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TARANTINO UN CINEASTE CINEPHILE

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SPLIT. Tarantino - Cours théorique. La recette des films de Tarantino en 8 ingrédients [PHOTOS] Posté le 14 Aout 2015 à 16h08 Le propre des génies serait-il de pouvoir se répéter à l’envie ?

La recette des films de Tarantino en 8 ingrédients [PHOTOS]

Dès son premier film il y a près de 25 ans Quentin Tarantino a imposé son style si reconnaissable. La preuve par huit. 1. Des dialogues aux petits oignons Chez Tarantino on aime causer, et pas qu’un peu. 2. La radio K-Billy, les donuts Teriyaki, l’alcool Benny’s World, la chaîne fast food Big Kahuna Burger, les cigarettes Red Apple… L’univers du réalisateur est truffé de marques inventées de toutes pièces que l’on retrouve d’un film à l’autre. 3.

Le cinéma de Quentin Tarantino ausculté en cinq scènes cultes - philippelenoir-popculture.com. Quentin Tarantino est il un grand cinéaste ?

Le cinéma de Quentin Tarantino ausculté en cinq scènes cultes - philippelenoir-popculture.com

La question est posée à chaque sortie d'un nouvel opus d'un metteur en scène dans le nom est devenu une marque. C'est en effet un dilemme pour un cinéphile, car Tarantino déjoue assez bien les tentatives d'exploration de son œuvre. 1 Tarantino's Best Visual Film References... in Three Minutes! Tarantino and the Crash Zoom effect. Tarantino, the Auteur of Cinematography. Tarantino's Cinematic Universe. Sous influence : QUENTIN TARANTINO. Tarantino Movies and Their Influences - What to Watch. 5 Movies That Influenced Quentin Tarantino’s 'Reservoir Dogs' Over two decades since its original release, Quentin Tarantino’s Reservoir Dogs is rightly hailed as a cult classic.

5 Movies That Influenced Quentin Tarantino’s 'Reservoir Dogs'

So much so that Empire magazine named it the ‘Greatest Independent Film of all Time’. As with all of Tarantino’s work there were a great number of films and books that influenced Reservoir Dogs. Let’s explore a few of them. Great artists steal; they don’t do homages. Quentin Tarantino, un prodige du cinéma sous influence. A l'instar de Martin Scorsese avec qui il partage le débit mitraillette, Quentin Tarantino est un cinéaste cinéphile et cinéphage.

Quentin Tarantino, un prodige du cinéma sous influence

Sa culture dépasse tous les clivages généralement admis et il peut citer, dans un même élan, Le contrat, de John Irvin, Vivre libre, de Jean Renoir, et Lady Snowblood, de Toshiya Fujita. Toutefois, Rio Bravo, de Howard Hawks, reste pour Tarantino le film fondateur, a priori indépassable. Lors d'une présentation du western au Festival de Cannes 2007, il expliquait: "C'est ma grand-mère qui me l'a fait découvrir enfant. Jean-Pierre Melville par Thierry Jousse - Blow Up - ARTE. LE DECOUPAGE. Comment Quentin Tarantino plie l’espace à son récit. Quentin Tarantino, en fervent défenseur de la culture pop et alternative, traite souvent les images de ses films comme des cases de bande dessinée : Jackie Brown s’ouvre avec un plan d’insert sur un T-shirt représentant une page de comics.

Comment Quentin Tarantino plie l’espace à son récit

Il aime aussi filmer des décors vides pendant plusieurs secondes, avant que son sujet n’entre dans le cadre et poursuive le monologue qu’il avait entamé hors cadre, ce que l’on retrouve avec M. Orange dans Reservoir Dogs lorsqu’il répète son numéro de flic infiltré mais également dans Once Upon a Time… in Hollywood lorsque Cliff Booth rejoint son chien Brandy dans sa caravane après une dure journée aux côtés de Rick Dalton. Le mouvement présent s’intègre progressivement au cadre spatial composé d’éléments passés. Mais le rapport à l’espace, chez le cinéaste, ne se limite pas à un certain découpage en plans et en séquences.

