background preloader

Société

Facebook Twitter

« Un monde sans lendemain » : l’exploitation de la planète en animation. L'homme- film animation. Je consomme donc je suis - Vivez, prospérez, consommez ! Parution [print & web] : Perpignan, une ville avant le Front national ? Jérôme Fourquet, Nicolas Lebourg et Sylvain Manternach, Perpignan, une ville avant le Front national ? , Fondation Jean Jaurès, Paris, 2014, 134 p. Perpignan est la seule ville de plus de 100000 habitants où le Front national est arrivé en tête au premier tour des élections municipales de 2014.

Pourquoi celui-ci n’a-t-il pas gagné au second ? A partir d’un décryptage de la campagne et du scrutin, les auteurs de cet essai explicitent la tentation frontiste des Perpignanais. Paupérisation et antagonismes ethniques jouent un rôle, tout comme la crédibilisation de l’offre politique frontiste. Vous pouvez téléchargement gratuitement le pdf ou commander l’ouvrage ici.

Sommaire Lignes de front …………………………………………………………… 5 Propos sur la méthode ……………………………………………….. 19 Vote frontiste et population originaire des mondes arabo-musulmans ……………………………………. 33 Une ville du Sud ? Les auteurs Jérôme Fourquet travaille depuis dix-huit ans dans le secteur des sondages d’opinion et des études électorales. Jeunecitoyen. Avant de débuter l’article, Je souhaitais vous raconter une petite histoire dont je suis un peu honteux. Il m’arrive souvent de faire des courses avec ma copine et il nous est parfois arrivé – si d’aventure des pièces traînaient – d’en profiter pour donner à celui qui est dans le besoin ( Je ne préfère pas utiliser le terme "mendiant"). Je me rappelle qu’une fois, ayant fini d’effectuer nos courses, n’ayant aucune pièce sur moi et sachant que je devais passer devant un SDF – que j’avais déjà eu à croiser et qui allait toujours plus mal, du moins à vue d’œil – j’ai eu une attitude très peu cavalière et j’ai préféré prendre l’autre sortie du magasin de peur d’affronter son regard.

La culpabilité sans doute : Moi passant avec des courses, « socialisé », et lui dans le froid, terriblement seul, dans une indigence extrême etc. Je ne le croise plus. Ma réaction fut donc stupide car quand j’y pense, qu’est ce que cela aurait changé ? Mais faut-il changer pour changer ? Merci encore. Like this:

Fragments sur les temps présents

Cultiver son jardin intérieur. Entretien avec Olivier Berruyer : La fin d'un monde.