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Des plantes-poisons : aconit, belladone, ciguë et digitale. De nombreuses plantes sont à la fois de redoutables poisons et des médicaments potentiels, à l'image de la jusquiame, mortelle à hautes doses (causant par exemple la mort d'Hamlet dans la tragédie de Shakespeare) et pourtant aussi un traitement contre la toux.

Des plantes-poisons : aconit, belladone, ciguë et digitale

Voici quelques plantes toxiques. L'aconit L'aconit contient des alcaloïdes, dont l'aconitine. Cette plante est aussi appelée « herbe aux loups », car elle était employée pour tuer les loups. L'espèce Aconitum napellus est particulièrement dangereuse, notamment par ses feuilles et ses racines : 2 à 4 g de racine peuvent tuer un adulte ! La belladone La belladone, en latin Atropa belladona, contient de l'atropine, une molécule anticholinergique capable de bloquer les synapses neuromusculaires où agit l'acétylcholine.

La belladone, une plante toxique, notamment utilisée à la Renaissance pour dilater les pupilles et agrandir le regard des femmes. © Franz Eugen Köhler, Köhler's Medizinal-Pflanzen, Wikimedia Commons, DP. Poison et affaires célèbres : Locuste, Borgia, la Brinvilliers et la Voisin. Le poison, utilisé dès l'Antiquité, a traversé l'histoire, menaçant la vie de dirigeants et de personnages influents...

Poison et affaires célèbres : Locuste, Borgia, la Brinvilliers et la Voisin

Découvrez quelques-unes de ces histoires, de Locuste à Louis XIV. Le poison dans l'Antiquité Dans la Rome antique, l'utilisation du poison est souvent évoquée autour des personnages de Néron et d'Agrippine. La femme de l'empereur Claude et mère de Néron aurait fait libérer une Gauloise, Locuste, connue pour ses talents d'empoisonneuse. Histoire des poisons. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. histoire des poisons [1] s'étend de 4500 av.

Histoire des poisons

J. -C. à nos jours. Les poisons ont été utilisés à de nombreuses fins, au fil de l’histoire humaine, plus communément comme arme, antidote au venin et médicament. Le poison a été découvert dans l’antiquité et a été utilisé par les tribus et les civilisations anciennes comme outil de chasse pour accélérer et assurer la mort de leurs proies ou de leurs ennemis. Dans l’Europe médiévale, le poison est devenu une des méthodes d'assassinat les plus populaires, même si des antidotes sont apparus pour beaucoup de substances parmi les poisons les plus largement répandus. Au cours des siècles, l'usage de poisons à des fins répréhensibles a continué à se répandre. Antiquité et préhistoire[modifier | modifier le code] Strychnos toxifera, une plante utilisée pour empoisonner les pointes de flèches.

Pline le Jeune a décrit plus de 7 000 poisons différents. Inde[modifier | modifier le code] Chānakya (c. 350–283 av. Aconitum napellus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Aconitum napellus

Aconitum napellus est une espèce de plantes de la famille des Ranunculaceae. C'est l'espèce de l'aconit napel mais aussi de l'aconit de Corse qui sont deux sous-espèces parmi d'autres. Ce sont des plantes extrêmement toxiques, pouvant facilement entraîner la mort. L'ingestion d'un morceau de la plante peut entraîner une défaillance cardiaque Aconitum napellus dans la nature avec des feuilles caractéristiques et ses fleurs (heaumes de Jupiter). Sous-espèces[modifier | modifier le code] Scorpiones. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Scorpiones

Anatomie[modifier | modifier le code] Caractéristiques[modifier | modifier le code] Les Scorpions sont caractérisés par : Morphologie[modifier | modifier le code] Le corps d'un scorpion est divisé en trois parties : le céphalothorax (ou prosoma), le mésosoma et le métasoma (certains regroupent ces deux derniers en abdomen ou opisthosoma). Les pattes locomotrices sont composées de huit articles et se terminent par une paire de griffes. Les peignes, organes spécifiques aux scorpions, sont couverts de milliers de capteurs chimiques. Les chélicères sont les « mâchoires » des scorpions. Cycle de vie et reproduction[modifier | modifier le code] La plupart des scorpions se reproduisent par reproduction sexuée, mais quelques espèces sont parthénogénétiques, des œufs non fécondés donnant naissance à des jeunes.