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New York : les jeux vidéo entrent au MoMA. Ils sont désormais 14, présentés dans la galerie sophistiquée de design contemporain du 3e étage, dans le cadre d'une exposition plus large intitulée "Applied design" qui met à l'honneur "les nouvelles directions du design contemporain". Sur un mur sombre, un jeu Tetris en gris et blanc (1984) voisine avec le mythique Pac-Man (198O), tous les deux sous forme d'un petit écran numérique incrusté dans le mur. Chacun a son descriptif, racontant par qui et dans quel contexte ils ont été créés. A côté de Pac-Man, est exposé un vaste graphique de son code, là encore expliqué au profane. Le jeu vidéo Pac-Man (1980) exposé au Musée d'Art Moderne de New York (MoMA)© EMMANUEL DUNAND / AFP Dans une salle voisine, sont exposés Myst (1993), Another World (1991), les Sims (2000), etc.

Dans le décor épuré du MoMA, la plupart des jeux sont accompagnés de manettes ou souris permettant d'y jouer, et de casques pour le son. Les jeux vidéo : de l'art ? Bornes automatiques, puces RFID, livres numériques … Bienvenue dans la bibliothèque du XXIème siècle ! Mardi 15 janvier 2013 2 15 /01 /Jan /2013 08:46 La RFID dans les bibliothèques : Une technologie plus rapide, plus pratique mais pas moins contraignante. Par le colectif "Livre de papier" Après l’installation de la RFID et des bornes de prêt automatique dans les bibliothèques parisiennes, un argumentaire critique contre cette technologie a été diffusé à l’initiative du collectif “Livre de papier”, composé de lecteurs, bibliothécaires, libraires, traducteurs ou éditeurs.

Un article qui, bien que sous un angle différent, est à mettre en regard du bilan fait dans les bibliothèques aussi bien à Paris (lire ici) qu'en Bretagne (lire là). Pour continuer le débat, voici donc le texte dans son intégralité. "L’automatisation du prêt franchit une nouvelle étape avec l’instauration de bornes de prêt automatique, dans les bibliothèques parisiennes.

Grâce à ces bornes, finies les files d’attente (encore que…), finies les erreurs humaines (mais vive les bugs !) " ....... Lire aussi. La RFID dans les bibliothèques : Une technologie qui pose des questions d'ordre sanitaire, éthique et écologique. Après Paris, un bibliothécaire de Bretagne critique à son tour l’usage de la RFID ! En 2008, un système qui utilise des puces émettant des radiofréquences, la RFID, était installé dans trois bibliothèques parisiennes. Un article : « La RFID, une mauvaise idée pour Paris » avait alors mis en garde contre l’installation aveugle de cette technologie, aussi bien en terme de fonctionnalités, d’efficacité budgétaire, des éventuels effets sur la santé ou de son impact en matière d’environnement. Trois ans après, un retour d'expérience à la médiathèque Marguerite Yourcenar (XVé) avait aboutit au texte La RFID dans les bibliothèques à Paris : Quel bilan pour quelles idées ? Un texte assez critique sur l'usage de la RFID.

Aujourd’hui nous publions l’article d’un bibliothécaire d’une commune bretonne de dix mille habitants qui expérimente la technologie RFID depuis quatre ans. RFID & Médiathèque : Bilan à l'usage des élus et des professionnels du livre 1 - Qu'est-ce que la radio-identification ? Premier Chapitre, un service de presse numérique… à éviter. Premier Chapitre propose depuis peu un « service de presse numérique » payant aux bibliothèques. Le principe est simple explique l’article de Livres-Hebdo : Pour offrir ce service, la société Premierchapitre (affiliée à Smartnovel) sélectionne des nouveautés (50 par mois) en partenariat avec la SFL, négocie ensuite avec les éditeurs qui lui fournissent le fichier PDF des titres en question. Les bibliothécaires, lorsqu’ils sont abonnés au service (environ 3 000 euros par an) peuvent même lire sur le site premierchapitre la totalité du livre en version PDF et faire partager leurs coups de coeurs avec leurs collègues.

