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Le vocabulaire de Spinoza. Éthique et optique chez Spinoza. Une lecture continue de l’Ethique de Spinoza. Le troisième genre de connaissance chez Spinoza. Le Spinozisme. Spinozisme, nom donné à la philosophie de Spinoza, citée comme un exemple frappant de l'abus que peut faire de la pure logique un esprit vigoureux, parti de principes incomplets ou arbitraires.

Le Spinozisme.

Spinoza avait trouvé, dans Descartes, cette définition de la substance : "Lorsque nous concevons la substance, nous concevons seulement une chose qui existe en telle façon, qu'elle n'a besoin que de soi-même pont exister. En quoi il peut y avoir de l'obscurité, touchant l'explication de ce mot n'avoir besoin que de soi-même; car à proprement parler il n'y a que Dieu qui soit tel... " Quant à la notion que nous avons des substances créées, matérielles ou immatérielles, "pour entendre que ce sont des substances, il faut seulement que nous apercevions qu'elles peuvent exister sans l'aide d'aucune chose créée.

" Apories et origines de la théorie spinoziste de l’idée adéquate. Le principe que Dieu « simul cum Mente humana alterius rei etiam habet ideam » (II, § 11, cor.) reproduit et confirme la thèse que toute affection dépend à la fois de l’affectant (et surtout) de l’affecté – « Omnes modi, quibus corpus aliquod ab alio afficitur corpore, ex natura corporis affecti et simul ex natura corporis afficientis sequuntur » (Ax. 1 après II, § 13).

Apories et origines de la théorie spinoziste de l’idée adéquate

Si, comme la connaissance de tout effet, celle de l’esprit enveloppe la connaissance de sa <sa de ses> cause<s>, cet enveloppement reste essentiellement confus, en sorte de renvoyer l’affecté d’abord à lui-même esprit ; pour Spinoza et contre Descartes, la plupart du temps, la perception équivaut à la passion ; d’où son inadéquation, puisque la même et unique représentation porte sur plura (II, § 13 sc.) simul (§ 16 et dem. ; Def. 7 ; § 18, dem. ; § 29, sc.).

Aristote, De l’âme, III, 8, 431 b21 ; Descartes, Regulae ad directionem ingenii I, in Œuvres, éd. Adam-Tannery, Paris, 1966 2 sq., AT X 360, lg. 7-10. A. Le spinozisme est-il un nietzschéisme ? AugustinDercrois a écrit : "Conférence de Blandine Kriegel Transcription par Augustin Dercrois.

Le spinozisme est-il un nietzschéisme ?

L'éthique et la vérité. La fin de l'Etat est la liberté selon Spinoza. Spinoza et les Mathématiques. Léon Chestov, philosophe russe errant de conféssion juive, réussit en se penchant sur les mathématiques chez Spinoza à admonester une sorte de vengeance de la loi rabbinique contre laquelle, au-delà de laquelle, toute la trajectoire de Spinoza a prévalue, trajectoire qui influenca le protestantisme dans sa lcture de la Bible non comme expression de la vérité mais comme cadre du Bien. Si les mathématiques ont permis aux hommes d'exposer la vérité, qui fait brèche dans le discours, alors elles possèdent une dimension morale sur laquelle Chestov met le doigt.

Vérité et mathématiques chez Spinoza. "le système Spinoza est tissé de deux idées entièrement inconciliables entre elles. D'un côté, la conception "mathématique du monde (c'est elle qui a eu une importance "historique" et a rendu Spinoza si influent): tout dans le monde se produit selon la même nécessité intérieure selon laquelle se développent les vérités mathématiques. Les hommes libres sont par delà le bien et le mal. Ce désir qui pointe sous notre volonté.

Désir et réalité. Spinoza fait du Conatus, l’effort pour persévérer dans son être, l’essence de tout être.

Désir et réalité

Lorsque cet effort est conscient de lui-même, c’est-à-dire dans le cas de l’être humain, il nomme Désir le Conatus. Et donc il fait du Désir l’essence de l’homme. Il ne faut pas confondre Désir, pulsion vitale de l’être humain, sa dynamique existentielle (pour utiliser d’autres termes) et désir, l’un des trois affects primaires, avec la joie et la tristesse, qui est une concrétisation du Désir, de la pulsion vitale, vers un objet sélectionné. Le Désir est une pulsion sans objet, les désirs sont des tendances vers des objets. Cette homonymie est une des difficultés lors d’une première lecture de l’Ethique où les mots courants y sont souvent redéfinis et utilisés dans un sens différent du sens habituel.

Remontons aux penseurs de l’antiquité. Ils constatent un effet indéniable. Epicure recommande de borner ses désirs aux désirs facilement accessibles, en gros aux besoins. Jean-Pierre Vandeuren Like this: Spinoza et Nous - Philosophie de l'affirmation. Science de la Bible chez Spinoza. 1 Lettre 30 à Oldenburg ; TTP, préface, p. 28 ; chap.

Science de la Bible chez Spinoza

XV, pp. 257-58. Voir également Leo Strauss, Le (...) 2 TTP, XII, p. 217. Nous citons la traduction française d'Appuhn et renvoyons à l'édition de poche en (...) 1La contribution de Spinoza aux progrès de la tolérance est rarement recherchée dans les chapitres VIII, IX et X du Traité théologico-politique. Habituellement les commentateurs sautent par-dessus ces chapitres en arguant de leur caractère strictement exégétique ou philologique : ils concerneraient la seule science biblique. 3 Exactement dans l'ordre chrétien, ce qui donne une indication sur les lecteurs visés par Spinoza. 2Notons d’emblée que la structure de ces chapitres est très parlante et correspond à l’intention polémique.

Le chapitre VIII a pour fonction essentielle de ruiner la croyance en l’authenticité des livres qui sont examinés. 4 A proprement parler ce n'est pas sa découverte.