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Les méthodes

Définition de la démarche scientifique. Code mars96 février 2012 - Nouveau_code_deontologie_psychologues. Déduction et induction. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] La déduction logique se fonde sur des axiomes ou des définitions, et ne produit que des résultats tautologiques, c'est-à-dire déjà inscrits dans les prémisses, des conséquences de la loi. La valeur de ces résultats est bien entendu fonction de la rigueur avec laquelle ils ont été obtenus. En ce sens, la déduction logique ne produisant aucune nouvelle connaissance, au sens où les propositions déduites sont virtuellement contenues dans leurs axiomes, elle est par conséquent analytique ; au contraire, l'induction enrichit la conscience de nouveaux faits : elle est alors synthétique.

Historique[modifier | modifier le code] La philosophie platonicienne est volontiers déductive, passant de la loi (idéale et immanente) aux faits. Il est vite apparu (Hume puis Popper) que l'induction ne suffit pas à valider les théories scientifiques, non plus d'ailleurs que la réfutabilité proposée en remplacement. Démarches scientifiques et réflexion éthique à l'ère computationnelle. Il nous a semblé intéressant de traduire, de façon collaborative (via Framapad), l’essai original que viennent de publier danah boyd et Kate Crawford présentant « Six provocations au sujet du phénomène des Big Data ».Ces chercheuses, orientées vers l’ethnographie des usages des technologies de communication, s’interrogent – en toute connaissance de cause [cf. cette étude sur les tweets des révolutions tunisiennes et égyptiennes à laquelle a participé danah boyd]- sur les limites épistémologiques, méthodologiques, mais aussi éthiques des Big Data : champ d’études qui s’ouvre aujourd’hui sur la base des énormes jeux de données que fournit internet, en particulier celles générées par l’activité des usagers des sites de réseaux sociaux, que seuls des systèmes informatiques ont la capacité de collecter et de traiter. 6 provocations à propos des Big Data Traduction : Pierre Grosdemouge (@cultord) & Fred Pailler (@Sociographie) à l’initiative de Laurence Allard.

L’ère de Big Data a commencé. Déontologie et Ethique de la Recherche en Psychologie-Societe Francaise de Psychologie. Titre 1 : De la recherche. 1.1. La recherche comportementale procède du droit de connaissance reconnu à tout individu. Elle a pour objectif le développement d’un corps de connaissances fondamentales scientifiquement validées selon une méthodologie objectivée, exhaustivement communicable et reproductible. Elle concerne tous les aspects du comportement humain, à tous les ages de la vie aussi bien chez le foetus, que chez des individus sains ou malades, pour autant que leur étude soit éthiquement acceptable.

Elle vise à en élucider les déterminants et les mécanismes. Titre 2 : Des chercheurs. 2.1. Titulaires, ou bien d’un diplôme légal reconnaissant la compétence à conduire des études dans le domaine de recherche concerné, ou bien d’un titre équivalent conféré par une instance légalement habilitée à le faire ; exerçant, ou bien dans le cadre d’un organisme ou d’une institution ayant une mission de recherche, ou bien en fonction d’un statut professionnel conférant une mission de recherche ; Le code de déontologie des psychologues (France) La structure du code de déontologie des psychologues étant un peu complexe et parfois redondante, nous avons choisi de vous le résumer et de vous le commenter, plutôt que du vous le soumettre directement. Nous vous proposons donc un résumé en 4 ou 5 grands axes bien structurés et plus digestes, et nous commencerons directement ci-dessous par la présentation de son préambule.

Vous pouvez vous référer à la version intégrale du code de déontologie des psychologues en cliquant ici. Préambule Le code de déontologie commence par un préambule qui résume son esprit. Le code de déontologie des psychologues s'adresse à tous les psychologues, quels que soient leur champ d'activité professionnelle. Les grands axes du code.

Les obstacles épistémologiques : obstacles au savoir en pdf / Jean Pierre Astolfi. Pour une psychologie culturelle. Jerome Bruner est l'un des plus éminents noms de la psychologie contemporaine. Pionnier des sciences cognitives, il plaide cependant pour l'essor d'une psychologie culturelle qui ne se limite pas aux seuls aspects logiques de la pensée. L'être humain est alors abordé à partir de ses rêves, de ses idées, de ses projets. Sciences Humaines : Vous êtes l'un des pionniers de la psychologie cognitive et, alors que celle-ci semble dominer la psychologie contemporaine, vous prenez vos distances avec elle... Jerome Bruner : Lorsque j'ai commencé mes recherches en psychologie, le béhaviorisme régnait en maître sur la psychologie.

La méthode scientifique dominante consistait à étudier des rats dans les laboratoires pour comprendre des fonctions psychiques isolées : perception, apprentissage ou mémoire. Mais ce qui m'intéressait en tant que psychologue, ce n'était pas les rats de laboratoire, mais les êtres humains. J'ai vécu cette époque un peu comme un schizophrène. Jerome S. J.S. Psychologie expérimentale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire de la psychologie expérimentale[modifier | modifier le code] Genèse[modifier | modifier le code] Au XVIIIe siècle, certains psychologues, notamment allemands, entreprirent d'étudier la psychophysique la relation entre un stimulus physique et la sensation ressentie par le sujet.

Ces travaux permirent l'introduction de la mesure en psychologie, et furent à l'origine de la Loi de Weber-Fechner sur la discrimination entre deux stimulus[3]. Wilhelm Wundt (1832-1920) fut un des précurseurs de la psychologie expérimentale. Il chercha ainsi à montrer les rapports entre les phénoménes psychiques et substrats organiques, particulièrement dans le système nerveux et cérébral. Il est le fondateur, en 1879 du premier laboratoire de psychologie expérimentale, à Leipzig, où viendront se former de nombreux étudiants européens et nord-américains aux méthodes de la psychologie expérimentale. La psychologie sociale[modifier | modifier le code] Sc. humaines : des sciences? «La science, disait le physicien Carl Sagan, est une connaissance qui a la faculté de se perfectionner.» Cette définition, bien que laconique, insiste sur une dimension essentielle de l'activité scientifique : la confrontation des données et des modèles. Car l'observation des sciences humaines enseigne qu'il n'existe pas une seule voie royale d'accès à la connaissance mais des approches différentes.

A partir de l'exemple des études sur la mémoire, on peut montrer comment elles se construisent autour de trois piliers: les données, les théories et les méthodes (voir l'article de Jean-François Dortier p. 16). La diversité des théories et des démarches en sciences sociales donne l'apparence d'éternelles divergences entre «écoles». En dévoilant les logiques cachées qui président à la production des connaissances, on peut révéler les différences et les correspondances entre les démarches en sciences sociales.

Tel est le «devoir d'inventaire» que nous propose Jean-Michel Berthelot (voir p. 22).