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Domaine du Cloud

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Microsoft poursuit l'édification de son OS Cloud. Avec la première mise à jour majeure de System Center 2012 et la mise à disposition des services d'Azure, Microsoft crée le concept de machine virtuelle hybride. Des VM capables d'être échangées entre clouds privés et publics, et passer d'un hébergeur à l'autre. Unifier Windows Azure avec Windows Server et SQL Server, dans l'optique de créer un véritable OS Cloud reposant sur la technologie Azure. C'est la quête poursuivie par Satya Nadella depuis deux ans. Lors d'une interview exclusive accordée au JDN fin 2011, le président serveur et outils métiers de Microsoft avait commencé à évoquer notamment le rôle d'Active Directory pour unifier la gestion des droits d'accès aux applications, qu'elles soient basées sur Windows Azure, dans le cloud, ou installées en interne.

Aujourd'hui, une nouvelle étape est franchie. Elle se concrétise en premier lieu par la sortie de la première mise à jour majeure de System Center 2012, la solution de gestion de centre de données de Microsoft. Le cloud réduit le temps de développement, pas les inquiétudes. Crédit Photo: D.R Une étude montre que les développeurs économisent du temps en créant des applications dans le cloud. Cependant, ils restent inquiets sur la sécurité et la disponibilité des services. L'enquête semestrielle Data Cloud Development du cabinet Evans, conduite en décembre dernier, a constaté que les plateformes clouds réduisaient le temps de développement de 11,6% en moyenne.

Utiliser ces technologies simplifient le processus de développement, améliorent le catalogue d'outils et favorisent la collaboration avec les programmeurs mêmes extérieurs. L'étude a porté sur 400 développeurs. Ben Hanley, analyste principal chez Evans, précise que « ces données semblent indiquer que le gain de temps en terme d'efficacité est l'un des principaux facteurs de motivation pour que les développeurs adoptent le cloud ». Dans cette étude, environ 10% des sondés estiment ne pas avoir gagné de temps avec des environnements clouds.

L'avenir du cloud passe par l'association des fournisseurs. Crédit Photo: D.R Un cabinet d'études constate que pour répondre à la demande des entreprises clients, les fournisseurs de services cloud devront désormais plus souvent s'associer. Les fournisseurs de services cloud chercheront en 2013 à établir des partenariats pour offrir une plus grande gamme de services. Les clients attendent de plus en plus ce genre d'alliances selon une étude du cabinet Current Analysis. Le marché a déjà vu certains partenariats, mais la chercheuse Amy Larsen DeCarlo, analyste principal spécialiste de la sécurité et des services de datacenters chez Current Analysis, s'attend à voir encore plus d'alliances. Les demandes des clients dépassent en effet la capacité des fournisseurs séparés. Des exemples concrets Deux exemples ont déjà été vus sur le marché, comme les alliances d'une part entre AT & T et IBM, et d'autre part entre CSC et Sprint.

Le cloud computing progresse fortement dans les PME. Depuis 2011, le cloud computing (essentiellement le SaaS) a connu un coup d'accélérateur dans les PME. La croissance sera forte dans les années à venir, même s'Il reste encore de nombreuses incertitudes. Le cabinet Markess s'attaque au cloud computing dans les PME, ces entreprises de moins de 250 salariés qui sont près de 1 200 000 en France selon l'Insee. Première surprise de l'étude, les PME sont loin d'être « larguées », l'écart avec les grands comptes est faible en matière de cloud computing. En 2012, 22% des PME françaises recourent à une forme ou une autre de cloud computing, contre35% pour l'ensemble des entreprises françaises. L'an prochain les chiffres seront respectivement de 27 et de 38, en 2014 de 32 et de 41. Autre idée reçue à balayer, les TPE sont bien placées, elles se sont appropriées le cloud computing.

Passer de 480 à 700 ME en deux ans Ce cloud computing a subi un coup d'accélérateur dans les PME en 2011 où 41% des décideurs interrogés sont venus vers ces solutions. 11 bases de données en mode cloud. Un document révèle les conditions d'utilisation du cloud d'Oracle. Au cours des mois passés, Oracle a lancé toute une panoplie de services cloud, à la fois IaaS, PaaS et SaaS.

(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Les conditions d'utilisation des services cloud d'Oracle, découvertes sur le site web du fournisseur, ont suscité des conseils de prudence de la part de certains analystes. Ils suggèrent aux clients de bien lire les petites lignes. Un document officiel, mais estampillé « confidentiel », était encore récemment accessible à tous sur le site web d'Oracle (désormais indisponible).

Cette année, Oracle a lancé une gamme importante de services cloud, parmi lesquels un service IaaS (Infrastructure as a Service), un service PaaS (Platform as a service), ses applications de gestion Fusion et un réseau social. Des interruptions exceptionnelles de service « Ailleurs, Oracle déclare, d'un côté, qu'il assume la responsabilité de la sécurité du cloud, y compris le renforcement du système. Dossier cloud computing : les nouveaux défis de la DSI. Le cloud public s'industrialise, les offres se multiplient ainsi que la demande de la part des entreprises. Si les fournisseurs de services cloud sont techniquement prêts à répondre à une forte demande, les entreprises clientes, de leur côté, sont très prudentes avant de se lancer.

