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Les traites négrières et l'esclavage

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Usine sucrière selon l'Encyclopédie, ou Dictionnaire Raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers de Diderot et d'Alembert. Usine sucrière selon l'encyclopédie universelle de Diderot.

Usine sucrière selon l'Encyclopédie, ou Dictionnaire Raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers de Diderot et d'Alembert.

Sommaire de la page, Planche I : l'habitation et séchoir à sucre. Planche II: deux types de moulin. Planche III: les chaudières et leurs noms. Planche IV: l'intérieur d'une sucrerie. Portail.atilf.fr/cgi-bin/getobject_?a.136:24./var/artfla/encyclopedie/textdata/image/ Previous article AGRICULTURE ET ECONOMIE RUSTIQUE, |SUCRERIE ET AFFINAGE des Sucres.

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(Page 18:1:11) SUCRERIE ET AFFINAGE des Sucres. AGRICULTURE ET ECONOMIE RUSTIQUE, |SUCRERIE ET AFFINAGE des Sucres. |PLANCHE Iere. La traite négrière rochelaise au XVIIIe siècle. Plus nombreux sur un navire négrier que sur les navires marchands, l’équipage dont les marins sont plus là par défaut que par choix, n’est pas toujours de qualité. Dans son journal, Claude-Vincent Polony avoue à son capitaine qu’à bord de La Reine de Podor, certains marins lui causent bien du souci : « soyez sans inquiétude à l’égard de nos captifs. Je le regrette, nos Blancs me donnent plus de peine à contenir ». La promiscuité - les plus gros négriers comptaient plus de 100 marins -, les risques, la durée du voyage, le climat, l’eau croupie et la mauvaise nourriture sont le lot quotidien d’un équipage qui n’hésite pas à déserter aux rares escales ou à l’arrivée aux Antilles.

L'esclavage, comprendre son histoire. Jean Vincent Morice, chirurgien et négrier sur les navires de la Compagnie des Indes. Il embarque ensuite à Lorient sur les navires de la Compagnie des Indes comme chirurgien avec pour destination le Bengale, la Chine, les Indes, etc.

Jean Vincent Morice, chirurgien et négrier sur les navires de la Compagnie des Indes

Sa carrière comme officier major en tant que chirurgien dans la Compagnie des Indes est résumée dans le tableau ci-après [4] : Le 14 août 1770, il se marie à Lorient avec Marguerite Caro fille de Louis Caro, officier des vaisseaux de la Compagnie des Indes [6]. Le couple a un premier enfant dès l’année suivante qui sera prénommé Jean Louis. Ce dernier naît le 4 septembre 1771 à Lorient et est baptisé le même jour par le recteur de Lorient : Grimaud Giraud. L’année suivante, il embarque sur La Digue comme subrécargue. Dès son retour en France, Jean Vincent Morice décide d’organiser une traite à Zanzibar, « sur la foi d’un commerçant arabe qu’il avait su mettre dans ses intérêts ». [8] Il repart de Lorient le 5 mai 1774 sur L’Espérance.

Esclavage à Bourbon. Accueil | Calendrier | Esclavage | Pédagogie | Répertoire des liens | Académie de La Réunion | Bulletin de la régionale L'esclavage à Bourbon Famille esclave à Bourbon: gravure de Moreau le Jeune, 1772.

esclavage à Bourbon

La période de l'esclavage a profondément marqué l'histoire de La Réunion, comme celle des autres anciennes colonies françaises d'outre mer. Pour autant, il est difficile de dire quand précisément furent acheminés les premiers esclaves: le peuplement de l'île devient définitif en 1663, avec les premiers colons, et des Malgaches. Navire négrier. Accueil | Esclavage | Pédagogie | liens | Académie de La Réunion | Bulletin de la régionale Le voyage d'un navire négrier bordelais au Mozambique Cet extrait du journal de bord de J.

navire négrier

Brugevin, commandant le navire négrier la Licorne, est tiré de la contribution de G. Debien, Le journal de traite de la Licorne au Mozambique, 1787-1788, parue dans Etudes africaines offertes à H. Liverpool museums - International Slavery Museum highlights. Musée de Nantes - dossier péda. Les routes de l'esclavage à travers le Sahara en 1791. La connaissance de l’Afrique A la veille de la Révolution, le tracé des côtes d’Afrique est établi avec précision, notamment dans les zones où se pratique le plus important des commerces, la traite des Noirs, en direction des Antilles et des côtes des Amériques.

