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Alternatives économiques

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Figeac. Une monnaie lotoise pleine de bon sens - Lot. Toulouse a son sol violette, le Lot veut aussi sa monnaie locale complémentaire. Si la réflexion est bien engagée à Figeac, d'autres Lotois, à Gramat, à Gourdon et au sud de Cahors, manifestent aussi leur intérêt pour cette démarche éthique qui pourrait fédérer tout un département. «Avant de lancer quoi que ce soit, il faut continuer de convaincre et de raccrocher d'autres personnes à cette initiative», prévient Odile Cazes, du Collectif pour la mise en route d'une monnaie locale complémentaire.

C'est ainsi que ce mardi 19 février, à 20 heures, une conférence gratuite sur l'expérience de La Bogue en Ardèche, permettra à chacun d'y voir un peu plus clair. D'ores et déjà Odile Cazes et Jean-Luc Morestin, du Collectif, en parlent. Pourquoi ce projet d'une monnaie locale complémentaire dans le Lot ? Suite à différentes réunions et projections proposées par le foyer rural du Bourg, l'idée d'un autre rapport à la monnaie et à son rôle a fait son chemin. Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits - Innovation. Monter dans un bus sans composter un ticket, et sans risquer de passer pour fraudeur, tel est le quotidien des Aubagnais. Depuis trois ans, l’agglomération du Pays d’Aubagne – 104 000 habitants – en périphérie de Marseille, a fait le choix de la gratuité totale dans les transports en commun. Cette gratuité était auparavant réservée aux demandeurs d’emplois, aux allocataires du RMI et aux personnes âgées et handicapées.

S’inspirant de l’esprit du « droit au transport pour tous » énoncé par la loi d’orientation des transports intérieurs votés par la gauche en 1982, le maire communiste d’Aubagne, Daniel Fontaine, et son équipe proposent cette mesure à leurs administrés lors des élections municipales de 2008. Réélue, la municipalité entame alors un bras de fer avec la société des Autobus Aubagnais, propriété du groupe Veolia, qui exploite le réseau depuis 2007 dans le cadre d’une délégation de service public. A qui profite la gratuité ? Qui finance les transports gratuits ? Anthony Laurent. Etienne Chouard "Pas d'écologie sans démocratie" (14 février 2012) Etienne Chouard sur la dette publique et le projet de Constituante (23 février 2012) Etienne Chouard "Pas d'écologie sans démocratie" (14 février 2012) Étienne Chouard - Sommes-nous en démocratie ? La sortie de l'euro soutenue par deux Nobels, mais ignorée des médias.

Rechercher producteurs locaux - Trouver producteur local de ma région - Locavore.

S.E.L.

La decroissance - a trier. Pour en finir avec la compétitivité (rapport Attac/Copernic) Espagne • Des coopératives pour affronter la crise. Le complexe sportif Manuel Santos García, situé dans la localité sévillane de Gerena, est un vivier d’activités. Il y a des cours de natation et de gym aquatique à la piscine climatisée, des cours de basket, de foot en salle, de danse et de patinage. Et ce n’est pas la municipalité qu’il faut féliciter pour cette initiative – elle a la corde au cou, comme partout ailleurs –, mais la persévérance de quatre habitants qui ont décidé de faire tout leur possible pour profiter au maximum de ce centre, construit grâce aux fonds du Plan espagnol de relance pour l’économie et l’emploi. Après une inauguration en grande pompe en 2008, les infrastructures, faute de budget, ont été très peu utilisées jusqu’au début de l’année 2011. La mairie étant incapable de tirer profit du complexe, les quatre citoyens ont décidé de prendre les choses en main.

Une maison de retraite sur mesure Moins de risques, plus de social Les coopératives bénéficient de quelques avantages fiscaux. Elles se serrent la ceinture. Espagne : des alternatives citoyennes pour faire face à la crise économique | Rue89 Planète. Depuis le début de la crise socio-économique, la classe politique espagnole n’a pas pris de mesure en faveur de la croissance et la création d’emplois. Elle applique, au contraire, de nombreuses coupes budgétaires mettant en danger des secteurs entiers de la société ainsi que les droits sociaux des citoyens. Cette dynamique aggrave la situation des pays qui sont au bord de la faillite. Face à cette situation, les citoyens réalisent que c’est à eux de prendre en main leur avenir et en Espagne des mouvements et des phénomènes encourageants continuent à apparaître. Nombreux sont ceux qui misent sur l’élaboration d’alternatives viables que ce soit par le biais de l’épargne ou de la création d’un système durable.

Partager pour faire des économies Une des conséquences de la crise est l’augmentation de la pauvreté de la classe moyenne et la détérioration des conditions de vie des secteurs les plus vulnérables comme le signale un rapport récent de l’ONU concernant le cas espagnol. « Zone de gratuité », ou comment les objets deviennent « sans propriétaire fixe » - Véritable libre-échange. Et si on changeait notre rapport à la propriété et à la consommation ? Un peu partout en France émergent des « zones de gratuité », des espaces où les rapports marchands sont abolis, de manière temporaire ou permanente. Ici les objets circulent et les gens se parlent, en réapprenant que l’échange ne passe pas forcément par l’argent. Petit reportage à Montreuil (Seine-Saint-Denis). « Tout est vraiment gratuit ?

Ce projet est né il y a quelques années. « Lors d’un repas de quartier, nous avons lancé l’idée avec des copains, les voisins de la rue, explique Vito, l’un des organisateurs. Un pied-de-nez à la société de consommation Andres est venu d’une rue voisine, avec sa famille. Tout l’après-midi, les tables se vident et se regarnissent. Donner et récupérer à la place d’acheter et jeter Ni troc, ni obligation de réciprocité, ni charité, la zone de gratuité est un moyen utile de réduire le volume de déchets et de recycler les objets.

Agnès Rousseaux @AgnesRousseaux sur twitter Dans le Morbihan.