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Consommation

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Emprunter la voiture du voisin, partager son bureau: la consommation collaborative. L'explosion du numérique et des réseaux sociaux permet la rencontre sans intermédiaire de l'offre et de la demande entre particuliers qui ne se connaissent pas. Ce système de "peer to peer" (échange entre pairs) entraîne l'émergence à une vitesse inédite de nouveaux modes de consommation, regroupés sous le vocable générique de "consommation collaborative". En 2013, celle-ci représenterait un chiffre d'affaires de 350 milliards de dollars (266,4 milliards d'euros), selon Accenture. Les sites de location de perceuses ou de tondeuses à gazon entre particuliers ne sont pas nés d'hier, bien sûr. Mais le phénomène a pris une ampleur inattendue.

Et désormais tout se partage: logement, transport, bureau. Quelles que soient les motivations des particuliers ou des entreprises, le but est toujours d'optimiser l'utilisation d'actifs mal exploités. L'innovation organisationnelle compte autant que la technologie Emprunter la voiture du voisin, avec Zilok. La chasse aux mères carrés inutilisés.

Circuits courts

Au CO-tidien. Nous reproduisons sur cette page la typologie des services de partage et de consommation collaborative que nous avons élaborée dans le premier chapitre du livre. Nous la compléterons au fur et à mesure, car de nouveaux services apparaissent tous les jours ! Merci à la graphiste Nelly Mary pour les 4 pictogrammes illustrant notre typologie. La diffusion de cette liste est soumise au Creative Commons (libre reproduction, non commercialisation et citation de l’auteur). Une organisation ou un particulier partage l’usage d’un bien et se fait rémunérer pour cela. Co-élaboration Certaines logiques regroupées ici sont fort anciennes, comme les projets associatifs, coopératifs et mutualistes : c’est l’échelle de valeurs et le degré d’engagement formel qui permettent de différencier les approches.

Le troc Je peux échanger : Co-habitation La logique de don est remise au goût du jour : don entre personnes mais aussi au sein d’une communauté d’appartenance.

Fab lab

La Consommation Collaborative en vidéo par Adesias (et OuiShare) La révolte des moutons de Pascale Hébel. Editeur :Autrement (Editions) Parution :9 Janvier 2013 Pages : 124p. Isbn : 9782746734074 résumé du livre Après des années de contestation de la société de consommation, de plus en plus d'individus mettent en place des stratégies de contournement, d'autoproduction et donnent du sens à leur acte d'achat.

Voici venu le temps des consommacteurs ou comment consommer devient un acte militant. Quand les décroissants naissent aux Etats-Unis dans les années 1980, ils ne sont qu'une poignée. Si dès les années 1990, on prend conscience que consommer peut devenir un acte citoyen, il faut attendre la réelle prise de conscience écologique des années 2000 pour voir se multiplier des stratégies de contournement. › Signaler une erreur sur la fiche pour aller plus loin Plus Articles & dossiers associés Vous aussi écrivez votre commentaire ou votre critiqueRéagissez Membres (0) La Révolte des enfants de Gérard Poitou-Weber Plus sur La Révolte des enfants Vous aussi écrivez votre commentaire ou votre critique.

Philippe Moati, Les consommations émergentes : acheter autrement. Allonger la durée de la garantie sur les produits. Alimentation : qui empoche quoi quand on passe à la caisse. Votre steak est emballé, pesé et bien rangé sur l’étal. D’un geste nonchalant, vous le placez dans votre chariot et continuez votre balade entre les rayons. Vous en oublieriez presque que votre pièce de viande n’est pas venue là à pattes. Si elle est ici, c’est grâce au travail d’(au moins) un agriculteur, un industriel, un intermédiaire, un cariste et bien d’autres encore. Autant de gens dont vous ne verrez jamais la trombine mais que vous allez, indirectement, payer en passant à la caisse.

Qui touchera le plus ? Qu’est-ce qui coûte le plus cher dans le prix final d’un produit alimentaire ? L’Observatoire français des prix et des marges vient d’établir un indice – appelé « l’euro alimentaire du consommateur » permettant de répondre à vos questions sur votre steak et autres achats. La répartition se fait comme suit : Conclusion ? L’agriculteur dindon de la farce ? Faut-il en conclure que la grande distribution se sucre au passage ? Comment choisir ? Partager plus pour consommer moins ! Si des services mercantiles comme Communauto ou même Bixi — où les gens peuvent «emprunter» un moyen de transport plutôt que d’acheter le véhicule en question — prennent leur envol, les adeptes de consommation collaborative, eux, opteront plutôt pour une location de vélo ou de voiture entre individus.

