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Culture et Economie sociale et solidaire en Bretagne. Panorama thématique. Le 2ème secteur d'activité de l'ESS en nombre d'établissements Le 12/07/2013 Auteur : David ISON Préambule méthodologique : Ce travail d'observation du périmètre culturel de l'Economie sociale et solidaire est issu d'une demande d'un collectif d'acteurs culturels bretons. La demande initiale formulée était de situer la Culture dans le champ de l'ESS et plus largement de l'économie des territoires.

Vous ne trouverez donc pas ici de diagnostic de périmètre culturel de l'ESS mais des données de cadrage sectoriels et territoriales pouvant y contribuer. Répondre à cette demande initiale imposait d'observer le secteur culturel avec les mêmes outils que l'ensemble de l'Economie sociale et solidaire, à savoir les données issues de l'INSEE ou de l'Acoss-Urssaf. Afin de permettre les comparaisons avec d'autres études, et d'autres territoires, nous avons utilisé le périmètre officiel du ministère de la Culture, qui correspond à un ensemble de codes d'activité de la nomenclature INSEE (code APE). Monnaie locale et complémentaire: ques a quo ?

? Quel est le principe ? Créer une monnaie pour une zone géographique limitée, qui fonctionne en complément de la monnaie nationale, pour défendre des principes liés à l'économie sociale et solidaire. Elle n'a pas cours légal et ne peut faire l'objet de spéculation. Son but principal ? Dynamiser l'économie locale. Certaines d'entre elles, comme le chiemgauer en Allemagne ou le sol Violette à Toulouse, sont des monnaies fondantes. Le concept de monnaie fondante vient d'un économiste du début du XXème siècle, Silvio Gesell, et a été appliqué pour la première fois à la monnaie locale de Wörgl (en Autriche) pendant la Grande Dépression des années 1930. ?

Outre dynamiser l'économie locale, les différents projets comportent souvent des spécificités, et ont ainsi des intérêts complémentaires divers. D'autres encore, entendent favoriser le fonds de roulement des entreprises, consolider leurs finances : celle en projet au sein de l'APEAS, en PACA. ? ? ? Avise. Economie sociale et solidaire : quand les territoires inventent leur monnaie. Faire évoluer son association vers des pratiques collaboratives et participatives avec le 2.0 | Nouveaux paradigmes. Bretagne. Le boom des monnaies locales - Bretagne.

> Nantes : un an pour transformer l'essai > Les Bretons et l'argent > La poussée des monnaies locales Révolutionnaire ? Pas tant que ça! Il y a une vingtaine d'années, la commune de Spézet avait bien relancé les lur pour certaines manifestations locales. Une monnaie qui avait cours en Bretagne jusqu'à 1534 et qui n'avait pas vocation à aller se perdre dans les nébulosités de la finance internationale. Depuis que les derniers francs ont pris le chemin de la Banque de France, en février dernier, et que l'euro est associée à la crise de la zone du même nom, ici et là fleurissent des envies de monnaie locale.

Brest a embrayé le premier, avec Héol, sa monnaie locale. Une monnaie certes solidaire née dans le giron de l'Association de développement de l'économie sociale et solidaire et qui n'a pas pour objectif de remplacer l'euro. Là encore, on fait du joli neuf solidaire avec de l'ancien.

Plus récemment Concarneau a décidé de s'y mettre. Avise.  Économie sociale et solidaire et collectivités : sortie d’un cahier  Volonté politique, organisation interne, mobilisation des partenaires, possibilités concrètes dans les marchés… Dans cette publication, les élus et techniciens des Régions pourront trouver bonnes pratiques et analyses pour renforcer leurs achats socialement responsables, quel que soit leur niveau d’avancement en la matière.

La première partie de la publication de l’Avise, réalisée dans le cadre de l’animation des centres de ressources essenregion.org et socialement-responsable.org, explore les enjeux, acteurs et principaux repères sur les clauses sociales. Les différents articles que le pouvoir adjudicateur peut mobiliser dans le cadre de sa stratégie d’achats socialement responsables sont ainsi rappelés et quelques chiffres clés soulignés. En seconde partie, six fiches présentent des bonnes pratiques et retours d’expérience sur la mise en œuvre des clauses sociales par les Conseils régionaux.

 La culture cherche sa voie dans l’ESS. L'ESPER - L’Economie Sociale Partenaire de l’Ecole de la République. Pourquoi faire de l'entrepreneuriat social une priorité des politiques publiques ? > Site public > Actualités > L’actu du Mouves > Pourquoi faire de l'entrepreneuriat social une priorité des politiques publiques ? Pourquoi faire de l'entrepreneuriat social une priorité des politiques publiques ?

Mutations et crises de l’État-providence, déficits publics, aggravation et complexification des enjeux sociaux et environnementaux, nouvelles attentes éthiques des consommateurs et des salariés, … . Dans ce contexte, car elles innovent et savent, au quotidien, répondre à ces enjeux. Elles créent plus d’emplois que la moyenne, partout et pour tous. Les entreprises sociales sont motrices de l’économie sociale et solidaire qui . Les entreprises sociales créent ainsi en moyenne 50 000 emplois par an, souvent . Elles permettent d’optimiser les dépenses publiques Le modèle économique hybride des entreprises sociales leur permet : pas ou peu d’actionnaires à rémunérer, implication des usagers, pas de discrimination (tous publics accueillis solvables ou non solvables).

Le modèle économique associatif. Le modèle associatif n’échappe pas à la rationalisation des charges et à la diversification des revenus, d’autant plus que la tendance est à la réduction des financements public. Un article de Julien Fournier du 19/04/2012 pour le Nouvel économiste. Les financements publics perçus par les associations ne cessent de diminuer. Ce fait nouveau, qui fragilise une partie du secteur, les amène à repenser leur modèle économique et à étudier différentes alternatives de développement : certaines directement financières – diversification des ressources, intégration des excédents et constitution de fonds propres , ouverture à davantage d’activités marchandes –, d’autres plus organisationnelles – fusions, mutualisation de moyens… Parmi les enjeux majeurs de cette évolution, la quête d’une vraie autonomie structurelle, base d’un développement pérenne.

Et une révision du rapport au monde de l’entreprise, sans pour autant en recopier le modèle, ni oublier les objectifs originels des associations. SCIC, les belles inconnues de l’économie sociale territoriale. La formule existe depuis dix ans mais les SCIC, sociétés coopératives d’intérêt collectif, restent méconnues. Leur objet est "la production de biens et de services d’intérêt collectif qui présentent un caractère d’utilité sociale". Il y en a environ 200 en France. Par rapport aux autres formes de coopératives, la particularité de la SCIC est d’être fondée sur un sociétariat hétérogène.

Comme me l’a expliqué Alix Margado, délégué Innovation à la Confédération générale des SCOP (Sociétés coopératives et participatives), dans une interview à La Lettre du Secteur Public, "on trouve dans les SCIC cinq catégories de coopérateurs : deux obligatoires, les salariés et les bénéficiaires (usagers, fournisseurs,...), et trois possibles : les collectivités publiques ainsi que "toute personne physique ou morale ayant un intérêt qui contribue par tout autre moyen à l’activité de la coopérative", et même parfois des bénévoles participants à la SCIC. " La formule mérite donc d’être connue. Www.arcade-paca.com/uploads/media/actes_CRESS_2011_web.pdf.