Plusieurs points les chagrinent dont les plus importants, le choix du fournisseur, la sécurité des données et la réversibilité ou plutôt la transférabilité de leurs données vers une autre plateforme (ou en interne dans leur SI) en cas de changement de fournisseur. L'adoption de services cloud nécessite aussi de bien négocier le contrat qui lie le fournisseur à l'entreprise cliente. Enfin, l'un des points cruciaux au cloud relève du comportement de la DSI, à savoir comment accompagner les équipes vers un centre de service et de compétitivité.

Autant de défis que notre rédaction analyse dans ce dossier. Dropbox Vs Google Drive : le match du stockage en ligne - Web & Tech. IBM affute ses outils pour sécuriser le cloud. L'un des freins majeurs du passage au cloud pour les entreprises semble bien trop souvent être une question de sécurité des données. Pour tenter d'apporter une réponse en la matière aux entreprises, IBM annonce donc un panel de logiciels pour palier le problème. Sécuriser le big data et rendre le cloud computing plus sûr, tels sont les objectifs d'IBM Security Systems avec l'annonce de 10 solutions de protection. Ainsi, le service InfoSphere Guardium compte bien apporter une solution de surveillance en temps réel et un rapport de conformité automatique pour les systèmes basés sur Hadoop. Pour cela, des contrôles seront donc réalisés à travers diverses sources de données grâce à des modèles d'accès identifiés permettant une compréhension plus simple des clients et donc l'automatisation de la détection des vulnérabilités.

La sécurité du cloud: un facilitateur, pas un inhibiteur Concernant le cloud computing, IBM présente sa solution SmartCloud for Patch Management. Le Cloud de Google victime d'une sérieuse panne. Pendant plusieurs heures, vendredi dernier, Google App Engine a subi une série de dysfonctionnements engendrant une dégradation de la qualité de service. Un problème de gestion de la charge sur le routage est à l'origine du problème. Google App Engine a souffert de sérieux dysfonctionnements pendant plusieurs heures vendredi après-midi. Google l'a reconnu : la "majorité" des utilisateurs du service Cloud, utilisé pour développer et exécuter des applications Web, ont été impactés.

A en croire Mountain View, des problèmes de charge sur le routage sont à l'origine du problème. D'abord localisé sur un datacenter, il s'est ensuite étendu sur tous les centres de données dédiés au service de PaaS. "Le dysfonctionnement a été limité aux requêtes faites par les utilisateurs sur leurs instances d'applications, et n'a donc pas affecté les instances d'applications elles-mêmes", a précisé Google. Leurs données ont donc été épargnées. Le cloud bientôt soumis à la taxe sur la copie privée ? Crédit Photo: D.R Un rapport commandé par les services de la Présidence de la République au CSPLA ouvre la voie pour placer le cloud et plus exactement la sauvegarde en ligne dans le champ de la taxe de la copie privée.

En novembre dernier, le CSPLA (Conseil Supérieur de la propriété littéraire et artistique) a créé une commission relative au cloud. La directrice de cabinet de François Hollande, Sylvie Hubac a chargé cette commission d'une mission portant entre autre de savoir « dans quelle -mesure le droit existant permet d'appréhender les nouveaux usages en matière de copie et de stockage d'oeuvres de l'esprit ».

Le CSPLA a rendu les fruits de sa réflexion. Dans son rapport, le conseil estime que « les concepts essentiels du droit d'auteur et des droits voisins sont aptes à appréhender ces offres d'informatique en nuages ». En clair, le cloud rentre dans le cadre des discussions sur la taxe sur la copie privée. Le CSPLA distingue trois catégories de services : IP Convergence 2012 : Cloud et mobilité au coeur des débats. Crédit Photo: D.R L'édition 2012 du salon IP Convergence a adressé deux grandes thématiques du moment, le phénomène du Byod et le développement du cloud. Ce dernier sujet drainait beaucoup de responsables IT à la recherche de solutions.

Pour les adeptes de salon, le millésime 2012 du salon IP Convergence subit un peu la crise dans laquelle sont entrées les entreprises IT. Changement de hall, absence de grands acteurs (Microsoft, IBM, HP), découpage en 5 petits salons, cela n'a pas empêché les organisateurs de proposer aux visiteurs des ateliers et des conférences très suivis. Lors d'un atelier sur le lien cloud et mobilité, la discussion a vite tourné sur le problème d'hétérogénéité des terminaux et des OS.

Le cloud attire du monde Si les questions de mobilité ont attiré les foules dans les conférences. En matière de SaaS, Markess a réalisé une étude sur le sujet, qui montre qu'un peu plus de 30% des entreprises interrogées ont placé leurs applications dans le cloud en 2012. HP propose un help desk dans le cloud. HP propose dorénavant aux entreprises de 25 à 500 utilisateurs une solution de help desk dans le cloud.

