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Produire ses propres semences. Produire ses propres semences Il existe plusieurs méthodes pour produire ses propres semences. La plus simple, ou quand on connaît un jardinier, est de garder les graines des légumes qu’on récolte soi-même – quand on jardine – ou qu’on a achetés ou que quelqu’un nous a donnés. On peut ainsi récolter : en laissant monter en graines : des radis, des navets…à la condition de les laisser bien mûrir : des graines de tomate, de concombre, de courge, courgette, choux, melon, pastèque, phacélie, moutarde blanche ou jaune (ces trois derniers sont très bons pour comme engrais vert)… Bref, tous les fruits et légumes contenant des graines.en sélectionnant des plants : des pommes de terre.

Récolter des graines Toutes les plantes ne produisent pas de graines (ou en produisent peu et/ou très peu fertiles). Qui dit récolte dit contenant. Les plantes potagères Avant toute chose, pour récolter des semences potagères, il faut cultiver des variétés non-hybrides. A. légumes à floraison dans l’année Les fruitiers.

Du champ à l’assiette, en Grèce les initiatives se multiplient ! Semences locales et biodiversité, agriculture biologique, permaculture et agroécologie, réseaux de producteurs-consommateurs, jardins urbains autogérés et cuisines collectives : les grecs s’approprient leur agriculture et leur alimentation ! C’est dans un contexte difficile pour les agriculteurs (voir en fin d’article) et les consommateurs que naissent ou se consolident des initiatives pour former et informer sur d’autres modes de production agricoles, plus écologiques mais aussi plus économes.

D’une manière générale, ces initiatives visent une nouvelle population plutôt jeune qui cherche à la fois un échappatoire économique et un projet de vie. L’école d’agro-écologie gratuite près d’Athènes est un immense succès Ces initiatives en termes de mode de production allient les aspects écologiques (agriculture biologique, permaculture, etc.) aux avantages économiques d’un changement de techniques de culture et d’élevage, argument non négligeable dans le contexte actuel de crise.

Auto-culture. Jardiner autrement : 5 jardiniers récompensés. Leurs efforts ont payé ! Le 15 juin dernier, cinq jardiniers amateurs ont remporté le concours « Jardiner autrement » organisé par la Société nationale d’horticulture de France. Une initiative qui s’incrit pleinement dans le plan EcoPhyto 2018 qui vise à réduire de 50% l’usage des pesticides d’ici à 2018.

Un vrai bonheur pour la biodiversité ! Zoom sur les vainqueurs. Le jardin de Jean-Paul et Valérie Herbeth (Lorraine) Un potager, un verger, des plantes aromatiques, des prairies et un bois… voilà tout ce que l’on trouve chez Jean-Paul et Valérie Herbeth, deux passionnés de jardinage qui organisent des trocs de plantes et ouvrent leur espace certains week-ends au public. « Nous évoluons constamment car nous apprenons sans cesse sur le sol, sa vie, les plantes spontanées, les modes de culture… », confient-ils. Le jardin de René Guiraud à Castres (Midi-Pyrénées) Il existe des jardins qui reflètent la personnalité de leur propriétaire. Le jardin de Laurence Saunois (Midi-Pyrénées) Mon potager nourrit ma famille toute l'année. Il se prépare de juin à septembre. Certains semis s'anticipent toutefois au printemps (chou-fleur, céleri-rave).

Semis et plantations s’effectuent tous les mois. Le potager a besoin d’être entretenu : paillez pour garder la fraicheur du sol en ces périodes de chaleur, semez des engrais verts sur les parcelles où les dernières récoltes ont été faites, ou recouvrez-les d’une bâche. Il se récolte à partir à partir de septembre à décembre.

Il se prépare de juin à septembre. Il se récolte à partir à partir de septembre à décembre. Démarrer en biodynamie. Des jardins familiaux aux jardins partagés : jardinons tous ensemble en ville. Le 17 septembre 2010 | Par Nathalie Ses articles Voyageuse dans l'âme et jeune maman, j'aspire à me/à vous poser toujours plus de questions pour aller vers un bonheur responsable, simple, économique et écologique ! Demandez à vos grands-parents s’ils se souviennent des jardins ouvriers. Pour ceux de nos aïeux qui ont été contraints de déménager de la campagne à la ville au début du siècle, les municipalités avaient aménagé des parcelles cultivables au sein des agglomérations ou à proximité.

Ces initiatives avaient pour but de renforcer la cohésion sociale auprès des populations déplacées mais aussi pour permettre aux ouvriers des usines de faire pousser des fruits et des légumes, pour compléter à moindre coût leur alimentation quotidienne. Ces jardins remportent un vif succès et l’adhésion de nouveaux jardiniers est massive. Aujourd’hui, les jardins collectifs sont regroupés plus ou moins officiellement sous 3 grandes bannières : ++ Pour aller plus loin ++ L’agriculture urbaine: Pourquoi faire pousser des aliments en ville? « Jardins et Potagers Urbains. # Pour plus d’autonomie alimentaire. Aujourd’hui, dans le monde entier et plus encore dans notre société occidentale, chacun de nous est largement dépendant, pour s’alimenter, de l’industrie agro-alimentaire et du commerce mondial.

Cultiver ses aliments, au moins en partie, cela signifie s’autonomiser d’un système qui repose sur l’injustice et la dégradation accélérée des ressources naturelles. C’est aussi garder le contrôle sur la production et s’assurer de la qualité de ce qu’on mange, chose fort difficile de nos jours… Et puis, à condition d’y mettre un peu d’énergie (humaine !) , cela peut engendrer des économies substantielles dans un budget un peu trop serré ! # Pour créer et entretenir des liens sociaux. On sait que les espaces verts, en ville, sont des lieux privilégiés de socialisation. . # Pour améliorer notre cadre de vie. Le vert, ça embellit la ville. . # Pour développer et transmettre des savoir-faire. # Et bien sûr, pour le plaisir. Où cultiver en ville ?

Plein d’avantages… Calendrier-fruits-legumes.pdf. Un jardin au balcon. Un potager au coeur de l'entreprise. Certaines entreprises se font livrer des paniers bio de fruits et légumes, ou aident leurs salariés à passer à la bio pour les produits du quotidien avec un chèque d'abonnement bio, mais peu de sociétés se lancent dans la réalisation d'un potager au coeur de l'entreprise. C'est le défi que souhaite relever un chef d'entreprise à Châteauneuf sur Isère convaincu par les valeurs du développement durable.

Parce que le siège de sa société éco conçu est installé sur un vaste terrain d’environ 2.000 m² dont la moitié seulement est utilisée pour son activité, parce qu' il trouve donc dommage de ne rien faire de cette ancienne terre agricole et de l’eau captée sur la toiture de son entrepôt qui ne sert qu’à alimenter un puits d’infiltration, Christophe Crochu lance l'idée de créer un jardin potager/paysager. Ce projet est porteur de toutes les valeurs auxquelles Christophe croit et présente l’intérêt d’être un projet à la fois : Aspect économique : l’argent ne sera pas au coeur du projet.