ludwig Wittgenstein. Signature Ludwig Wittgenstein ne publie de son vivant qu'une œuvre majeure : le Tractatus logico-philosophicus, dont une première version en langue allemande paraît en 1921 à Vienne et dans laquelle Wittgenstein traite des limites du langage et de la faculté de connaître de l'être humain. Ce texte a donné lieu à de nombreuses interprétations, parfois difficilement conciliables. Pour Wittgenstein, sa signification primaire est surtout éthique et esthétique, tandis que la plupart des lectures ont d'abord mis en avant son intérêt en logique et en philosophie du langage.

Pièce majeure de la philosophie de Wittgenstein, il est inspiré par un logicisme anti-psychologiste, une position que l'auteur abandonne par la suite, tandis que les commentateurs commencent à considérer l'aspect mystique de l'œuvre comme central. À cette date, il revient à Cambridge, sur l'insistance de Bertrand Russell et de George Moore et critique les principes de son premier traité. . — Wittgenstein[124]. En 1939, G. . Conscience sans objet non dualisme. La pensée en arborescence du TLP Les décimaux qui numérotent chaque proposition indiquent le poids logique des propositions, leur relief dans ma représentation. Les propositions n.1, n.2, n.3, etc., sont des remarques à la proposition n ; les propositions n.m1, n.m2, etc., des remarques à la proposition n.m. ; et ainsi de suite. Extrait du TLP (Première et seule note en bas de page). Commande sur Amazon : Tractatus logico-philosophicus Titre, forme et fond sont de nature paradoxal.

Le titre a été proposé par G.E. Au moins deux possibilités s'offrent au lecteur, l'une consiste à lire les propositions à la suite (lecture continue ou linéaire), par exemple la proposition 7 sera lue après la 6.54, l'autre à les lire selon leur "poids logique" (lecture en arborescence), la 7 sera lue après la 6. Lecture en arborescence (début du TLP) : Du tronc surgit 7 branches - ou 7 propositions de premier niveau : 1. Seule la dernière proposition ne fera pas l'objet d'un développement (et pour cause). Conscience sans objet non dualisme. Quand Wittgenstein identifie "indicible" et mystique", il ne s'agit ni de théologie négative ni d'extase, mais de sentiment, et je pense que ce qui caractérise pour lui le "mystique", c'est précisément qu'il est un sentiment, une émotion, une expérience affective que l'on ne peut exprimer, parce qu'il s'agit de quelque chose d'étranger à la description scientifique des faits, quelque chose qui se situe alors dans l'ordre existentiel ou éthique ou esthétique.

On peut penser d'ailleurs que, lorsque Wittgenstein parle de mystique, il pense à sa propre expérience. C'est dans la problématique de Schopenhauer que se situe la représentation que Wittgenstein se fait du mystique et tout aussi bien de l'esthétique et, en un certain sens, de l'éthique. Ce que Wittgenstein dit de la mystique correspond en effet à ce que dit Schopenhauer de la connaissance qui s'affranchit du service de la volonté et de l'individualité. (cf. Vue depuis la cabane de W. Philosophie bouddhiste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le bouddhisme comporte une telle dimension philosophique qu'il est perçu par un certain nombre de ses pratiquants comme philosophie plutôt que religion. Ainsi, en Occident, Jean-François Revel estime t-il « qu'il s'agit d'une philosophie comportant une dimension métaphysique particulièrement importante, qui reste cependant une métaphysique s'inscrivant dans la philosophie, et ne relevant pas de la révélation[1] ».

De son côté, Edward Conze, universitaire de nationalité britannique, décrit le bouddhisme, en tant que philosophie, comme « un pragmatisme dialectique avec une tendance psychologique[2] ». Éléments de la philosophie bouddhiste[modifier | modifier le code] « Ces choses-là ne mènent pas à l'Éveil, au détachement, c'est pourquoi je ne les ai pas exposées » (Potthapada Sutta). Dans le Ditthi Sutta (Anguttara Nikaya, X, 93), le disciple Anathapindika résume de façon pragmatique le point de vue philosophique bouddhiste : Le non-soi (skt.

Questions ouvertes à Michel Bitbol. Réel et principe de réalité. Le réel, c’est ce qui est propre à la « res », c'est-à-dire à la chose, l’affaire, le fait. La chose, c'est-à-dire encore la « causa ». Il y a ici un complexe de significations dans lequel on s’empêtre comme c’est toujours le cas avec ces mots d’extension vaste. On peut définir la « res » par les oppositions dans lesquelles elle entre : - Res : chose en elle-même par différence à son concept, à son image. Le chien réel aboie, pas le concept de chien. . - Chose par différence avec le symbole de la chose (l’or n’est pas Au) . - La « res » par opposition à l’imaginaire – l’imaginaire est la chose non réelle, la chose qui n’est pas chose, la représentation qui n’a pas de représenté. . - La « res » par opposition à l’illusion, l’illusion comme imaginaire qui ne se sait pas.