Les routes de l'esclavage à travers le Sahara en 1791

La région du Niger et du Sénégal où des royaumes moins étendus remplacent les anciens empires est mieux cartographiée, grâce aux données plus. Les Européens sur les côtes d'Afrique à la fin du XVIIIe siècle. Contexte historique La traite des Noirs initiée par les Portugais et les Espagnols, est développée par les Hollandais et les Anglais, au XVIIe siècle, et par les Français, surtout au XVIIIe.

Les Européens sur les côtes d'Afrique à la fin du XVIIIe siècle

Mais la suprématie de l’Angleterre qui effectue alors 50% de la traite et celle de la France qui se situe entre 20 et 25% sont contestées par les Portugais, les Espagnols et les Danois, à partir de 1760. Trois siècles après le début de la traite, tous les pays d’Europe sont donc présents sur la côte occidentale de l’Afrique. Ils manifestent concrètement cette présence à terre, par les forts et les comptoirs, et, en mer, par les nombreux bateaux qui croisent le long des côtes. Les Européens ne pénètrent pas dans l’intérieur du continent car leur demande est économique beaucoup plus que politique.

Les Européens sur les côtes d'Afrique à la fin du XVIIIe siècle. « Noirs de pelle », esclaves en Guyane. Contexte historique Les canaux, artères de communication en Guyane En Guyane, le travail des esclaves est largement mobilisé pour la création d’unités de production agricole, les habitations, vastes espaces de plusieurs centaines d’hectares gagnés sur la forêt par le défrichage, ainsi que pour l’aménagement du territoire.

« Noirs de pelle », esclaves en Guyane

A partir de Cayenne, seul port maritime ouvert sur les liaisons transatlantiques, le mouvement de colonisation s’étend le long des estuaires et dans des régions marécageuses, où le transport terrestre est peu praticable. Des canaux complètent le réseau fluvial pour l’écoulement des productions. La traite à la « côte d'Angole » Contexte historique A la fin du XVIIIe siècle, de nombreux négriers européens vont pratiquer la traite de Noirs sur la « côte d’Angole » qui désigne alors non seulement l’actuelle Angola, au Sud du fleuve Zaïre, mais surtout au Nord, les royaumes du Congo : le Loango, le Kacongo et le Ngoyo ou Gabinde, particulièrement productifs.

La traite à la « côte d'Angole »

Les captifs, que les Européens appellent Congos, viennent de la périphérie de ces royaumes, sur une aire d’environ 300 km et arrivent aussi, par le fleuve, de régions plus lointaines du centre et du sud de l’Afrique. Les archives de ce trafic se recoupent avec des récits de voyages, parfois illustrés. Les routes de l'esclavage à travers le Sahara en 1791. La connaissance de l’Afrique A la veille de la Révolution, le tracé des côtes d’Afrique est établi avec précision, notamment dans les zones où se pratique le plus important des commerces, la traite des Noirs, en direction des Antilles et des côtes des Amériques.

Les routes de l'esclavage à travers le Sahara en 1791

La région du Niger et du Sénégal où des royaumes moins étendus remplacent les anciens empires est mieux cartographiée, grâce aux données plus précises rapportées par des voyageurs audacieux. La traversée du Sahara qui apparaissait infranchissable aux Européens est encouragée par l’African Association de Londres. Plusieurs récits de voyageurs et des cartes plus précises témoignent du désir de pénétrer à l’intérieur du continent, à la fin des années 1780, même si leur publication n’est effective qu’après la Révolution. Ces nouvelles avancées dans la découverte du Sahara n’ont pas échappé à l’homme des Lumières qu’est Jean Benjamin de Laborde (1734-1794). La carte Les routes suivies par les marchands d’esclaves « M. In Situ - N°5 - Maisons de maître et habitations coloniales dans les anciens territoires français de l’Amérique tropicale. L'Utile, 1761. Esclaves oubliés. - institut de recherches archeologiques. Les esclaves et la danse. Contexte historique Une main d’œuvre servile peuple en nombre considérable les Antilles et les Amériques proches de celles-ci.

Les propriétaires des plantations de canne à sucre ou de coton, avant l’invention de la photographie, font faire des peintures-souvenirs : portraits de la famille, petites scènes de genre, tableaux dont un des principaux objectifs est de rendre visible l’heureux aboutissement d’une ambition de prospérité harmonieuse dans la plantation. Certains maîtres tolèrent à leurs esclaves un repos le dimanche ; il arrive alors parfois que l’esclave et sa famille ne soient pas nourris par leur maître, ce dimanche devant être consacré à la culture vivrière d’un lopin de terre concédé autour de la case. Le maître cependant concède des réunions festives entre esclaves. Cette peinture non signée est attribuée à Augustin Brunias(1730-1796), peintre italien mort à la Dominique après avoir passé trente ans aux Antilles. Analyse des images Brunias observe. Interprétation Bibliographie.