background preloader

Familles associées

Facebook Twitter

Les mystérieux collaborateurs spécialisés de Dominique Orliac | ANTICOR. La députée (PRG) élu dans le Lot, Dominique Orliac, a expliqué qu’elle utilisait 15 % de son crédit collaborateur pour recruter des « collaborateurs spécialisés » qui sont, selon ses propres mots, « des proches », à savoir son fils, sa fille ou son suppléant… Laurent Dubois, journaliste de de France 3 Occitanie, s’est plus particulièrement intéressé à l’un d’eux… Tout d’abord, le journaliste relève que Dominique Orliac a omis de mentionner, sur sa déclaration d’intérêts signée le 31 janvier 2014, la profession (pharmacien) de son fils, qui est mentionné à l’époque comme son assistant.Or, ce document doit comporter « les noms des collaborateurs parlementaires ainsi que les autres activités professionnelles déclarées par eux ».

Et le fait « d’omettre de déclarer une partie substantielle […] de ses intérêts […] est puni d’une peine de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende ». Lire aussi : Le ministre Kader Arif démissionne - Page 2. L'Assemblée a rémunéré 52 épouses, 28 fils et 32 filles de députés en 2014. Transparence : Anticor appelle au renforcement des incompatibilités. La Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) a publié ce jour les déclarations d’intérêt des parlementaires .

Si ces déclarations, pour celles qui sont déchiffrables, permettent de remarquer un népotisme relativement répandu (entre 10 et 15 % des parlementaires ont un collaborateur de même nom, selon Le Nouvel observateur [2]), et informent sur le train de vie de nos parlementaires (une vingtaine gagne plus de 100 000 €/an dans le privé en parallèle de leur mandat), les déclarations sont en elles-mêmes lacunaires, brouillonnes, bâclées et difficilement exploitables. Parmi les pistes d’améliorations, les données publiées devraient être normalisées afin, par exemple, d’éviter les mélanges de revenus brut et net, comme c’est ici le cas, et s’inscrire dans une démarche de données ouvertes (Open Data) — démarche pourtant revendiquée par le gouvernement.

Etre ministre de père en fils. Ces élus qui embauchent leur conjoint, leurs enfants, leurs ex... Les projecteurs se sont éteints, les élus se sont éloignés, les amis se font rares. Elle est restée, elle est là. Ainsi va, aussi, la politique. Claude Chirac a cessé ses activités professionnelles pour se remettre à travailler pour son père sauf qu'il ne s'agit plus de travailler, seulement d'accompagner un vieil ex-président perdu dans ses souvenirs. La fille n'a rien oublié de l'accueil qu'elle reçut quand elle se mit au service d'un homme dont beaucoup pensaient alors qu'il prolongerait ad vitam aeternam sa série de défaites à l'élection présidentielle. "Abandonné par tout le monde, sauf par ma fille et par Maurice Ulrich", remarquait-il à l'époque. L'arrivée de Claude provoqua la colère de certains fidèles: "Il n'est pas sain qu'un présidentiable soit conseillé par un parent.

" On peut dire que Chirac resta sourd à la critique: Claude effectua l'intégralité des douze années à l'Elysée. "Papa m'a dit" Un "fils de" n'est pas forcément moins compétent qu'un autre. Le communicant-journaliste de Brigitte Barèges aux frais de la collectivité - Page 3. Emploi fictif : un élu PS de Strasbourg a fait rémunérer sa compagne par le groupe Suez - Page 2. Copé rémunère sa femme via l'Assemblée nationale.