Chaque fois, il n’est possible de cerner le réel que dans un système d’oppositions/différences, c'est-à-dire dans une problématique. 3) On peut encore aborder la question du réel en phénoménologue. Le réel ou la réalité ? CE QU'EST LA PANSÉMIOTIQUE. LA REALITE SANS REPRESENTATION (thèse) Jeu de langage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le jeu de langage est un concept majeur de la philosophie de Ludwig Wittgenstein. Développé dans la partie dite post-Tractatus de son œuvre, le concept est l'un des plus célèbres de la pensée wittgensteinienne. Il est défini la première fois dans Cahier bleu en 1934, mais reçoit par la suite d'autres explicitations.

Formes de langage primitive ou expériences de pensée, les jeux de langage sont au centre de la philosophie "intermédiaire" de Wittgenstein. Définir le jeu de langage[modifier | modifier le code] Hérité d'interrogations portant sur la définition des mots, le concept de jeu de langage se laisse lui-même difficilement définir. Wittgenstein propose alors d'identifier la signification d'un mot à son usage. Déjà mentionné dans des textes antérieurs[1], le concept de jeu de langage n'est défini pour la première fois que dans le Cahier bleu (1933-1934). Cette brève explication n'est pourtant pas grandement éclairante.

G.P. Réseau complexité. "Nous sommes tous des concepteurs" par Jean-Louis Le Moigne lisant H.A Simon (1968) Ndlr : Sous ce titre que l’on tiendra peut-être pour provoquant, on s’autorise ici, en guise de présentation de l’éditorial qu’on pourra lire dans la rubrique habituelle , à reprendre non plus le premier mais le dernier paragraphe de cet éditorial, texte que pour l’essentiel nous empruntons à une conférence de H A Simon donnée en 1968 au Massachusetts Institute of Technology. « Historiquement et traditionnellement la mission des disciplines scientifiques a été d’enseigner les connaissances relatives aux phénomènes naturels ; comment sont-ils constitués et comment fonctionnent-ils ?

Et la mission des écoles d’ingénieurs a été d’enseigner les phénomènes artificiels : Comment fabriquer des artefacts ayant des propriétés souhaitées et comment les concevoir ? Les ingénieurs ne sont pas les seuls concepteurs professionnels. Intellectuelle nouveau plan de vente pour une société , voire même une politique formation sciences. George Berkeley. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

George Berkeley Philosophe irlandais Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Sa première publication, L'arithmétique démontrée sans le secours de l'algèbre et de la géométrie, probablement écrite pour soutenir sa candidature au poste de chargé de cours, concerne les mathématiques. . « Les maîtres ont intérêt à avoir des esclaves, qui obéissent en toutes choses à leurs maîtres selon la chair, non pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais avec simplicité de cœur, dans la crainte du Seigneur[2].

Pendant son séjour à Saville Street à Londres, il prend part aux efforts visant à créer un asile pour les enfants abandonnés. Il demeure à Cloyne jusqu'à sa retraite en 1752, année où il se retire à Oxford chez son fils. Précision terminologique : l'« idéalisme »[modifier | modifier le code] Berkeley contre l'idéalisme transcendantal[modifier | modifier le code] Théorie de la connaissance[modifier | modifier le code] Phénoménologie (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie (du grec : phainómenon, ce qui apparaît ; et lógos, étude) est un courant philosophique qui se concentre sur l'étude des phénomènes, de l’expérience vécue et des contenus de conscience. Edmund Husserl est considéré comme le fondateur de ce courant, dans sa volonté de systématiser l'étude et l'analyse des structures des faits de conscience[1]. L'inventeur présumé de l'expression est Jean-Henri Lambert, qui la traduit en « doctrine de l'apparence »[2].

C'est le contexte qui détermine si l'on parle de la phénoménologie au sens fichtéen, hégélien ou husserlien, même si en général, le terme de phénoménologie, pris isolément, désigne la philosophie et la méthode de Husserl ou de ses héritiers. Une section de la Critique de la raison pure de Kant devait s'appeler Phénoménologie ; mais Kant remplaça finalement ce nom par celui d'Esthétique transcendantale.

L’étude ou science de la conscience est la phénoménologie de l’esprit. INTRODUCTION A LA SYSTEMIQUE. GIANFRANCO MINATIPrésident de l’AIRSAssociation Italienne pour la Recherche en Systémique(traduit par Evelyne Andreewsky) Préface Introduction et but de l’ouvrage I. Systémique et "Théorie des systèmes"II. Des ensembles aux systèmesIII. Annexe 1 : Sociétés de Systémique Annexe 2 : Revues de Systémique Bibliographie Préface L'introduction à la systémique que nous propose ici Gianfranco Minati, président de la société italienne de systémique, est le premier des ouvrages didactiques que la revue "Res-Systemica" se propose de mettre à la disposition de tous, en les affichant en bonne place dans le menu de chacun des numéros.

