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Stef10

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Europe : la fin du modèle économique. Toute la vérité sur... le moustique. Santé La chaleur battant son plein, ils s’agglutinent à nos pores comme les rivaux du maillot jaune à la roue de Froome. Mais connaissez-vous vraiment les moustiques ? Vrai ou faux. Voilà une légende urbaine très vivace : le moustique, du genre accro à Qui sera le plus grand pâtissier, serait plus prompt à s’attaquer aux sangs sucrés… Que les hyperglycémiques cessent d’avoir les genoux qui claquent : c’est de la pure fantaisie.

La glycémie ne fait pas partie des facteurs chimiques qui attirent le moustique. Au contraire, une étude asiatique a même affirmé qu’un excès de cétones (sucres et acides fruités dégagés dans la sueur) avait plus de chances d’éloigner le nuisible que de faire de vous un macaron géant à ses yeux. Les femelles moustiques, qui sont les seules à nous infliger leur gratouillant châtiment, ne procèdent que par instinct… maternel. Même si le moustique pique pour de nobles raisons, la manière n’est pas des plus classieuses. A.Ca. Revenu de vie. Le ligueur des parents : Mes droits. L’argent d’un proche sous administration provisoire.

« Tuez-vous, mais sans bruit ! », hurle la mère excédée par les disputes incessantes de ses deux gamins. C’est peu, deux ans et quelques mois de différence, et cet écart (un juste écart !) Aiguise les rivalités. C’est que le droit d’aînesse, de nos jours, a disparu et chacun, chacune se sent l’égal de l’autre. On dit que les choses s’arrondissent avec l’adolescence… mais des sœurs, des frères restent encore ennemis longtemps, parfois même toute une vie. Les managers se comportent-ils vraiment plus efficacement que des rats ? Lorsqu'ils sont face à la prise de décision dans le cadre managérial, les managers se comportent-ils vraiment plus efficacement que des rats ? Laisser vous conter la fable du rat et du manager. Si l’on demandait aux gestionnaires d’entreprise d’expliquer comment ils prennent leurs décisions on pourrait sans doute s’attendre à ce que qu’ils justifient leurs actions en citant des qualités comme une bonne compréhension des affaires et un talent d’analyse bien développé.

Pourtant, la gestion n’est pas une science exacte. La superstition peut également y trouver sa place et ce sont des rats de laboratoire qui nous montrent comment cela est possible. Le monde de l’entreprise devient de plus en plus complexe, rendant ainsi quasiment impossible la prise de décisions managériales pertinentes uniquement sur la base d’informations sûres, même alliées d’une bonne dose d’expérience. Revenons à nos rongeurs de laboratoire. Que ce constat nous dit-il sur le monde de l’entreprise et ses managers ? Pouvoir et internet. Le spécialiste de la sécurité informatique, Bruce Schneier (@Bruce_Schneier), vient de livrer sur son blog un texte très pertinent sur comment l’internet transforme les rapports de pouvoir. Il y explique que la technologie amplifie la puissance non seulement des internautes, mais aussi – et de plus en plus – des pouvoirs en place. « Toutes les technologies de rupture bouleversent les équilibres de pouvoir traditionnels, et l’Internet ne fait pas exception.

Le scénario classique est qu’il donne du pouvoir aux moins puissants, mais ce n’est que la moitié de l’histoire. L’internet donne de la puissance à tous. Image : Bruce Schneier sur la scène de Etech 2007, l’année où il reçut l’Electronic Frontier Foundation Awards photographié par Scott Beale de laughingsquid. « La réalité s’est avérée être beaucoup plus compliquée. . « Les débats sur l’avenir de l’internet sont moralement et politiquement complexes.

Non. Le nationalisme internet Internet est un Etat policier Image : Big Brother ? La technologie est-elle toujours la solution ? (1/2) : le biais de l’internet-centrisme. Par Hubert Guillaud le 27/03/13 | 2 commentaires | 3,375 lectures | Impression De 2005 à 2007, le chercheur et éditorialiste, spécialiste de politique étrangère d’origine Bielarusse, Evgeny Morozov (@evgenymorozov), pensait que la technologie numérique était peut-être un moyen pour nous débarrasser des régimes autocratiques. Sa déception a été racontée dans un livre, The Net Delusion, où il s’en prenait à l’utopie du projet internet. Dans son nouveau livre Pour tout sauver, cliquez-là, le chercheur iconoclaste élargit sa critique pour comprendre les schémas de pensée à l’oeuvre derrière la révolution numérique. Internet-centrisme : appliquer au monde les solutions de l’internet Pour cela, il définit deux concepts.