Là, on est pris d’un premier doute : les service de presse, c’est pas gratuit d’habitude ? Gratuits pour le papier, sauf que là c’est du service de presse numérique donc c’est payant (soupir). Payant et sécurisé, parce qu’il faut rassurer les éditeurs qui ont peur de la dissémination numérique des extraits des nouveautés… L’acopie ce serait alors l’antonyme de la copie. Francetv éducation - la plateforme des parents, élèves et enseignants. Les nouvelles générations, le numérique et la culture : secrets d'une alchimie. Avoir le choix... mais ne pas choisir Mais l'adoption massive de nouvelles pratiques fondées sur l'utilisation des réseaux numériques n'implique pas de facto l'abandon des pratiques culturelles plus anciennes.

Par exemple, les réseaux de proches (2) sont plus populaires qu'Internet pour découvrir des nouveautés culturelles. Ils ont utilisé en effet par plus de 93% des jeunes de notre panel. Et cela alors même que majoritairement ceux-ci semblent convaincus que les contenus culturels sur Internet sont plus variés que les contenus culturels auxquels ils accèdent par des moyens non digitaux (3). Popularité : la prime à la nouveauté Les nouveaux médias numériques qui sont apparus récemment ne remplacent pas nécessairement les médias plus anciens, mais ils peuvent les dépasser en popularité, au moins pour certains usages. . (1) La parité n'est pas tout à fait respectée pour l'Inde avec 58,80% d'interviewés de sexe masculin, ni pour la France avec 45% d'interviewés de sexe masculin. Que reste-t-il de la propriété dans l’environnement numérique aujourd’hui. Jeudi 14 juin, j’étais au Salon i-Expo 2012 pour animer un atelier que j’avais choisi de faire porter sur la thématique de l’évolution de la propriété dans l’environnement numérique, en demandant à Hubert Guillaud (InternetActu/FING), Michèle Battisti (ADBS/Paralipomènes) et Benjamin Jean (Inno3/Veni, Vedi Libri) d’apporter leurs points de vue.

Merci à eux d’avoir accepté l’invitation ! Voici l’argument que j’avais proposé pour cet atelier, suivi des quatre présentations des intervenants. La séance s’est avérée dense et riche, à tel point qu’il y aurait sans doute de la matière pour organiser tout un colloque sur un tel sujet. L’idée de cet atelier est née du sentiment que nous vivons un moment paradoxal. L’institution sociale qu’est la propriété n’a certainement jamais été aussi développée, sophistiquée et protégée.

Pourtant, d’un autre côté, l’environnement numérique exerce à l’évidence une action corrosive sur la notion de propriété. Cloud computing : la propriété dans les nuages. Culture : Ces œuvres qui unissent   les générations. L'hégémonie de la culture « mainstream » balaie les frontières territoriales, sociales, linguistiques mais aussi générationnelles. Aux jeunes les films à louer sur Internet et les tweets, à leurs aînés le théâtre et l'opéra?

Aux uns les communautés d'internautes, aux autres la télévision? Si les nouvelles technologies ont créé une rupture entre les digital natives et leurs grands-parents, voire leurs parents, le fossé qui les sépare est moins large qu'il n'y paraît. «Aujourd'hui, cinq générations cohabitent, avec leurs habitudes et leurs modes de consommation culturelle, constate Olivier Donnat, chercheur au ministère de la Culture, mais tout le monde est pris par le même mouvement, qui veut qu'Internet monte en puissance et que la part de l'écrit décline au profit de l'audiovisuel.» Si chaque génération a ses territoires, il existe une culture «mainstream» ou une culture commune, poussée par l'ère de la consommation de masse. La culture en partage » Do you speak LOL? Les seniors lisent mieux sur tablettes mais préfèrent l'imprimé. Les rapports et études sont formels, en tout cas, celle de la Johannes Gutenberg-Universität Mainz : pour les seniors, la lecture est plus facile sur un lecteur ebook, qu'avec un livre papier.