La présente introduction mérite tout particulièrement le qualificatif de "didactique", car - outre conseils et recommandations pour accomoder la systémique dans une sauce aussi digeste qu'appétissante - elle fournit de nombreux exemples susceptibles d'être compris même par des enfants du cours préparatoire ! Evelyne Andreewsky I - "Systémique" et "Théorie des systèmes" Fig. 1 -

Autopoïèse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'autopoïèse (du grec auto soi-même, et poièsis production, création) est la propriété d'un système de se produire lui-même, en permanence et en interaction avec son environnement, et ainsi de maintenir son organisation malgré le changement de composants (structure). Le concept d'autopoïèse est inventé par Humberto Maturana et Francisco Varela dans l'article Autopoietic Systems, présenté dans un séminaire de recherche de l'université de Santiago en 1972.

Il vise notamment à définir l'être vivant, et depuis rencontre un succès théorique dans des domaines aussi divers que l'intelligence artificielle, les neurosciences, et la sociologie. Définition[modifier | modifier le code] Francisco Varela propose la définition suivante de l'autopoïèse dans son livre Autonomie et connaissance : Autopoïèse et biologie théorique[modifier | modifier le code] Autopoïèse et intelligence artificielle[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Humberto Maturana. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Humberto Maturana est un biologiste, cybernéticien et philosophe chilien, né le 14 septembre 1928 à Santiago du Chili. Il a passé sa carrière à élaborer sa théorie au sein d'un projet de recherche biologique dans son laboratoire de Santiago (au sujet duquel il a écrit Experimental Epistemology Lab).

Après des recherches en biologie de la perception, Maturana a développé la biologie de la cognition et la biologie de l'amour. Son travail s'inscrit dans le courant constructiviste, produisant des preuves expérimentales que la réalité est une construction consensuelle commune qui apparaît en fait comme existant « objectivement ». Avec son collaborateur Francisco Varela, il a proposé la théorie de l'Autopoïese dans le prolongement de Gregory Bateson, Ludwig Wittgenstein, Paul Weiss (notion d'autoproduction), etc... Humberto Maturana, Francisco J. Francisco J Varela Research Awards. Francisco Varela The Mind and Life Francisco J. Varela Research Awards are an important and integral component of the Mind and Life Summer Research Institute, and are based on neuroscientist and philosopher Francisco J. Varela’s belief that contemplative training offers modern science novel methods for investigating human experience.

In his vision, contemplative training not only provides a new domain for scientific study, but more importantly offers resources for advancing scientific theories and models of consciousness, emotion and cognitive processing. The Varela Awards emphasize empirical examinations of contemplative techniques with the ultimate goal that findings will provide greater insight into the mechanisms of contemplative practice and its application for reducing human suffering. Mind and Life wishes to express our deep thanks to the John Templeton Foundation and the Hershey Family Foundation for supporting this important grant program.

Eligibility Request for Proposals. Francisco Varela. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Varela. Francisco Javier Varela (Santiago du Chili, – Paris, ) neurobiologiste et philosophe chilien. Biographie[modifier | modifier le code] Francisco Varela est l'auteur de nombreux ouvrages en biologie théorique et sciences cognitives ayant eu une influence théorique largement au-delà de ses domaines d'études initiaux. Disciple et collaborateur de Humberto Maturana, Varela élabore avec lui une théorie de l'organisation biologique, identifiant la vie avec l'autopoïèse, c'est-à-dire pour simplifier un réseau de processus se régénérant lui-même récursivement. Varela prolonge ses réflexions sur l'autopoièse, en proposant une théorie originale de la cognition, cherchant à dépasser l'opposition du subjectivisme et objectivisme : la théorie de l'énaction ou cognition incarnée.

Ses travaux ont influencé le domaine de recherche de l'intelligence artificielle et plus précisément de la vie artificielle. Théorie des systèmes sociaux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des systèmes sociaux est une théorie sociologique développée par le sociologue et penseur allemand Niklas Luhmann à partir des bases de la théorie de Talcott Parsons dont il a suivi les cours à Harvard durant l'année 1961. Ce qu'il faut entendre par 'système' aujourd'hui[modifier | modifier le code] Toutes les révolutions ne sont pas des bifurcations radicales de l'histoire.

Il suffit parfois d'adopter une perspective nouvelle, de remplacer un ancien paradigme par un nouveau pour que le changement s'opère dans la continuité et que les théories du passé se fondent dans une super-théorie qui les transcende sans pour autant les reléguer aux oubliettes [réf. nécessaire]. La théorie des systèmes, remarque Luhmann, en est déjà à sa deuxième réécriture, à son deuxième changement de paradigme [réf. souhaitée]. La différence entre système et environnement[modifier | modifier le code] L'autopoïèse[modifier | modifier le code] AFSCET. Enaction. Énaction (document afscet)