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Chypre

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Cyprus to ease citizenship rules for EU bailout losers. 14 April 2013Last updated at 17:23 ET Cyprus sealed an EU bailout last month to save it from bankruptcy Cyprus is to relax its citizenship rules for foreign investors who lost at least 3m euros (£2.5m) under an EU bailout deal. President Nicos Anastasiades said new measures, mostly affecting the Russian business community, would be approved at a cabinet meeting on Monday.

Russians have billions of euros in Cypriot bank deposits. Investors were angered when it emerged they would lose up to 60% of their savings under the terms of the bailout. In order to secure the 10bn euros, agreed by the EU and IMF, Cyprus was forced to wind up one major bank and write-off of a large portion of secured debt and uninsured deposits in the largest bank, Bank of Cyprus. Speaking at a Russian business conference in the coastal resort of Limassol, President Anastasiades said the new measures would "mitigate to some extent the damage" Russian investors had endured. Cyprus has been a member of the EU since 2004. The Confiscation of Bank Savings to “Save the Banks”: The Diabolical Bank “Bail-In” Proposal.

Is the Cyprus Bank “Bail-in” a “dress rehearsal” for things to come? Is a “Savings Heist” in the European Union and North America envisaged which could result in the outright confiscation of bank deposits? In Cyprus, the entire payments system has been disrupted leading to the demise of the real economy. Pensions and wages are no longer paid. Purchasing power has collapsed. The population is impoverished. Small and medium sized enterprises are spearheaded into bankruptcy. Cyprus is a country with a population of one million. What would happen if similar ‘hair cut” procedures were to be applied in the U.S. or the European Union? According to the Washington based Institute of International Finance (IIF) (right) which represents the consensus of the global financial establishment, “the Cyprus approach of hitting depositors and creditors when banks fail, would likely become a model for dealing with collapses elsewhere in Europe.” Does Cyprus constitute a “model” or scenario?

Bank “Bail-ins” vs. La Zone Euro après Chypre. Interview réalisé pour l’hebdomadaire de gauche grec “Epohi” (www.epohi.gr) et qui sera publié dans la semaine du 9 au 15 avril. Epohi Après ce qui s’est produit à Chypre où va la zone Euro ? Il est désormais clair que la crise de la zone Euro a marqué une étape importante après la crise chypriote. Cette dernière a fait sauter le tabou d’une ponction sur les comptes bancaires qui était en vigueur jusqu’à présent. L’idée que Chypre constituait un cas exceptionnel, ce qu’a répété le Président Français François Hollande lors de son interview du jeudi 28 mars à la télévision, est morte et bien morte. Klaas Knot, membre du Conseil de la BCE, a ainsi déclaré vendredi 29 mars[1] son accord de principe avec la déclaration très controversée de Jeroen Dijsselbloem le Président de l’Eurogroupe[2] affirmant que le plan de sauvetage pour Chypre constituait une nouvelle « doctrine ». Mais cette décision introduit un changement capital dans la gestion de la crise de la zone Euro.

. [7] J. . [11] J. . [13] J. La Troïka dynamite le casino… et le peuple chypriote. Certes, le gouvernement chypriote et la Troïka ont renoncé à taxer les petits déposants, et le sort réservé aux gros clients des banques chypriotes – qui perdront une bonne part de leurs avoirs financiers - ne mérite pas de larmes. Mais le plan, imposé par un ultimatum sans précédent de la BCE, épargne les banques européennes, en particulier la BCE, qui ont pourtant accompagné Chypre et ses banques dans l’édification d’un paradis offshore en zone euro.

Le nouveau plan de l’Eurogroupe, visant à restructurer les deux principales banques, permet à la Troïka de se dispenser du vote du Parlement chypriote. Et ce sera la population chypriote qui paiera le plus lourd tribut à l’effondrement programmé de son économie. Pour la première fois de l’histoire de la zone euro, la Banque centrale européenne a imposé ses vues à un pays souverain en le menaçant explicitement de l’expulser de la zone euro. Chypre : les oligarques européens doivent payer. L’Irlande avait obéi à l’UE et reporté la totalité des dettes de ses banques sur les citoyens pour éviter des pertes aux autres banques européennes. Elle a connu une explosion du chômage et les Irlandais ont recommencé à émigrer. L’Islande, elle, sous la pression des mouvements sociaux et manifestations citoyennes, a refusé d’endosser les pertes de ses banques. Bravant l’UE et le FMI, elle a laissé ses banques faire faillite en préservant les petits et moyens déposants.

Ce sont les clients étrangers attires par des taux d’intérêt élevés et les créanciers des banques qui ont subi les pertes. L’Islande connaît aujourd’hui une bien meilleure situation économique, et la Cour de justice de l’AELE (association européenne de libre-échange) a validé juridiquement sa décision. En finançant le sauvetage de ses banques par un prélèvement progressif sur les avoirs bancaires, Chypre innove radicalement. Les Européens passent Chypre par-dessus bord - Page 3. Un front anti-privatisations à Chypre, en riposte à la troïka. Le processus que veulent imposer l’UE, la BCE et le FMI risque fort d’être un gâchis financier et technique. Quasiment tout le secteur public de l’île est visé par ce pillage.

Un mouvement citoyen de résistance organise une manifestation dès aujourd’hui. Nicosie (Chypre), envoyé spécial. Première riposte. Le Mouvement citoyen anti-privatisations organise, aujourd’hui, une manifestation devant le palais présidentiel, à Nicosie. C’est là que loge Nicos Anastasiades, qui a négocié, lundi, un plan d’austérité avec l’Eurogroupe. «Sur le long terme, c’est la question des privatisations qui sera la plus importante», prévient Themos Demetriou, coordinateur du mouvement, qui réunit organisations citoyennes, politiques et syndicales. Brader les entreprises publiques En effet, dans l’accord qui porte sur la restructuration du système bancaire, les ministres de l’Économie de la zone euro, Pierre Moscovici pour la France, ont inclus l’exigence de privatisations. Un monopole pour le privé A lire aussi: Frédéric Lordon: « l'Union Européenne a laissé ses banques faire n'importe quoi »

28 minutes. Dans la première partie de l'émission, Élisabeth Quin, avec à ses côtés Renaud Dély (Le nouvel observateur) et Nadia Daam (journaliste spécialiste du Web), reçoit un invité pour témoigner ou commenter un fait d'actualité. Juan Gomez (RFI) rejoint le plateau pour la seconde partie, où trois intervenants débattent d'un sujet générateur d'opinions contrastées... Marseille : L'État face aux gangs Suite à la multiplication des règlements de comptes mortels qui ensanglantent la cité phocéenne depuis le début du mois de mars, le Sénateur-maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, a réclamé aujourd’hui l’aide de l’État en matière de sécurité.

Si face à cette recrudescence de la violence qui empoisonne la deuxième plus grande ville de France, le ministère de l’Intérieur a déjà envoyé un renfort de 240 CRS et gendarmes mobiles, l’édile marseillais déplore néanmoins les 30 milliards d’euros uniquement destinés au Grand Paris. Chypre : Les épargnants taxés, l'Europe menacée?