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Ponziland

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La mort de l’économie et du travail. En fait, j’aurais dû voir venir le truc. Dans les années 1980, les prolos ont été violemment déclassés. Nos parents nous ont recommandé de bien faire des études pour ne pas finir comme eux. « Il faut bien travailler à l’école pour avoir un bon métier plus tard. » Ensuite, à partir des années 1990, ce sont les petits fonctionnaires et les salariés pas très éduqués qui ont été basculés dans des structures privées, où ils étaient corvéables à merci, désormais au service des actionnaires et relevant des managers, très vaguement protégés par le droit du travail.

Le début du 21e siècle a vu ma génération, même les plus éduqués, basculer à leur tour dans la précarité. Anne et Marine Rambach ont très bien décrit ces « Banlieues de l’intelligentsia » dans Les intellos précaires, il y a déjà plus de dix ans. Education bubble J’avais parlé il y a quelques temps de la bulle spéculative liée à l’enseignement dans les pays anglo-saxons. Mais nous ne sommes pas les derniers. Lights out factories. Plus loin dans Ponzi. We All Work at Enron Now - Umair Haque. Remember Enron? That paragon of turn-of-the-century new-economy triumphalism, gushed over by pundits, lauded by investors, celebrated by the cognoscenti — until it turned out to be a roadside bomb in disguise?

The cause of its demise, ultimately: overstating benefits and understating costs. The result, of course, was a spectacular flameout, today the stuff of legend. So here’s a question. Is the global economy going Enron? You might say, “Well, if it does I can see how it’s unfair, but so is life, you big girl’s blouse. The Enron effect is highly hazardous because it lethally poisons incentives. Let’s take a moment and imagine what might happen in an economy that consistently, chronically undercounted real costs and overcounted real benefits, poisoning the incentives for the creation of authentic, enduring wealth. Innovation atrophy. Here’s Enronia’s really big problem. That sounds less and less like some Twilight Zone counterfactual and more and more like our own Great Stagnation.

Ponzi Planet: The Danger Debt Poses to the Western World - SPIEGEL ONLINE - News - International. When Carlo Ponzi, a dishwasher from Parma, Italy, immigrated to the United States in 1903, he had $2.50 in his pocket and a million-dollar dream in his head. He was able to fulfill that dream, at least temporarily. Ponzi promised people that he would multiply their money in a miraculous way: by 50 percent in six weeks. With his carefully parted hair and charming accent, Ponzi beguiled investors and fueled their avarice. The first investors raked in fantastic returns. What they didn't know was that Ponzi was simply using the next investors' money to pay them their profits. The scheme continued. Economists use the term "Ponzi scheme" to describe a disastrous mechanism in which someone pays off old debt by constantly taking on new debt.

It's the classic pyramid, or snowball scheme, practiced by thousands of con artists after Ponzi. Western economies have not acted much differently than the fraudster Madoff. Bigger Snowballs Living on Credit This is even true of seemingly rock-solid Germany. L’escroquerie de la dette. Patenting the Ponzi: the extraordinary growth of Ponzi schemes. “Two world poker champions and other leaders of one of the largest internet card gaming sites turned the company into a massive Ponzi scheme, wrongly taking out more than $440m from player accounts, US officials alleged on Tuesday.”

Office of Charles Ponzi & Sons: “Mr Ponzi, have you seen what the US Justice Department is saying about this poker website?” (Sighs) “Don’t tell me, Massimo: they say it’s a Ponzi scheme?” “You’ve got it in one, Mr Ponzi.” “This is outrageous! Call my lawyer! Who do these bastards think they are? “I don’t think Full Tilt Poker are planning to infringe on the trademark.” “I’m not worried about Full Tilt Poker. “Well, the US Justice Department says that some of the company directors paid themselves handsomely while they were struggling to take in money from new players.”

“Why were they struggling to take in money?” “Because the US government was trying to make online poker and all related transactions illegal.” “Oh well. “I know this, Mr Ponzi.” “You know this. “Who?” Pension schemes: The half-a-trillion hole.

Esclavage moderne

La sécurité sociale américaine, un schéma de Ponzi? Rick Perry, le gouverneur du Texas et espoir républicain pour la présidentielle américaine de 2012, a essuyé récemment des critiques pour avoir décrit la Sécurité sociale comme une « chaîne de Ponzi », lors du débat télévisé des primaires présidentielles de la semaine dernière (un argument qu’il a défendu dans les colonnes de USA Today).