Comment Quentin Tarantino se joue des contraintes temporelles. Avec son amour invétéré pour les productions populaires, parfois à très petit budget, il s’est constitué une véritable encyclopédie de références tant techniques que scénaristiques, pour créer des œuvres désormais adoubées : Quentin Tarantino est la preuve vivante que les nerds d’hier sont peut-être les intellectuels d’aujourd’hui.

Comment Quentin Tarantino se joue des contraintes temporelles

Mais la filmographie de Tarantino ne se limite pas à un jeu autour des genres et des références. Dans chacun de ses films, il crée un rapport tout particulier à deux grandes notions traitées dans le diptyque Cinéma de Gilles Deleuze : le temps et l’espace. Nous parlerons ici de son rapport au temps, avant d’aborder dans un autre article la façon dont il envisage l’espace. Les flashbacks et la caractérisation des personnages. Table ronde : Quentin Tarantino, cinéaste orgiaque. Table ronde : Quentin Tarantino, cinéaste orgiaque Avec : Emmanuel Burdeau Critique de cinéma et auteur.

Table ronde : Quentin Tarantino, cinéaste orgiaque

La vengeance dans le cinéma de Quentin Tarantino. A partir du film Django Unchained de Quentin Tarantino .

La vengeance dans le cinéma de Quentin Tarantino

Avec Tobie NATHAN , Mathieu POTTE-BONNEVILLE et Emmanuel LINCOT . Tobie Nathan : « Je suis agacé par la transformation des victimes en héros. On éprouve de la compassion pour leur souffrance, mais quand sont-ils devenus des héros ? C’est un phénomène de société. Director case study - Quentin Tarantino. Quentin Tarantino, cinéphage de raison ? - Dossier Film. Lorsque l’on évoque le cinéma de Tarantino, on ne peut s’empêcher de tomber dans les éternels clichés du grand gosse, clairement immature, ne fonctionnant qu’au recyclage consciencieux de sa cinéphilie déviante.

Quentin Tarantino, cinéphage de raison ? - Dossier Film

Mais soyons sérieux quelques instants, comment un nerd irresponsable aurait-il pu accoucher d’œuvres aussi maîtrisées que Pulp Fiction ou Jackie Brown ? L’attitude du fanboy chez Tarantino est un point de départ, mais non une fin en soi. Le bonhomme connaît ses « classiques », les digère et les plie à des exigences de mise en scène et d’écriture dont les qualités sont difficiles à nier à moins de faire preuve d’une mauvaise foi évidente. Ce qui gêne effectivement souvent les détracteurs du réalisateur, c’est l’aspect totalement décomplexé avec lequel il aborde le 7ème art. Tout est permis, même le plus inacceptable au sein de l’orthodoxie critique. Ce travail ne serait pas si respectable si le monsieur ne possédait pas un sens du dialogue et du rythme hors du commun.

Philosopher avec Quentin Tarantino (1/4) : Les clichés de l'identité "Reservoir dogs" et "Pulp Fiction" La réception très passionnée de son cinéma invite à se poser la question : critiquer Quentin Tarantino est-il raisonnable ?

Philosopher avec Quentin Tarantino (1/4) : Les clichés de l'identité "Reservoir dogs" et "Pulp Fiction"

La qualité de ses films ne peut suffire à expliquer à elle seule les réactions diverses, contradictoires et polémiques. Le traitement de faveur tout comme la dépréciation systématique du cinéma de Tarantino méritent ainsi d'être réinterrogés. Ses films apparaissent cependant indissociables de la construction personnelle de sa figure publique, de ses discours médiatiques, de son activité cinéphilique, autant d'éléments qui contaminent toujours l'interprétation de ses films et participent à l'explication du «phénomène Tarantino».

