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Immanence

Immanence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Perspective de l'immanence[modifier | modifier le code] La pensée de l'immanence ou de la transcendance de Dieu a divisé les philosophes médiévaux, néo-platoniciens d'après Augustin d'Hippone, ou aristotéliciens d'après Albert le Grand et Thomas d'Aquin. Le symbole de Chalcédoine affirme que le Christ est consubstantiel à l'homme selon l'humanité : cette immanence engage le Saint-Esprit et permet la prière. Dans Pascendi, le pape Pie X a critiqué l'abus de cette notion dans la philosophie de Baruch Spinoza et Emmanuel Kant. Pour Spinoza[modifier | modifier le code] Pour Baruch Spinoza, l'immanence détermine ce qui est par la coprésence de Dieu à la nature ; Dieu est alors ce qui constitue toute valeur et toute intelligibilité. Pour Friedrich Hegel[modifier | modifier le code] Pour Hegel, la négation de l'immanence des choses précise davantage ces « choses » de même que « l'esprit absolu » est précisé par la médiation. Portail de la philosophie

Religion Le terme « religion » peut être défini de plusieurs manières, les trois suivantes semblent montrer un certain consensus dans les dictionnaires[1],[2],[3] : Elle est l’objet des recherches universitaires en sciences humaines. Des disciplines telles que l'histoire, la sociologie, l'anthropologie ou la psychologie, étudient ce qu'on nomme le fait religieux sans pour autant s'appuyer sur une définition qui correspondrait de manière homogène à tout ce qui est ainsi étudié. Histoire du terme religion[modifier | modifier le code] Dans le latin de l'Antiquité, comme l'atteste une expression de Cicéron, il était possible de considérer que « chaque cité a sa religion »[12]. Du XIIe au XIVe siècle, les textes dans lesquels le judaïsme, le christianisme et l'islam sont envisagées comme des choses équivalentes ne parlent pas de « religions » mais, par exemple, de trois « croyances » (créença) dans le catalan de Raymond Lulle[15] ou de trois « lois » (legge) dans l'italien de Boccace[16]. Pour R. .

Spiritualisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition et courants[modifier | modifier le code] Dans tous les cas, l'esprit a la préséance sur la matière, et il ne peut pas être réduit à des mécanismes physico-chimiques ou biologiques. Le spiritualisme peut être étroitement lié à la religion dans certains cas, lorsque celle-ci admet l'existence d'une âme, de Dieu qui est un pur esprit, d'une vie après la mort, et de façon générale d'un esprit indépendant du corps et de la matière. Le spiritualisme s'oppose au matérialisme et au physicalisme, c'est-à-dire à toute philosophie qui prétend que l'on peut expliquer les phénomènes spirituels et psychiques par des causes strictement matérielles, comme pour Épicure, de Karl Marx ou de Jean-Pierre Changeux. Littérature[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Caodaïsme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Temple Cao Dai au Viet Nam Le caodaïsme est une religion syncrétiste fondée en 1921 et instituée en 1925 en Cochinchine (sud du Viêt Nam actuel) par Ngô Van Chiêu, fonctionnaire vietnamien, qui disait être entré en contact, lors d'une séance de spiritisme, avec un « esprit »[1]. Cet esprit se donna d'abord pour nom « AĂÂ », les trois premières lettres de l'alphabet vietnamien, puis « Cao Dai Tien Ong » (Cao Dai signifie « Être suprême ») et ordonna à Ngô Van Chiêu de créer le caodaïsme. Historique[modifier | modifier le code] Le siège de cette religion s'est installé à Tây Ninh, puis la religion s'est scindée en plusieurs branches du fait de la volonté de la branche de Tây Ninh de s'impliquer dans la politique du pays (création d'une armée, d'un parti politique). Guides spirituels[modifier | modifier le code] Le caodaïsme possède la notion de guide spirituel, dont il puise les figures dans toutes les cultures.

You don’t have a right to believe whatever you want to Do we have the right to believe whatever we want to believe? This supposed right is often claimed as the last resort of the wilfully ignorant, the person who is cornered by evidence and mounting opinion: ‘I believe climate change is a hoax whatever anyone else says, and I have a right to believe it!’ But is there such a right? We do recognise the right to know certain things. Beliefs are factive: to believe is to take to be true. Such judgments can imply that believing is a voluntary act. If the content of a belief is judged morally wrong, it is also thought to be false. ‘Who are you to tell me what to believe?’ I do not mean to revert to the stern evidentialism of the 19th-century mathematical philosopher William K Clifford, who claimed: ‘It is wrong, always, everywhere, and for anyone, to believe anything upon insufficient evidence.’ In exploring the varieties of religious experience, James would remind us that the ‘right to believe’ can establish a climate of religious tolerance.

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