Cette comparaison est-elle exagérée? Par Michael D. Tanner, depuis les États-UnisArticle publié en collaboration avec le Cato Institute Le gouverneur du Texas Rick Perry est critiqué pour avoir qualifié la Sécurité Sociale de « Schéma de Ponzi ». Même Mitt Romney, selon certaines informations, se prépare à l’attaquer pour avoir défendu une position aussi radicale.

Mais si on doit lui reprocher une chose, c’est d’avoir été trop gentil. Le schéma de Ponzi original est une création de Charles Ponzi. La Sécurité Sociale, d’un autre côté, force les gens à y investir à travers une taxe obligatoire. Au final, la pyramide s’écroule. Rick Perry a tout compris. Social Security: A monstrous truth. We Are All Ponzi Schemers Now. I know I should ignore this. Ignore, ignore, ignore. You can do it, Kevin! But no. I'm hopeless. Here is Reason's Shikha Dalmia on why Social Security isn't a Ponzi scheme, it's worse than a Ponzi scheme: A Ponzi scheme collects money from new investors and uses it to pay previous investors—minus a fee. Forget the business about the surplus. No, the real problem with Dalmia's description is the notion that Social Security collects money from new investors and uses it to pay off previous investors.

But that's always been a lie. This is, of course, the way every government program works. Now, morally speaking, we certainly have an obligation to keep Social Security running. Highway system back in the 50s. Social Security is nothing special. 1Of course, Rick Perry might very well think that the entire federal government is a monstrous lie. WikiLeaks éclate une bulle de schiste. L'économie des gaz de schiste est une bulle. Les Etats-Unis avaient été prévenus, dès 2009, comme le révèlent des télégrammes diplomatiques d'un consulat américain en Arabie Saoudite. Dès septembre 2009, l’ancien vice-président de la société pétrolière saoudienne Aramco, Ibrahim al-Husseini prévenait les États-Unis de la surévaluation des capacités du gaz de schiste. Selon lui, le boom de l’industrie des gaz de schiste était une bulle.

Dans un télégramme diplomatique du consulat américain de Dharan (en Arabie Saoudite) publié par WikiLeaks, l’analyse de ce membre de la famille régnante, ingénieur pétrogazier d’expérience, n’est pas flatteuse : Les réserves de gaz de schiste […] sont largement surestimées. Une conclusion à laquelle se rangeaient de nombreux cadres de l’industrie pétrogazière et de la finance, dont le New York Times a révélé une partie des échanges entre 2009 et 2011. L’enquête apparaît d’autant plus justifiée à la lecture de ces nouveaux éléments apportés par WikiLeaks.

La dette expliquée aux nuls. La gestion de la dette conditionnera les débats de la présidentielle, comme l'a montré l'Université d'été du PS. Un sujet complexe, pollué par les idées reçues et les croyances. Pour y voir plus clair, OWNI reprend les bases. Lorsque l’on parle de dette, il est de coutume de dire que « l’État vit au dessus de ses moyens », que le modèle social français n’est plus soutenable, et qu’il faut donc réduire les dépenses. Pourtant, la réalité est légèrement différente : sur 1 600 milliards de dette publique remboursée depuis 1974, environ 1 200 milliards d’euros ne sont constitués que des seuls intérêts. L’effet « boule de neige » explique en grande partie ce phénomène. Afin de rembourser les intérêts, le Trésor fait « rouler » la dette, il émet de nouveaux emprunts pour rembourser ceux d’avant. En réalité, hors paiement des intérêts, les budgets sont globalement à l’équilibre comme le montre le graphique ci dessous (issu du travail de André-Jacques Holbecq) : Photos FlickR yenna ;

Pyramide, Ponzi, Maddof : notre beau système « Blog de Yoananda. Le système pyramidal de l’argent dette est le coeur même de notre système économique, social et politique. La démocratie, le système capitaliste, contrairement aux dictatures, c’est censé (entre autre) être un système "au mérite personnel". Bon, il l’est sûrement plus qu’ailleurs, et surtout, il l’a peut-être été … mais il ne l’est plus. La méritrocratie, ou ça ? Nous sommes dans un système pyramidal. Le seul "mérite" aujourd’hui c’est de savoir prendre le train en marche. Il n’y a plus ou presque de mérite réellement personnel. Du moins, pas à faire le "bien" autour de soi. En 2 mots pour ceux qui ne connaissent pas (sinon sautez la paragraphe) : pour participer à la pyramide, tu dois me donner 100€ et 50% de tes bénefs sur les adhérants que tu coopteras et qui pourront faire de même. L’argent-dette est donc plus "rusé", mais de nature similaire.