Disponible à partir de 80 dollars par utilisateurs et par mois, la solution devrait faciliter la tâche des services informatiques en entreprise. Hewlett-Packard a lancé une offre hébergée appelée Service Anywhere, fournissant de la gestion de services IT (ITSM) via Internet. "Nous croyons que le SaaS en tant que modèle de prestation et en tant que modèle d'affaires fait sens pour beaucoup de nos clients", a déclaré Lee Nackman, vice-président de HP et directeur général du service logiciel de gestion de portefeuille de l'entreprise. Service Anywhere fournit un espace de travail pour le personnel de help desk IT afin de documenter et de résoudre les problèmes au sein d'une entreprise.

En règle générale, le personnel du centre de services utilise des logiciels ITSM et aide à la résolution de problèmes qui se produisent dans les systèmes informatiques. Des options supplémentaires à venir. Le cloud computing, l'informatique de demain ? - JDN web & tech. Déjà lancés par Amazon, les services de stockage et de calcul en ligne pourraient révolutionner l'informatique d'entreprise d'ici à moins de cinq ans. Google et IBM sont sur le pont, et les DSI pourraient faire leurs valises. Qu'est ce que le cloud computing ? L' "informatique dans les nuages" est un concept apparu assez récemment, mais dont les prémices remontent à quelques années, notamment à la technologie des grilles de calcul, utilisée pour le calcul scientifique.

Le cloud computing fait référence à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde entier, et liés par un réseau, tel Internet. Les utilisateurs du nuage pourraient ainsi disposer d'une puissance informatique considérable et modulable. Le cloud computing, un produit commercialisable ? Oui, cette technique est en passe de devenir un business.

Quels sont les avantages pour l'utilisateur ? Le cloud computing, fin de la DSI ? Open Source : la bataille se ravive entre CloudStack et OpenStack. Depuis le rachat de CloudStack par Citrix et la sortie d'OpenStack Essex, une nouvelle émulation a relancé le marché du cloud Open Source. En à peine deux mois, depuis que Citrix a mis son logiciel CloudStack sous licence Apache en fait, les fournisseurs de cloud ont commencé à soutenir le modèle Open Source. Cette semaine par exemple Zenoss, qui développe un logiciel permettant aux entreprises de surveiller et de contrôler leurs datacenters, a ajouté le support de CloudStack à son produit.

Floyd Strimling, l'évangéliste de Zenoss pour la partie technique du cloud, affirme que le vendeur a été amené à soutenir CloudStack à la demande de ses clients. « Le nombre d'adoption par les utilisateurs finaux est surprenant », a-t-il déclaré. La plupart des déploiements de CloudStack ont lieu dans des entreprises de jeux en ligne. On trouve tout de même de grands noms parmi les utilisateurs d'OpenStack. Des concurrents encore jeunes. Citrix CloudPlatform est comme Openstack, mais il marche. 01net le 18/10/12 à 13h45 Tout comme Microsoft et VMware, Citrix a désormais une plate-forme logicielle tout-en-un pour bâtir un cloud : CloudPlatform, qui descend de Cloudstack, la suite logicielle que vendait autrefois cloud.com, une société rachetée par Citrix en juillet 2011. Selon Mark Templeton, le PDG de Citrix, plusieurs milliers de clouds fonctionneraient aujourd’hui sur CloudStack. L’un d’eux serait constitué de plus de 30 000 serveurs. CloudPlatform est disponible dès cette semaine.

L’enjeu de créer un écosystème En avril dernier, Citrix avait mis Cloudstack en open source. Car en plus d’exécuter des machines virtuelles, CloudPlatform dispose d’une interface de programmation afin de standardiser la manière dont les applications et leurs ressources en cloud s’interconnectent. Evidemment, ça ne fonctionne que si tous ces logiciels sont exécutés dans un cloud compatible avec CloudPlatform. Comme Openstack, mais déjà opérationnel.

Le Cloud Computing sera l'innovation majeure pour les entreprises (étude) 01net le 18/10/12 à 15h44 Le cloud computing sera l'innovation la plus structurante dans les années à venir, selon une étude du cabinet KPMG qui a interrogé 668 dirigeants du secteur des technologies à travers le monde. Les dirigeants du secteur des technologies interrogés estiment à 56 % que le cloud computing constituera la rupture technologique la plus déterminante pour les entreprises dans les années à venir devant le m-commerce, couvrant le commerce et les services sur mobile, qui arrive en seconde position, pour 53pour les entreprises% des personnes interrogées. Confidentialité et sécurité posent problème C'est en Asie-Pacifique que les dirigeants interrogés sont les plus confiants dans le pouvoir « révolutionnaire » de ces innovations pour les entreprises pour les quatre années à venir : ils sont 25 % à y croire pour les technologies mobiles, contre 22 % sur l'ensemble de l'échantillon, et 20 % pour le cloud (18 % de l'échantillon).

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