Le cinéma de Quentin Tarantino, ou l'esthétique de la violence — Nos Pensées. Quentin Tarantino fait partie de ces réalisateurs qui ont réussi à créer leur propre style, à fonder le sceau de leur identité personnelle. Lorsque l’on regarde un de ses films, on sait parfaitement ce qu’on va y trouver : violence, musique, acteurs fétiches, premiers plans sur des pieds de femme, hommages abondants, etc. Tout un mélange d’aspects qu’apprécie le réalisateur, entre hommages à des cinéastes de taille comme Alfred Hitchcock et films de Kung Fu, de série B ou encore Spaghetti Western. Tarantino fait ce qu’il veut : il met en scène des caméos, il joue avec la couleur, il recycle des plans, il réinvente des scènes… Beaucoup pourraient l’accuser de plagiat, mais peut-on vraiment parler de plagiat lorsque les références sont totalement reconnues et assumées et que l’intention de l’auteur est, précisément, celle de reprendre une scène d’un autre film pour la placer dans un autre contexte, construisant alors quelque chose de complètement différent ?

Quentin Tarantino On "The Black Suits Of Armor" In His Films. Quentin Tarantino - Retour sur le style d'un bad boy surdoué - CinéCinéphile. Quentin Tarantino fait partie des réalisateurs les plus adulés de ces dernières années. Jouissant d’une notoriété incroyable autant auprès du grand public que de la presse spécialisée, son œuvre fascine autant qu’elle fait jubiler. Son succès démesuré ne s’est pourtant pas imposé sans controverses. Fait assez rare pour un réalisateur aussi influent et populaire, ses films attirent paradoxalement tout autant leur part de détracteurs.

Beaucoup lui reprochent en effet son goût démesuré et « irresponsable » pour la violence graphique, la vacuité souvent volontaire de ses dialogues ou même son amour immodéré pour le pastiche. Force est de constater que ces « défauts » constituent à coup sûr sa signature. Quentin Tarantino conseille 10 films à voir avant “Once Upon a Time... In Hollywood” Alors que son nouveau long métrage tant attendu débarque le 14 août, le cinéaste nous livre déjà quelques détails sur sa création au travers de dix films qui l'ont inspiré. Avant sa sortie le 14 août, il vous sera possible de vous préparer psychologiquement à la découverte du très attendu Once Upon a Time...

In Hollywood, le dernier film de Quentin Tarantino. Plus que jamais, le réalisateur à la cinéphilie encyclopédique s'est empressé d'évoquer certaines inspirations, d'autant plus que son dernier-né met en abyme le monde du septième art, au travers du Hollywood fantasmatique de 1969. Voilà ainsi dix classiques à revisiter, et qui seront tous disponibles sur OCS en août, dans le cadre de la carte blanche offerte à Tarantino. 1 • Bob et Carole et Ted et Alice (Paul Mazursky, 1969) Avec 4 nominations aux Oscars, la comédie de Paul Mazursky a été un succès étonnant, surtout au vu de sa vision assez osée du couple et de ses doutes.

Interview de Quentin Tarantino par Augustin Trapenard. Quentin Tarantino : des films en synthèse de l'image ! D'où lui vient cette passion pour le cinéma de genre, ses influences majeures, son style, ses obsessions ? On reviendra sur certains de ses plus grands succès et sur les polémiques qu'ils ont générées ? Et on se demandera si le réalisateur, Quentin Tarantino, s'est assagi…? Quentin Tarantino, c’est l’histoire d’un fan de cinéma de genre qui a fini par réaliser des films qui ont eu plus de reconnaissance que les œuvres qui les ont inspirés ! Imitateur éhonté pour certains, génie qui se cache derrière sa cinéphilie pour d’autres, Quentin Tarantino n’a jamais laissé personne indifférent ! Il en va de même pour la violence de ses films, gratuite pour certains, graphique et cathartique pour d’autres.

30 influences de Tarantino. Rio Bravo de Howard Hawks (1959) « Quand j’accroche avec une fille, je lui montre Rio Bravo et elle a intérêt d’aimer ! ». C’est par cette formule que Tarantino a l’habitude de présenter le mythique western d’Howard Hawks qui figure comme son film préféré. L’esprit de franche camaraderie qui règne entre John Wayne, Dean Martin, Walter Brennan et Ricky Nelson déteindra sur les personnages des premiers scénarios de Tarantino.

Tous sympathiques donc tous humains. L’Ultime razzia de Stanley Kubrick (1956)