Donc, a qui profite ce système d’argent-dette ? Les vieux, forcément, sont arrivés plus tôt que les jeunes. N.M. La France s’en tire mieux ? Is Government Debt a Ponzi Scheme? A Ponzi scheme pays returns to separate investors, not from any actual profit earned by the organization, but from money paid by new investors. No investments that accelerate future cash flows are actually made. Funds borrowed are merely transferred to people that elect politicians and then consumed without any investment return from those consumers. In order to pay old lenders, new lenders are required Ponzi scheme runners usually entices new investors by offering returns other investments cannot guarantee, in the form of short-term returns that are either abnormally high or unusually consistent. No other entity can offer the guarantees that the government can, that it will print currency as a last resort.

No other entity offers the current 4% consistently for 30 years no matter economic conditions, fiscal finances, wars, pandemics, etc, etc. The objective is usually to deceive laymen who have no in-depth knowledge of finance or financial jargon. Quantitative easing. source : wikipedia. Student Loans Have Grown 511% Since 1999 - Daniel Indiviglio - Business. You think the housing bubble was enormous? Meet the education bubble. On Wednesday, an article here by Andrew Hacker and Claudia Dreifus explained the debt crisis at American colleges. But some startling statistics will help to make their analysis a little more tangible. The growth in student loans over the past decade has been truly staggering. Here's a chart based on New York Federal Reserve data for household debt. This chart looks like a mistake, but it's correct.

The chart above is striking for another reason. How does the housing bubble debt compare? Obviously the number of students didn't grow by 511%. This student loan growth sure looks unsustainable. All this college debt could put the U.S. on a slower growth path in the years to come. . * You might notice that student loan growth was actually flat in the second quarter. Une curieuse partie de poker… « L'Argent des autres. Je pars en vacances bientôt. J'ai déjà la tête ailleurs.

La nuit dernière, j'ai rêvé à mon jeu favori : le poker. (C'est la deuxième fois. J'ai écrit une chronique semblable l'an dernier.) Je vous raconte. Autour d'une table, sept joueurs : Le Grec, Banquier, Sir Régis, Boomer, Politicien, Jeune, et Contribuable. Le Grec vient jouer chaque soir. L'un deux est Banquier. Depuis le début de la partie, Politicien subtilise des jetons à Contribuable, et les distribue dans la foule en lançant des beaux sourires. Soudain, Contribuable voit que Politicien a les deux mains au fond de ses poches.

Le Grec a perdu tous ses jetons. Furieux, Le Grec quitte la table. Après une heure, Sir Régis se fait éjecter de la table. À l'autre bout de la table, Jeune enguirlande Boomer. Les deux en font une affaire personnelle. La fin de partie approche. Il reste quatre joueurs. À ce moment, l'alarme-radio de mon cadran se déclenche.

Je me demande comment la partie s'est terminée... Groupon Is a Straight-Up Ponzi Scheme | Groupon IPO. Why buying Greek bonds is the same as investing in a Ponzi Scheme. What is a Ponzi scheme? A Ponzi scheme is an investment operation where the investor is given returns that are drawn from subsequent investors. Let’s assume that investor A invests €1000 in a Ponzi Scheme P, and is promised a net return of 20% in a year. Investor B invests in the same Ponzi Scheme P €2000 six months after investor A. When investor A comes back to withdraw his money after a year he is given €1200 of investor’s B €2000. So, each investor is paid with the money of subsequent investors.

When there are no more new investors the Scheme collapses. What does this have to do with Greece? This is quite understandable if we give a look at some figures. In fact, when you invest in Greek bonds you are giving your money to old lenders. How do we know that it is collapsing? Truth sounds absurd sometimes, but it is still truth. Grand Paris, énergie, économie… PYRAMIDES DE PONZI ! Énormément de bluff, beaucoup de pognon et des promesses intenables... Loin de se cantonner à la finance, le schéma de pyramide de Ponzi, popularisée par Bernard Madoff, continue de faire des émules et des victimes.

Gonflé de promesses de transports innovants et d’infrastructures mirobolantes, le Grand Paris s’appuie, comme tout le schéma d’étalement périurbain américain, sur une fiction économique dangereuse : un développement financé par une expansion urbaine infinie. Vous avez aimé Madoff ? Vous allez apprécier les variantes de la Pyramide de Ponzi. Celle-ci figurait déjà dans la littérature sur le développement durable depuis les travaux du Club de Rome. Elle est reprise en trois volets, ici, là et enfin là par un groupe de travail américain « Strong Town » militant de la ville dense qui applique son modèle à la croissance urbaine. Ce bref feuilleton assoit ce raisonnement insensé au plan économique et en démonte les mécanismes.

La « corne d’abondance » de l’étalement urbain Kat ;