D’autres iront jusqu’à faire du troc d’objets, de la cuisine collaborative (achats groupés d’aliments pour réduire les coûts — et le gaspillage), de l’artisanat et autres moyens. Une question de sous Bien que l’idée d’une communauté axée sur le partage et la collaboration soit très louable, les gens, lorsqu’interrogés, admettent volontiers qu’il s’agit d’abord et avant tout d’une question de coût: il y a des économies à faire. Le fait que ce mouvement soit surnommé «économie de partage» ne signifie pas toutefois que les biens ou services soient gratuits. La puissance des réseaux sociaux Mais il ne s’agit pas seulement de confiance. Mode passagère ou mode de vie?

Exemples de sites collaboratifs. Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine. Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine BUENOS AIRES (Argentine) - La recherche d'une société sans consumérisme et sans argent, un mode de vie alternatif né aux Etats-Unis où il est appelé freeganisme, autrement dit gratuivorisme, gagne de nouveaux adeptes parmi les jeunes en Argentine. J'essaye de vivre sans argent, dit à l'AFP Ariel Rodriguez Bosio, 34 ans, qui se veut gratuivore ou freegano.

J'essaye d'encourager une nouvelle société et de ne plus soutenir cette vieille société injuste, ajoute-t-il. Ariel, l'allure sportive et le regard perçant, fondateur de l'ONG Arco Iris universal (Arc-en-ciel universel), a renoncé au téléphone portable et à la télévision, porte des vêtements sans marque et préfère le citron au déodorant. Nous tâchons de dépenser le moins possible, cesser de dépendre de la société de consommation, être autosuffisants, explique-t-il. Ce mouvement naît en 1999 aux États-Unis lorsque Warren Oaks, ex-batteur du groupe punk Against Me! Collaborative Consumption explodes in Latin America. At the end of 2010 a Spanish Google search for “consumo colaborativo” only rendered few results, among them this note from the Discovery Channel Latin America and an article on Argentina’s Rolling Stone website (2011), which were mostly focused on American examples.

We are now in 2012 and I am pleased to report that collaborative consumption projects in Latin America have exploded. Would you like to learn more about some of these interesting projects? The truth is that several countries in Latin America (Chile, Brazil, Argentina, Mexico, etc.) are among the few in the world that are currently “growing” (detailed report UN ), ie: apart from consumption and mass access to monetized goods/services. It is often argued that collaborative consumption is only a reaction to the current economic crisis, and therefore, people will return to their “normal” habits of hyperconsumption (as it happened in Argentina after the 2001 crisis). Mobility as a driver of change Mobility does not end with cars. La ruche qui dit oui. Yooneed - La communauté de tous les services aux particuliers. CONSOMMATION COLLABORATIVE : ANNUAIRE ÉCONOMIE DE L'ÉCHANGE | service.

Cradle to cradle

Achat bio. Consommation collaborative. Co-Recyclage : Recyclage, Récupe & don d'objets gratuits. Donnez, Récupérez, Co-Recylez, ici tout est gratuit. Je loue ta voiture, tu loues mon costume, on sauve la planète. Basée sur l’idée de partage, la « consommation collaborative » est une pratique qui se développe de plus en plus. « Chèvre pour tondre votre pelouse de manière écologique – location à la journée par couple de deux – 10 euros. » Ceci n’est pas une blague, mais une annonce trouvée sur le site e-loue, où les particuliers pratiquent la « consommation collaborative ». Le concept s’applique à tous les objets que l’on possède et que l’on n’utilise pas tout le temps, ou que l’on n’a pas besoin d’acheter. Comme l’expliquait déjà en 2000 Jeremy Rifkin dans son livre sur l’économie de l’accès ( « The Age of Access »), on n’est « pas toujours heureux d’hyperconsommer ».

Du coup : « La notion de propriété et la barrière entre vous et ce dont vous avez besoin sont dépassées. » Un brin révolutionnaire, le site « Collaborative consumption » proclame ainsi comme slogan : « Ce qui est à moi est à toi. » (Voir la vidéo de présentation, en anglais) « Des produits plus chers mais plus solides » Zilok - Location particulier et pro. Tout louer.