Morozov nous invite toutefois à réfléchir plus profondément sur la façon dont les internets de 1993, 2003 ou 2013 pourraient être une même continuité. Et Morozov de renvoyer dos à dos les grands gourous de l’internet, comme Clay Shirky ou Yochaï Benkler. Le risque du numérisme. La technologie est-elle toujours la solution ? (2/2) : le risque du solutionnisme. Dans une récente tribune pour le New York Times, l’essayiste et chercheur Evgeny Morozov (@evgenymorozov) expliquait assez clairement ce qu’il définit comme le « solutionnisme », qui est le second concept au coeur de la critique du livre qu’il vient de publier Pour tout sauver, cliquez-là. L’actualité apporte chaque jour son lot de nouveaux services en ligne, tous plus indispensables les uns que les autres, comme LivesOn, le service qui vous propose une vie sociale après la mort, en vous permettant de continuer à twitter après votre mort, grâce à l’analyse des tweets que vous avez publiés jusque-là, via un algorithme capable de prolonger vos goûts et votre syntaxe en les greffant à l’actualité.

Ce service (qui semble être une parodie) « met en évidence l’idéologie dominante de la Silicon Valley aujourd’hui » estime Morozov : « ce qui doit pouvoir être perturbé doit l’être, même la mort ». La technologie veut tout transformer, tout socialiser Même l’ennui pourrait bien disparaître demain. Qu’est-ce que la technologie essaie de nous dire. La lecture de la semaine est un très beau texte publié dans The Atlantic par mon nouveau héros Alexis Madrigal. Il s’intitule “quand les journaux étaient nouveaux ou comment les Londoniens parlèrent de la peste”. “Certains disent que la peste a été d’apportée d’Italie, d’autres du Levant, parmi d’autres choses importées chez nous par la flotte turque ; d’autres encore disent qu’elle vient de Chypre”, écrit Daniel Defoe en ouverture de son récit historique Journal de l’année de la Peste (1722).

Le livre, que beaucoup ont lu comme un roman, portait un sous-titre évocateur pour nous, écrit Alexis Madrigal : “observations et souvenir des faits les plus remarquables, aussi bien publics que privés qui se sont déroulés à Londres en 1665″. Un texte présenté comme l’œuvre d’un citoyen “demeuré pendant ce temps à Londres” et révélant une intrigue, “jamais rendue publique jusqu’ici”. Image : Une histoire de la peste et du feu, estampe provenant de la bibliothèque du collège d’Harvard.

Les relations humaines sont fragiles et nécessitent des efforts pour être préservées. La lecture de la semaine est un élément dans la discussion qui a eu lieu ces dernières semaines dans la presse américaine au sujet de la politesse dans les réseaux. C’est un papier publié sur le site de Wired par Evan Selinger (@EvanSelinger), qui enseigne au département de philosophie du Rochester Institute of Technology.

Il s’intitule « comment nous transformons les natifs numériques en sociopathes de l’étiquette ». Evan Selinger réagit à un article publié il y a quelques semaines dans le New York Times par Nick Bilton. Dans son article, qui a suscité pas mal de discussions sur les réseaux américains, Bilton expliquait qu’il fallait en finir avec la trop grande politesse dans nos échanges numériques, il dénonçait le temps perdu à recevoir et envoyer des messages disant simplement « merci », qu’il fallait aller au plus vite, ne pas saturer les répondeurs de messages inutiles, utiliser les voies les plus concises, les plus rapides, les plus efficaces.

Xavier de la Porte. Pouvons-nous comprendre “la sagesse des foules” si nous ne savons pas comment fonctionnent les comportements collectifs. Le rôle fondamental des meutes, des essaims, des foules, est, depuis ses débuts, le paradigme (certains diraient le mythe) fondateur de l’internet. Aussi n’est-il pas étonnant que les articles sur les intelligences collectives décentralisées se renouvellent souvent dans mon (bientôt défunt) Google Reader. Mais tout de même, certaines semaines sont plus riches que d’autres. Ces derniers jours, on a vu paraître un texte très complet d’Ed Yong sur la science de ces systèmes dans Wired ; et l’ébauche – peut-être ? – d’une première application pratique. L’article de Wired a pour titre, en toute modestie, « Comment les essaims vont nous aider à combattre le cancer et prédire le futur ». Nous ne comprenons toujours pas très bien comment fonctionnent les essaims Toutefois, l’article de Wired se focalise sur des travaux moins connus, comme ceux de Iain Couzin, qui étudie le comportement animal collectif à l’université de Princeton.

Les mécanismes diffèrent selon les espèces. Rémi Sussan. Les souvenirs numériques ne sont pas comme les souvenirs analogiques. La lecture de la semaine est un article du quotidien britannique The Guardian, qui a réalisé ces derniers jours une série de papiers autour du droit à l’oubli. Celui-ci a été écrit par Kate Connolly, et il rend compte des arguments de Viktor Mayer-Schönberger, un des plus fervents partisans de ce droit à l’oubli. Viktor Mayer-Schönberger enseigne la gouvernance d’Internet à l’Oxford Internet Institute et pour lui, le droit à l’oubli n’est seulement une question légale, morale et technique, mais il touche à l’essence même de l’être humain. « Pendant ces 20 dernières années, explique Mayer-Schönberger, plus j’ai travaillé sur la protection des données, plus j’ai compris qu’en son cœur, ce qui importe autant que les questions de vie privée, c’est la manière dont l’être humain prend des décisions.

Les êtres humains ont besoin de prendre des décisions au sujet du présent et de l’avenir. Image : Viktor Mayer-Schönberger photographié par Joi Ito. Xavier de la Porte.

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