Moins d'efforts, une plus grande accessibilité, autant de solutions qui favorisent et encouragent la lecture chez les plus âgés. Counselman Collection, (CC BY-SA 2.0) Une enquête publiée ce 6 février et supervisée par Matthias Schlesewsky, a montré que les seniors préfèrent les tablettes et les lecteurs ebook, parce qu'ils leur demandent moins d'efforts dans le traitement des médias. C'est en comparant les mouvements des yeux et mesurant l'activité cérébrale des personnes âgées que la conclusion s'est imposée. Les auteurs de l'étude ont mesuré les deux paramètres suivants : le temps nécessaire à la fixation visuelle sur les écrits et relevés l'activité cérébrale par une électro-encéphalographie, en fonction des différents dispositifs de lecture.

Pour approfondir. Culture : Les 15-25 ans et la culture, au-delà des clichés. ENQUÊTE - Le Forum d'Avignon se penche sur les générations nées avec le numérique. Adeptes du zapping, elles se révèlent aussi très créatives. Et si vous résumiez Le Rouge et le Noir de Stendhal en moins de 140 signes? Un éditeur australien, Text Publishing, a proposé cet exercice sur le réseau social Twitter. Résultat: «Depuis qu'ils ont eu un plan, Mme de Renal (sic) casse tous les coups de Julien Sorel. Énervé, il la fume et finit sur l'échafaud. Ces garçons et filles de moins de 25 ans «inquiètent leurs aînés», soulignait récemment dans Madame Figaro la sociologue Monique Dagnaud qui est de plus en plus sollicitée par les entreprises épouvantées devant ces énergumènes représentant 21 % de la population française.

«Acuité phénoménale» Pirates, adeptes du «tout pour tous et tout de suite», chantres de la gratuité et du copié-collé, les Y-Z souffriraient de bien des maux: on les dit peu créatifs, passifs, désengagés, sans la moindre illusion pour le futur. «Bricolage existentiel» Hadopi : Les 15/24 ans, le streaming et le téléchargement. La Haute Autorité vient de faire connaître les résultats d'une étude portant sur les comportements des Digital Natives, et leur relation à Internet, au téléchargement, et toutes ces sortes de choses. Réalisée en partenariat avec le CSA, l'étude montre que les mauvaises habitudes semblent déjà prises, avec un rapport aux oeuvres très éloigné du message communiqué. Ainsi, les jeunes considèrent plutôt que musique, films ou séries, dématérialisés, relèvent du divertissement - et par extension, l'absence de support physique rend les relations moins émotionnelles.

On ne s'attache pas à du dématérialisé... D'ailleurs, en fonction de l'âge, les publics ont des relations variées : les 15/18 sont plus sensibilisés au droit d'auteur et aux pratiques illicites, alors que les 19/21 ans sont assez décomplexés quant au piratage. Les 22/24 ans pour leur part, sont partagés entre l'un et l'autre. Streaming et téléchargement sont les deux grands outils. Et le livre, plus précisément ? Pour approfondir. Gestion des droits numériques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces dispositifs techniques ou logiciels peuvent viser à : restreindre la lecture du support à une zone géographique prévue (par exemple les zones des DVD) ;restreindre la lecture du support à du matériel spécifique (par exemple les versions smartphone ou tablette) ;restreindre la lecture du support à un constructeur ou vendeur (afin de bloquer la concurrence) ;restreindre ou empêcher la copie privée du support (transfert vers un appareil externe) ;restreindre ou verrouiller certaines fonctions de lecture du support (désactivation de l'avance rapide sur certains passages d'un DVD).

Les mesures techniques exploitent un chiffrement de l'œuvre, combiné à un accès conditionnel. L'éditeur ou le distributeur qui exploite ce contrôle d'accès ne confie la clé de contrôle d'accès du produit, qu'en échange d'une preuve d'achat ou de souscription pour y accéder (abonnement à une chaîne payante, VOD, téléchargement, etc.).

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