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Chapitre 5 : les parties prenantes et les contrepouvoirs

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Définition de la gouvernance. Le pouvoir en entreprise 14 638. Entreprises : la gouvernance hybride. On oppose généralement deux modèles de gouvernement d'entreprise: d'un côté, le modèle de type shareholder, caractéristique du capitalisme anglo-saxon, donne la primauté aux actionnaires et à l'objectif de création "valeur actionnariale"; de l'autre, le modèle dit stakeholder, dans lequel les dirigeants cherchent à concilier les intérêts des différentes parties prenantes de l'entreprise (actionnaires, banques, salariés, clients).

Entreprises : la gouvernance hybride

Le capitalisme rhénan, qui ménage le dialogue social dans l'entreprise (cogestion), en constitue un exemple typique. Pour certains, le modèle anglo-saxon serait en train de s'imposer inexorablement. La réalité semble plus complexe. On assiste plutôt à un processus de convergence des deux modèles canoniques vers un modèle hybride. Crozier. Cyert et March. Théories de la décision : Socio-économie. En opposition avec les théories traditionnelles de l’économie qui postulent une rationalité parfaite et irréaliste, les théoriciens de la décision ont voulu introduire de la psychologie dans les modèles de décision des organisations.

Théories de la décision : Socio-économie

Ce courant est par essence pluridisciplinaire et en fort développement (prix Nobel, programmes CNRS) Les décisions dans un contexte de rationalité limitée Herbert Simon est un génie américain. Son ouvrage fondateur a été adapté de sa thèse et publié en 1945, Administration et processus de décision. Théorie de l'acteur stratégique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Théorie de l'acteur stratégique

Elle part du constat suivant : étant donné qu'on ne peut considérer que le jeu des acteurs soit déterminé par la cohérence du système dans lequel ils s'insèrent, ou par les contraintes environnementales, on doit chercher en priorité à comprendre comment se construisent les actions collectives à partir de comportements et d'intérêts individuels parfois contradictoires. Au lieu de relier la structure organisationnelle à un ensemble de facteurs externes, cette théorie essaie donc de l'appréhender comme une élaboration humaine, un système d’action concret. Elle rejoint donc les démarches qui analysent les causes en partant de l'individu pour aboutir à la structure (l'individualisme méthodologique) et non de la structure à l'individu (structuralisme).

Théorie des parties prenantes. La théorie des parties prenantes (TPP ou SHT) fait l’objet d’une attention croissante depuis la publication de l’ouvrage fondateur de Freeman en 1984.

Théorie des parties prenantes

Le concept de parties prenantes, selon Freeman (1984, p.31), a été employé pour la première fois en 1963 lors d’une communication au sein du Stanford Research Institute. Mais le véritable ouvrage fondateur de cette théorie fut le « strategic management : a stakeholder approach » de Freeman en 1984. 1. Le concept de partie prenante ou SH Le terme Stakeholder (SH) peut se traduire « partie prenante » (PP) mais aussi « partie intéressée » voire « ayant droit ». Les parties prenantes. Les parties prenantes, Qui sont-elles?

Les parties prenantes

La Responsabilté Socitétale de l’Entreprise implique la prise en compte de toutes les parties prenantes dans sa politique. Il existe deux types de parties prenantes, internes et externes. Partie prenante. Pour les articles homonymes, voir Partie.

Partie prenante

Une partie prenante (en anglais : stakeholder) est un acteur, individuel ou collectif (groupe ou organisation), activement ou passivement concerné par une décision ou un projet ; c'est-à-dire dont les intérêts peuvent être affectés positivement ou négativement à la suite de son exécution (ou de sa non-exécution). La notion de partie prenante est centrale dans les questions de responsabilité sociétale, de démocratie participative et de transformation écologique et sociale ainsi que dans certaines normes (écocertification...). On retrouve également cette notion dans les démarches d'architecture d'entreprise. L'identification des parties prenantes et le dialogue avec celles-ci font l'objet de la cinquième partie de la norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des organisations, parue en 2010.